C'est la grosse cote économique sur laquelle miser pour 2011: un rachat de Facebook par Apple. L'hypothèse est évoquée par Saxo Bank, une banque d'investissement danoise, dans son rapport Outrageous Predictions («prédictions incroyables») pour l'année prochaine. Le but de ce document, qu'elle élabore chaque année, est d'identifier les possibles «cygnes noirs» dans le domaine économique, c'est à dire des évènements a priori hautement improbables mais aux conséquences considérables et qui, a posteriori, paraîtraient logiques. On y trouve beaucoup d'évènements concernant les marchés financiers (dollar, bons du Trésor, pétrole, or...), donc, portant sur des entreprises précises, le rachat de Facebook —qui, outre ses fondateurs, compte notamment comme actionnaires le fonds russe Digital Sky (10%) et Microsoft (1,3%)— par Apple: «Qu'est-ce que vous faites quand vous voulez dominer le marché des équipements électroniques et que vous n'avez pas de présence significative dans les réseaux sociaux ? Oh, et un trésor de guerre d'environ 51 milliards de dollars? Vous achetez Facebook. [...] Cela fait parfaitement sens: Facebook ne fait pas concurrence à Apple et fait face à Google, ce que Jobs aime puisque Google est devenu son nouvel ennemi numéro un. [...] La gigantesque base de plus de 500 millions d'utilisateurs de Facebook pourrait être intégrée à celle des consommateurs de produits et services Apple —chaque utilisateur de Facebook aurait par exemple automatiquement un compte sur l'iTunes Store» Apple avait nourri les spéculations en octobre en annonçant le montant des liquidités dont il dispose pour effectuer des acquisitions. A l'époque, le New York Times citait des analystes selon lesquels un rachat de Facebook par la marque à la pomme constituerait un «tournant» et se justifierait par le fait que Apple serait incapable de supplanter le réseau social sur son terrain, «même s'il le voulait». Le Wall Street Journal, qui faisait également un tour des analyses du sujet, citait lui le blog Tuaw, selon qui Apple aurait largement les moyens d'acheter Facebook (valorisé à l'époque, selon lui, entre 25 et 35 milliards de dollars) mais une telle opération poserait des problèmes humains C'est la grosse cote économique sur laquelle miser pour 2011: un rachat de Facebook par Apple. L'hypothèse est évoquée par Saxo Bank, une banque d'investissement danoise, dans son rapport Outrageous Predictions («prédictions incroyables») pour l'année prochaine. Le but de ce document, qu'elle élabore chaque année, est d'identifier les possibles «cygnes noirs» dans le domaine économique, c'est à dire des évènements a priori hautement improbables mais aux conséquences considérables et qui, a posteriori, paraîtraient logiques. On y trouve beaucoup d'évènements concernant les marchés financiers (dollar, bons du Trésor, pétrole, or...), donc, portant sur des entreprises précises, le rachat de Facebook —qui, outre ses fondateurs, compte notamment comme actionnaires le fonds russe Digital Sky (10%) et Microsoft (1,3%)— par Apple: «Qu'est-ce que vous faites quand vous voulez dominer le marché des équipements électroniques et que vous n'avez pas de présence significative dans les réseaux sociaux ? Oh, et un trésor de guerre d'environ 51 milliards de dollars? Vous achetez Facebook. [...] Cela fait parfaitement sens: Facebook ne fait pas concurrence à Apple et fait face à Google, ce que Jobs aime puisque Google est devenu son nouvel ennemi numéro un. [...] La gigantesque base de plus de 500 millions d'utilisateurs de Facebook pourrait être intégrée à celle des consommateurs de produits et services Apple —chaque utilisateur de Facebook aurait par exemple automatiquement un compte sur l'iTunes Store» Apple avait nourri les spéculations en octobre en annonçant le montant des liquidités dont il dispose pour effectuer des acquisitions. A l'époque, le New York Times citait des analystes selon lesquels un rachat de Facebook par la marque à la pomme constituerait un «tournant» et se justifierait par le fait que Apple serait incapable de supplanter le réseau social sur son terrain, «même s'il le voulait». Le Wall Street Journal, qui faisait également un tour des analyses du sujet, citait lui le blog Tuaw, selon qui Apple aurait largement les moyens d'acheter Facebook (valorisé à l'époque, selon lui, entre 25 et 35 milliards de dollars) mais une telle opération poserait des problèmes humains