Les prix du maïs et du soja ont atteint des niveaux inédits depuis juillet 2008 cette semaine à Chicago, boostés par des prévisions sur une baisse de l'offre par les autorités agricoles américaines. Le rapport mensuel du département américain de l'Agriculture (USDA), publié mercredi dernier, était "indéniablement positif pour les cours", a observé, à cet effet, Sudakshina Unnikrishnan, de Barclays Capital. "Le contexte pour l'offre mondiale a été caractérisé depuis un an par une série de déceptions en raison de conditions météorologiques défavorables : inondations au Canada, au Pakistan et plus récemment en Australie, sécheresse en Russie, Ukraine et Kazakhstan, temps sec en Argentine", a-t-il rappelé. Selon l'analyste de Barclays, conséquemment à l'abaissement par l'USDA des estimations de production mondiale de maïs pour la campagne en cours, à 816 millions de tonnes (Mt), et à une forte demande des producteurs d'éthanol, les stocks américains se situent à un "niveau dangereusement bas". Il en est de même pour le stock final de soja aux Etats-Unis, dont les experts de l'USDA ont revu également à la baisse leur prévision de production américaine, à 90,61 Mt, qui passe sous la barre des 4 Mt, à 3,82 Mt. Vendredi, le boisseau de soja pour livraison en mars valait 14,09 dollars contre 13,65 dollars une semaine plus tôt. Il a atteint 14,3250 dollars jeudi, niveau inédit depuis juillet 2008. Le contrat de maïs à échéance mars montait à 6,38 dollars, contre 5,95 dollars vendredi dernier, après un pic jeudi à 6,4950 dollars, là aussi un plus haut depuis juillet 2008. Le boisseau de blé pour livraison en mars a reculé à 7,6225 dollars contre 7,74 dollars sept jours plus tôt. Les prix du maïs et du soja ont atteint des niveaux inédits depuis juillet 2008 cette semaine à Chicago, boostés par des prévisions sur une baisse de l'offre par les autorités agricoles américaines. Le rapport mensuel du département américain de l'Agriculture (USDA), publié mercredi dernier, était "indéniablement positif pour les cours", a observé, à cet effet, Sudakshina Unnikrishnan, de Barclays Capital. "Le contexte pour l'offre mondiale a été caractérisé depuis un an par une série de déceptions en raison de conditions météorologiques défavorables : inondations au Canada, au Pakistan et plus récemment en Australie, sécheresse en Russie, Ukraine et Kazakhstan, temps sec en Argentine", a-t-il rappelé. Selon l'analyste de Barclays, conséquemment à l'abaissement par l'USDA des estimations de production mondiale de maïs pour la campagne en cours, à 816 millions de tonnes (Mt), et à une forte demande des producteurs d'éthanol, les stocks américains se situent à un "niveau dangereusement bas". Il en est de même pour le stock final de soja aux Etats-Unis, dont les experts de l'USDA ont revu également à la baisse leur prévision de production américaine, à 90,61 Mt, qui passe sous la barre des 4 Mt, à 3,82 Mt. Vendredi, le boisseau de soja pour livraison en mars valait 14,09 dollars contre 13,65 dollars une semaine plus tôt. Il a atteint 14,3250 dollars jeudi, niveau inédit depuis juillet 2008. Le contrat de maïs à échéance mars montait à 6,38 dollars, contre 5,95 dollars vendredi dernier, après un pic jeudi à 6,4950 dollars, là aussi un plus haut depuis juillet 2008. Le boisseau de blé pour livraison en mars a reculé à 7,6225 dollars contre 7,74 dollars sept jours plus tôt.