Bientôt l'énergie solaire sera en vogue en Algérie où l'on attend une génération d'électricité à partir du solaire à hauteur de 40% d'ici 2020. Bientôt l'énergie solaire sera en vogue en Algérie où l'on attend une génération d'électricité à partir du solaire à hauteur de 40% d'ici 2020. Ainsi, les travaux de construction de l'usine de fabrication de modules photovoltaïques (panneaux solaires), dont l'entrée en activité est prévue pour 2012, devraient être entamés avant la fin du premier trimestre 2011, selon l'APS qui cite un responsable du groupe Sonelgaz. D'une capacité annuelle de production pouvant aller de 50 à 120 MW pour un investissement de 100 millions de dollars intégralement financé par Sonelgaz, cette future unité sera installée au sein du site de la société Rouiba Eclairage (zone industrielle de Rouiba) sur une superficie de 4 hectares, précise la même source, ajoutant que l'appel d'offres relatif au projet a été récemment lancé, ajoute la même source. La société Rouiba Eclairage était détenue par la SGP Cabeleq, avant qu'elle ne soit transférée en juin 2009 au groupe Sonelgaz, rappelle-t-on. La concrétisation de ce projet s'inscrit dans le cadre de la nouvelle politique nationale en matière de développement de l'utilisation des énergies renouvelables. Une délégation d'hommes d'affaires allemands mardi à Alger Le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, avait annoncé lundi dernier que la mise en œuvre du programme national de développement des énergies renouvelables est prévue à partir du premier trimestre 2011 et permettra de créer quelque 200.000 emplois. Ce programme, qui devrait être prochainement approuvé par le Conseil des ministres, porte sur 65 projets qui permettront, dans un premier temps, de produire 2.600 MW d'électricité. Une capacité additionnelle de 2.000 MW pourrait être destinée à l'exportation. Selon le ministre, 100.000 emplois devraient être créés dans la production nationale et 100.000 autres dans l'exportation, poursuit-elle. L'Algérie envisage même d'alimenter en électricité d'origine solaire de nombreux pays de 'Union européenne à l'horizon 2020 avec notamment la mise en œuvre du projet "Desertec'' en coopération avec des entreprises allemandes. Dans cet ordre d'idées, une délégation d'hommes d'affaires et d'investisseurs germaniques animeront une rencontre business to business avec des opérateurs économiques et des entreprises nationales spécialisées dans l'énergie solaire et les énergies renouvelables. Le programme national de développement des énergies renouvelables, dont le contenu n'a pas encore été divulgué, est conçu "comme un vecteur de développement industriel" car il sera réalisé selon un schéma "qui intègre la promotion des capacités nationales" de réalisation, de production, d'exploitation et de maintenance, a souligné récemment Yousfi. S'agissant des modalités de financement de cet ambitieux programme, l'Etat prendra en charge la partie liée à la satisfaction des besoins internes, alors que les projets destinés à l'exportation seront financés dans le cadre de partenariats. Deux projets d'utilisation d'énergies renouvelables pour la production d'électricité ont été déjà initiés par l'Algérie. Il s'agit de la centrale hybride (gaz-solaire) de Hassi R'mel, d'une capacité de 150 MW qui sera livrée prochainement, et d'une ferme éolienne de 10 MW dans la wilaya d'Adrar. L'Algérie dispose d'un potentiel énergétique solaire infini dépassant les 5 milliards GWh/an, avec une moyenne annuelle d'ensoleillement variant de 2.550 heures dans le Nord à 3.819 heures dans le Sahara avec une capacité de production respective de 1.700 et 2.650 Kwh/m2/an. Etant considérées comme une priorité des pouvoirs publics dans les dix prochaines années, les énergies renouvelables très rentables à moyen terme, principalement le solaire et le photovoltaïque, seront en vogue en Algérie, en ce sens que d'énormes investissements seront consacrés durant cette période afin de produire de l'électricité pour les besoins locaux et même pour l'exportation. Ainsi, les travaux de construction de l'usine de fabrication de modules photovoltaïques (panneaux solaires), dont l'entrée en activité est prévue pour 2012, devraient être entamés avant la fin du premier trimestre 2011, selon l'APS qui cite un responsable du groupe Sonelgaz. D'une capacité annuelle de production pouvant aller de 50 à 120 MW pour un investissement de 100 millions de dollars intégralement financé par Sonelgaz, cette future unité sera installée au sein du site de la société Rouiba Eclairage (zone industrielle de Rouiba) sur une superficie de 4 hectares, précise la même source, ajoutant que l'appel d'offres relatif au projet a été récemment lancé, ajoute la même source. La société Rouiba Eclairage était détenue par la SGP Cabeleq, avant qu'elle ne soit transférée en juin 2009 au groupe Sonelgaz, rappelle-t-on. La concrétisation de ce projet s'inscrit dans le cadre de la nouvelle politique nationale en matière de développement de l'utilisation des énergies renouvelables. Une délégation d'hommes d'affaires allemands mardi à Alger Le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, avait annoncé lundi dernier que la mise en œuvre du programme national de développement des énergies renouvelables est prévue à partir du premier trimestre 2011 et permettra de créer quelque 200.000 emplois. Ce programme, qui devrait être prochainement approuvé par le Conseil des ministres, porte sur 65 projets qui permettront, dans un premier temps, de produire 2.600 MW d'électricité. Une capacité additionnelle de 2.000 MW pourrait être destinée à l'exportation. Selon le ministre, 100.000 emplois devraient être créés dans la production nationale et 100.000 autres dans l'exportation, poursuit-elle. L'Algérie envisage même d'alimenter en électricité d'origine solaire de nombreux pays de 'Union européenne à l'horizon 2020 avec notamment la mise en œuvre du projet "Desertec'' en coopération avec des entreprises allemandes. Dans cet ordre d'idées, une délégation d'hommes d'affaires et d'investisseurs germaniques animeront une rencontre business to business avec des opérateurs économiques et des entreprises nationales spécialisées dans l'énergie solaire et les énergies renouvelables. Le programme national de développement des énergies renouvelables, dont le contenu n'a pas encore été divulgué, est conçu "comme un vecteur de développement industriel" car il sera réalisé selon un schéma "qui intègre la promotion des capacités nationales" de réalisation, de production, d'exploitation et de maintenance, a souligné récemment Yousfi. S'agissant des modalités de financement de cet ambitieux programme, l'Etat prendra en charge la partie liée à la satisfaction des besoins internes, alors que les projets destinés à l'exportation seront financés dans le cadre de partenariats. Deux projets d'utilisation d'énergies renouvelables pour la production d'électricité ont été déjà initiés par l'Algérie. Il s'agit de la centrale hybride (gaz-solaire) de Hassi R'mel, d'une capacité de 150 MW qui sera livrée prochainement, et d'une ferme éolienne de 10 MW dans la wilaya d'Adrar. L'Algérie dispose d'un potentiel énergétique solaire infini dépassant les 5 milliards GWh/an, avec une moyenne annuelle d'ensoleillement variant de 2.550 heures dans le Nord à 3.819 heures dans le Sahara avec une capacité de production respective de 1.700 et 2.650 Kwh/m2/an. Etant considérées comme une priorité des pouvoirs publics dans les dix prochaines années, les énergies renouvelables très rentables à moyen terme, principalement le solaire et le photovoltaïque, seront en vogue en Algérie, en ce sens que d'énormes investissements seront consacrés durant cette période afin de produire de l'électricité pour les besoins locaux et même pour l'exportation.