Afin de consolider les relations de coopération économique et commerciale entre l'Algérie et la Grande- Bretagne, une importante délégation d'hommes d'affaires britanniques est présente à Alger, depuis hier, pour prendre part au Forum d'affaires algéro-britannique, prévu aujourd'hui à Alger, pour une durée de 4 jours. Afin de consolider les relations de coopération économique et commerciale entre l'Algérie et la Grande- Bretagne, une importante délégation d'hommes d'affaires britanniques est présente à Alger, depuis hier, pour prendre part au Forum d'affaires algéro-britannique, prévu aujourd'hui à Alger, pour une durée de 4 jours. Selon l'Agence de presse algérienne, qui cite l'ambassade britannique à Alger, cette délégation, composée de 32 hommes d'affaires, est la plus importante délégation commerciale britannique dépêchée à Alger. Cette mission «est très représentative du monde économique britannique puisqu'elle regroupe des représentants de plusieurs importants secteurs d'activités tels que l'énergie, l'éducation, la finance, les télécommunications, et l'industrie», informe-t-on. En outre, «le nombre des secteurs représentés est un signe qui confirme le grand intérêt des sociétés britanniques pour le marché algérien», a souligné Martin Roper, ambassadeur de Grande-Bretagne à Alger. «Les relations économiques entre le Royaume-Uni et l'Algérie sont en continuel développement, notamment durant les cinq dernières années, avec un doublement des exportations», a-t-il soutenu. Dans ce sens, il convient de rappeler que plusieurs compagnies britanniques sont présentes en Algérie, notamment HSBC, BG, GSK et Unilever. Sur ces dernières, l'ambassadeur a indiqué «qu'elles ont réalisé ces dernières années des investissements importants (en Algérie) qui ont aidé à créer des opportunités de travail». «Le Royaume-Uni tient à développer davantage les échanges commerciaux avec l'Algérie et je reste confiant par le fait que cette mission donnera plus de soutien à la coopération entre les deux pays», a-t-il ajouté. Pour ce faire, les membres de la délégation britannique rencontreront leurs homologues algériens ainsi que des responsables de différents ministères, indique-t-on. Afin de discuter des opportunités de partenariat dans les différents domaines entre les deux pays, des rencontres d'affaires sont prévues avec les ministères de l'Energie et des Mines, de l'Education nationale, de la Poste et des technologies de l'information et de la communication, de l'Agriculture et du Développement rural, de l'Industrie, de la Petite et moyenne entreprise, et de la Promotion de l'investissement, celui de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière ainsi qu'avec les groupes Sonatrach et Sonelgaz et l'Agence nationale de développement de l'investissement (Andi). Pour rappel, les échanges commerciaux entre les deux pays, selon les chiffres des Douanes algériennes, avaient atteint, en 2009, 2 milliards de dollars, dont 1,18 milliard de dollars d'exportations algériennes et 720 millions de dollars d'importations. Pour la même année, la Grande- Bretagne a été classée 14e fournisseur de l'Algérie et son 10e client. Selon l'Agence de presse algérienne, qui cite l'ambassade britannique à Alger, cette délégation, composée de 32 hommes d'affaires, est la plus importante délégation commerciale britannique dépêchée à Alger. Cette mission «est très représentative du monde économique britannique puisqu'elle regroupe des représentants de plusieurs importants secteurs d'activités tels que l'énergie, l'éducation, la finance, les télécommunications, et l'industrie», informe-t-on. En outre, «le nombre des secteurs représentés est un signe qui confirme le grand intérêt des sociétés britanniques pour le marché algérien», a souligné Martin Roper, ambassadeur de Grande-Bretagne à Alger. «Les relations économiques entre le Royaume-Uni et l'Algérie sont en continuel développement, notamment durant les cinq dernières années, avec un doublement des exportations», a-t-il soutenu. Dans ce sens, il convient de rappeler que plusieurs compagnies britanniques sont présentes en Algérie, notamment HSBC, BG, GSK et Unilever. Sur ces dernières, l'ambassadeur a indiqué «qu'elles ont réalisé ces dernières années des investissements importants (en Algérie) qui ont aidé à créer des opportunités de travail». «Le Royaume-Uni tient à développer davantage les échanges commerciaux avec l'Algérie et je reste confiant par le fait que cette mission donnera plus de soutien à la coopération entre les deux pays», a-t-il ajouté. Pour ce faire, les membres de la délégation britannique rencontreront leurs homologues algériens ainsi que des responsables de différents ministères, indique-t-on. Afin de discuter des opportunités de partenariat dans les différents domaines entre les deux pays, des rencontres d'affaires sont prévues avec les ministères de l'Energie et des Mines, de l'Education nationale, de la Poste et des technologies de l'information et de la communication, de l'Agriculture et du Développement rural, de l'Industrie, de la Petite et moyenne entreprise, et de la Promotion de l'investissement, celui de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière ainsi qu'avec les groupes Sonatrach et Sonelgaz et l'Agence nationale de développement de l'investissement (Andi). Pour rappel, les échanges commerciaux entre les deux pays, selon les chiffres des Douanes algériennes, avaient atteint, en 2009, 2 milliards de dollars, dont 1,18 milliard de dollars d'exportations algériennes et 720 millions de dollars d'importations. Pour la même année, la Grande- Bretagne a été classée 14e fournisseur de l'Algérie et son 10e client.