Votre généraliste vous a prescrit une IRM ? Il s'agit d'une Imagerie par Résonnance Magnétique, un examen aujourd'hui courant. Réalisé sous la direction d'un médecin radiologue, son objectif est d'observer avec précision les organes et les tissus mous. Et donc de déterminer la position exacte d'éventuelles lésions. Votre généraliste vous a prescrit une IRM ? Il s'agit d'une Imagerie par Résonnance Magnétique, un examen aujourd'hui courant. Réalisé sous la direction d'un médecin radiologue, son objectif est d'observer avec précision les organes et les tissus mous. Et donc de déterminer la position exacte d'éventuelles lésions. Quelles sont les indications ? Dans la mesure où l'IRM permet une analyse très fine de la structure des tissus, ses champs d'application sont larges. C'est ainsi que cet examen est particulièrement utilisé dans l'exploration des pathologies cérébrales, rachidiennes, osseuses, articulaires, digestives, gynécologiques, vasculaires et cardiaques. Comment se déroule une IRM ? L'appareil comporte un aimant de grande puissance, d'où le terme magnétique. La technique consiste à faire vibrer les noyaux d'hydrogène qui composent les tissus de l'organisme. Ces noyaux renferment, en effet, des protons qui vont agir comme autant de petits aimants. En vibrant, ils émettent des signaux qui vont être captés par une antenne puis être transformés en images. Dans la salle d'examen, le patient est allongé sur un lit. L'antenne est alors disposée sur la zone à examiner, puis le lit glisse doucement dans le tunnel de l'appareil. L'examen dure généralement de 15 à 20 minutes. Des risques ? Bien que l'équipement utilisé soit bruyant, l'IRM n'est pas un examen douloureux. Le patient doit s'être préalablement dépouillé de tout objet (montre, bracelet, collier, carte de crédit…) métallique avant l'examen. Le cas échéant, il doit également signaler le port d'une valve ou d'une pile cardiaque, d'une prothèse ou d'implants. Tous ces éléments sont, en effet susceptibles, de perturber le déroulement de l'examen. A noter, enfin, qu'un produit de contraste peut également être injecté. Généralement bien toléré, il peut toutefois être à l'origine de manifestations allergiques sans gravité (urticaire). Les réactions plus graves sont exceptionnelles et peuvent généralement être anticipées lors de la consultation préalable à l'examen. Quelles sont les indications ? Dans la mesure où l'IRM permet une analyse très fine de la structure des tissus, ses champs d'application sont larges. C'est ainsi que cet examen est particulièrement utilisé dans l'exploration des pathologies cérébrales, rachidiennes, osseuses, articulaires, digestives, gynécologiques, vasculaires et cardiaques. Comment se déroule une IRM ? L'appareil comporte un aimant de grande puissance, d'où le terme magnétique. La technique consiste à faire vibrer les noyaux d'hydrogène qui composent les tissus de l'organisme. Ces noyaux renferment, en effet, des protons qui vont agir comme autant de petits aimants. En vibrant, ils émettent des signaux qui vont être captés par une antenne puis être transformés en images. Dans la salle d'examen, le patient est allongé sur un lit. L'antenne est alors disposée sur la zone à examiner, puis le lit glisse doucement dans le tunnel de l'appareil. L'examen dure généralement de 15 à 20 minutes. Des risques ? Bien que l'équipement utilisé soit bruyant, l'IRM n'est pas un examen douloureux. Le patient doit s'être préalablement dépouillé de tout objet (montre, bracelet, collier, carte de crédit…) métallique avant l'examen. Le cas échéant, il doit également signaler le port d'une valve ou d'une pile cardiaque, d'une prothèse ou d'implants. Tous ces éléments sont, en effet susceptibles, de perturber le déroulement de l'examen. A noter, enfin, qu'un produit de contraste peut également être injecté. Généralement bien toléré, il peut toutefois être à l'origine de manifestations allergiques sans gravité (urticaire). Les réactions plus graves sont exceptionnelles et peuvent généralement être anticipées lors de la consultation préalable à l'examen.