Les salles de cinéma An-Nasr et l'ABC de Constantine seront rouvertes ''d'ici fin 2011'', a indiqué le directeur de la culture, lundi soir, en marge de la cérémonie de clôture des journées cinématographiques de la ville. La réouverture de ces deux salles, demeurées longtemps fermées, permettra à la cité du Rocher de remédier à une ''fausse note'' en matière culturelle et donnera à la ville la possibilité d'abriter de grands festivals dédiés au 7ème art, a souligné le même responsable. Le baisser de rideau des Journées cinématographiques a eu lieu en présence de figures marquantes du cinéma algérien, à l'image de la grande actrice Chafia Boudraâ dont la seule présence au palais de la culture Malek-Haddad, qui a abrité la manifestation, a constitué un petit événement, de nombreux cinéphiles voulant coûte que coûte l'approcher et lui dire quelques mots. Un concert de chants andalous animé par la star Bheidja Rahal a marqué la clôture de ces journées par lesquelles les organisateurs entendaient réconcilier le public avec le cinéma qui retrouve doucement mais sûrement voix au chapitre en Algérie. Durant trois jours, le public constantinois a eu à découvrir la créativité, le professionnalisme et le talent de plusieurs cinéastes algériens, à travers 6 courts-métrages et 2 films parmi lesquels Le dernier passager de Mounès Khammar, et Hors la loi ' de Rachid Bouchareb. Le défunt Larbi Zekkal, Chafia Boudraâ, affectueusement surnommée L'la Aïni par référence à son rôle inoubliable dans L'incendie du regretté Mustapha Badie, et l'homme de radio Djamel-Eddine Hazourli, avaient, rappelle-t-on été honorés lors de l'ouverture, samedi dernier, de ces journées cinématographiques qui ont permis aux Constantinois de renouer avec l'ambiance particulière des salles obscures. APS Les salles de cinéma An-Nasr et l'ABC de Constantine seront rouvertes ''d'ici fin 2011'', a indiqué le directeur de la culture, lundi soir, en marge de la cérémonie de clôture des journées cinématographiques de la ville. La réouverture de ces deux salles, demeurées longtemps fermées, permettra à la cité du Rocher de remédier à une ''fausse note'' en matière culturelle et donnera à la ville la possibilité d'abriter de grands festivals dédiés au 7ème art, a souligné le même responsable. Le baisser de rideau des Journées cinématographiques a eu lieu en présence de figures marquantes du cinéma algérien, à l'image de la grande actrice Chafia Boudraâ dont la seule présence au palais de la culture Malek-Haddad, qui a abrité la manifestation, a constitué un petit événement, de nombreux cinéphiles voulant coûte que coûte l'approcher et lui dire quelques mots. Un concert de chants andalous animé par la star Bheidja Rahal a marqué la clôture de ces journées par lesquelles les organisateurs entendaient réconcilier le public avec le cinéma qui retrouve doucement mais sûrement voix au chapitre en Algérie. Durant trois jours, le public constantinois a eu à découvrir la créativité, le professionnalisme et le talent de plusieurs cinéastes algériens, à travers 6 courts-métrages et 2 films parmi lesquels Le dernier passager de Mounès Khammar, et Hors la loi ' de Rachid Bouchareb. Le défunt Larbi Zekkal, Chafia Boudraâ, affectueusement surnommée L'la Aïni par référence à son rôle inoubliable dans L'incendie du regretté Mustapha Badie, et l'homme de radio Djamel-Eddine Hazourli, avaient, rappelle-t-on été honorés lors de l'ouverture, samedi dernier, de ces journées cinématographiques qui ont permis aux Constantinois de renouer avec l'ambiance particulière des salles obscures. APS