Plus de 400 ouvriers de l'entreprise Trans Canal, située dans la localité de Khemis El-Khechna à l'ouest du chef-lieu de Boumerdès, tiennent et ce, depuis mercredi dernier, une grève pour réclamer l'augmentation de leurs salaires et l'amélioration des conditions de travail au sein de cette entreprise publique. Les protestataires ont établi une plateforme de revendications, entre autres les réclamations des travailleurs, la révision des primes individuelles et collectives et celles liées aux risques, la répartition du bénéfice équitablement et la révision du règlement intérieur de l'entreprise. Ils affirment que leurs revendications n'ont pas eu d'échos auprès des responsables, notamment auprès du ministère de l'Hhydraulique à laquelle leur entreprise est rattachée. Outre cela, les travailleurs ont demandé le renouvellement de la section syndicale de l'entreprise. Ils jugent insuffisantes les augmentations de salaires de 200 DA décidées par le P-dg de Trans Canal. Les protestataires sont déterminés, par ailleurs, à inscrire leur action dans la durée et ne «reprendront pas le travail avant satisfaction entière de nos revendications», ont-ils dit. T. O. Plus de 400 ouvriers de l'entreprise Trans Canal, située dans la localité de Khemis El-Khechna à l'ouest du chef-lieu de Boumerdès, tiennent et ce, depuis mercredi dernier, une grève pour réclamer l'augmentation de leurs salaires et l'amélioration des conditions de travail au sein de cette entreprise publique. Les protestataires ont établi une plateforme de revendications, entre autres les réclamations des travailleurs, la révision des primes individuelles et collectives et celles liées aux risques, la répartition du bénéfice équitablement et la révision du règlement intérieur de l'entreprise. Ils affirment que leurs revendications n'ont pas eu d'échos auprès des responsables, notamment auprès du ministère de l'Hhydraulique à laquelle leur entreprise est rattachée. Outre cela, les travailleurs ont demandé le renouvellement de la section syndicale de l'entreprise. Ils jugent insuffisantes les augmentations de salaires de 200 DA décidées par le P-dg de Trans Canal. Les protestataires sont déterminés, par ailleurs, à inscrire leur action dans la durée et ne «reprendront pas le travail avant satisfaction entière de nos revendications», ont-ils dit. T. O.