Si la grande féministe française Simone de Beauvoir avait écrit : «On ne naît pas femme on le devient », la gente féminine travaillant dans les médias s'accordera à dire que certainement on ne naît pas journaliste on le devient. Reste que pour le devenir dans une société et un monde à forte tradition masculine, pour ne pas dire misogyne, est extrêmement difficile, mais heureusement pas impossible. Si la grande féministe française Simone de Beauvoir avait écrit : «On ne naît pas femme on le devient », la gente féminine travaillant dans les médias s'accordera à dire que certainement on ne naît pas journaliste on le devient. Reste que pour le devenir dans une société et un monde à forte tradition masculine, pour ne pas dire misogyne, est extrêmement difficile, mais heureusement pas impossible. Ainsi raconter le parcours de chacune d'elles dans le monde est un peu délicat à travers ces quelques lignes. Mais heureusement, plusieurs femmes journalistes se regrouperont ce samedi 12 mars pour nous narrer leurs expériences. Fatiha Mouassa, Naima Terkache, Khalida Anad, Inés García Albi, Edurne Arbeloa seront présentes à partir de 16 h à l'institut Cervantès pour rendre au 8 mars, la Journée Internationale de la femme, sa véritable vocation : lutter contre les inégalités homme-femme. En cette occasion, les trois journalistes algériennes et les deux autres espagnoles débattront et échangeront des idées et des opinions ainsi que leurs plus remarquables expériences tout au long de leurs carrières professionnelles comme femmes et journalistes. Autour donc du thème «La Femme dans le journalisme», les conférencières aborderont certainement à travers cette rencontre divers points. Des idées mais surtout des préoccupations et des embûches qui touchent les femmes journalistes comme étant malheureusement plus souvent au chômage, plutôt en CDD, moins bien payées…en d'autres termes les femmes journalistes galèrent plus que leurs confrères masculins. Bien que le métier de journalistes ne cesse de se féminiser à travers le monde, les femmes sont victimes de disparités professionnelles, comme d'ailleurs dans d'autres secteurs à dominante masculine. Cette conférence-débat sera une occasion également de faire la rencontre de ces consœurs journalistes et de connaître leur parcours professionnel respectif. Ainsi Fatiha Mouassa est Chef d'émission à l'Entreprise nationale de télévision algérienne (ENTV), Secrétaire nationale et chargée de la communication et des relations extérieures de l'UNFA (Union nationale des femmes algériennes). Elle a dirigé le Club d'Algérie Art et Culture. Quant à Naima Terkache, elle est journaliste à l'APS (Algerian Press Services) où elle s'occupe du service reportage depuis 22 ans. Spécialiste en environnement, société civile, femme et tourisme. Puis vient le tour de Khalida Anad, qui n'est plus à présenter dans la corporation. Rédactrice reporter à Canal Algérie, service information, rédactrice en chef chargée du service reportage pour la rédaction du journal télévisé, elle a travaillé comme journaliste dans la rubrique nationale et économie au quotidien Le Jeune Indépendant. Elle a obtenu le Prix Abdelhamid Benzine dans la catégorie « Ecrits en économie et société » en mars 2004. Enfin vient le tour des deux autres journalistes espagnoles. Inés García Albi est licenciée en Histoire et titulaire du Master en journalisme du quotidien El País. Elle collabore dans la presse écrite et la radio et a exercé différents postes à responsabilité dans le domaine culturel. Elle est l'auteur de Nosotras que contamos. Mujeres periodistas en el siglo XX, (Plaza & Janés, 2007). Edurne Arbeloa est licenciée en journalisme et est titulaire du Master en journalisme du quotidien El País. Elle a été Reporter rédactrice internationale de CNN+ et envoyée spéciale de Noticias Cuatro pour couvrir la catastrophe de Haïti, la crise du peuple sahraoui et l'arrivée du bateau espagnol Alakrana au Seychelles, entre autres. Il est à noter que les journalistes participantes seront à la disposition de la presse une demi-heure avant le début de la conférence. De plus, les journalistes espagnoles seront aussi disponibles pour répondre aux questions de la presse, le demain après-midi, à la demande préalable auprès de l'Instituto Cervantes d´Alger. L'ambassade d'Espagne et l'Instituto Cervantes d'Alger souhaiteraient compter sur la participation de toutes les personnes intéressées par ce sujet, travaillant ou non dans le domaine journalistique, qui désireraient enrichir et ouvrir le débat de cette Conférence. Ainsi raconter le parcours de chacune d'elles dans le monde est un peu délicat à travers ces quelques lignes. Mais heureusement, plusieurs femmes journalistes se regrouperont ce samedi 12 mars pour nous narrer leurs expériences. Fatiha Mouassa, Naima Terkache, Khalida Anad, Inés García Albi, Edurne Arbeloa seront présentes à partir de 16 h à l'institut Cervantès pour rendre au 8 mars, la Journée Internationale de la femme, sa véritable vocation : lutter contre les inégalités homme-femme. En cette occasion, les trois journalistes algériennes et les deux autres espagnoles débattront et échangeront des idées et des opinions ainsi que leurs plus remarquables expériences tout au long de leurs carrières professionnelles comme femmes et journalistes. Autour donc du thème «La Femme dans le journalisme», les conférencières aborderont certainement à travers cette rencontre divers points. Des idées mais surtout des préoccupations et des embûches qui touchent les femmes journalistes comme étant malheureusement plus souvent au chômage, plutôt en CDD, moins bien payées…en d'autres termes les femmes journalistes galèrent plus que leurs confrères masculins. Bien que le métier de journalistes ne cesse de se féminiser à travers le monde, les femmes sont victimes de disparités professionnelles, comme d'ailleurs dans d'autres secteurs à dominante masculine. Cette conférence-débat sera une occasion également de faire la rencontre de ces consœurs journalistes et de connaître leur parcours professionnel respectif. Ainsi Fatiha Mouassa est Chef d'émission à l'Entreprise nationale de télévision algérienne (ENTV), Secrétaire nationale et chargée de la communication et des relations extérieures de l'UNFA (Union nationale des femmes algériennes). Elle a dirigé le Club d'Algérie Art et Culture. Quant à Naima Terkache, elle est journaliste à l'APS (Algerian Press Services) où elle s'occupe du service reportage depuis 22 ans. Spécialiste en environnement, société civile, femme et tourisme. Puis vient le tour de Khalida Anad, qui n'est plus à présenter dans la corporation. Rédactrice reporter à Canal Algérie, service information, rédactrice en chef chargée du service reportage pour la rédaction du journal télévisé, elle a travaillé comme journaliste dans la rubrique nationale et économie au quotidien Le Jeune Indépendant. Elle a obtenu le Prix Abdelhamid Benzine dans la catégorie « Ecrits en économie et société » en mars 2004. Enfin vient le tour des deux autres journalistes espagnoles. Inés García Albi est licenciée en Histoire et titulaire du Master en journalisme du quotidien El País. Elle collabore dans la presse écrite et la radio et a exercé différents postes à responsabilité dans le domaine culturel. Elle est l'auteur de Nosotras que contamos. Mujeres periodistas en el siglo XX, (Plaza & Janés, 2007). Edurne Arbeloa est licenciée en journalisme et est titulaire du Master en journalisme du quotidien El País. Elle a été Reporter rédactrice internationale de CNN+ et envoyée spéciale de Noticias Cuatro pour couvrir la catastrophe de Haïti, la crise du peuple sahraoui et l'arrivée du bateau espagnol Alakrana au Seychelles, entre autres. Il est à noter que les journalistes participantes seront à la disposition de la presse une demi-heure avant le début de la conférence. De plus, les journalistes espagnoles seront aussi disponibles pour répondre aux questions de la presse, le demain après-midi, à la demande préalable auprès de l'Instituto Cervantes d´Alger. L'ambassade d'Espagne et l'Instituto Cervantes d'Alger souhaiteraient compter sur la participation de toutes les personnes intéressées par ce sujet, travaillant ou non dans le domaine journalistique, qui désireraient enrichir et ouvrir le débat de cette Conférence.