La commune de Bab Ezzouar semble attirer l'ensemble des maux de la société. En parcourant les rues de cette agglomération urbaine, le constat est très vite fait. Marchés anarchiques, habitations précaires et chantiers inachevés, voilà de quoi est constitué le quotidien des résidants de cette localité, ajouter à cela les nombreuses nuisances engendrées par les travaux du tramway. La commune de Bab Ezzouar semble attirer l'ensemble des maux de la société. En parcourant les rues de cette agglomération urbaine, le constat est très vite fait. Marchés anarchiques, habitations précaires et chantiers inachevés, voilà de quoi est constitué le quotidien des résidants de cette localité, ajouter à cela les nombreuses nuisances engendrées par les travaux du tramway. Continuellement en chantier, la commune de Bab Ezzouar est de plus en plus défigurée. Les travaux du tramway, entrepris depuis plusieurs années, ont laissé place à de nombreuses difficultés. Entre autres la détérioration continuelle des routes, sur lesquelles se constituent des flaques d'eau boueuse par temps de pluie. La cité Rabia pâtit des travaux interminables du tramway. En effet, ces derniers ont mis la cité sens dessus-dessous. Cela en bloquant l'un des accès, ce qui oblige les résidants à faire un large détour pour rentrer chez eux. «Après une dure journée de labeur, je suis obligé de faire tout un détour. Ce qui me fatigue et m'exaspère», déplore l'un des habitants. Cette situation irrite au plus haut point les familles. À quelques mètres de là, au niveau du quartier Boushaki B. la situation est quasiment la même. En plus des nombreuses routes non goudronnées, se pose également la question des travaux non achevés. Les travaux de raccordement à l'eau potable ont été lancés depuis quelques mois et le chantier traîne en longueur. Ce qui pose même des problèmes de santé publique puisque les canalisations ouvertes à tous les vents courrent le risque de sérieuses infections bactériennes. A côté, les résidants du secteur de la cité El Djorf ont quant à eux leur part de difficultés. Surtout avec le marché anarchique des fruits et légumes squattant la place de ladite cité. Etonnamment, ces étals se retrouvent juste en face des portes de l'assemblée populaire communale de Bab Ezzouar. «Ce n'est pas le marché qui nous pose problème, mais c'est son emplacement. Il est juste sous nos fenêtres, avec les nuisances qui l'accompagnent» nous explique une dame résidant dans cette cité, propos confirmés par plusieurs autres personnes. Par ailleurs, il est à souligner que ces problèmes s'accentuent jour après jour au moment où les élus de l'APC traversent une période assez difficile. Cela suite à la guéguerre qui s'est déclarée entre le P/APC, M. Chemlal et son bureau politique, frictions qui ont vu le jour au début de son mandat. Continuellement en chantier, la commune de Bab Ezzouar est de plus en plus défigurée. Les travaux du tramway, entrepris depuis plusieurs années, ont laissé place à de nombreuses difficultés. Entre autres la détérioration continuelle des routes, sur lesquelles se constituent des flaques d'eau boueuse par temps de pluie. La cité Rabia pâtit des travaux interminables du tramway. En effet, ces derniers ont mis la cité sens dessus-dessous. Cela en bloquant l'un des accès, ce qui oblige les résidants à faire un large détour pour rentrer chez eux. «Après une dure journée de labeur, je suis obligé de faire tout un détour. Ce qui me fatigue et m'exaspère», déplore l'un des habitants. Cette situation irrite au plus haut point les familles. À quelques mètres de là, au niveau du quartier Boushaki B. la situation est quasiment la même. En plus des nombreuses routes non goudronnées, se pose également la question des travaux non achevés. Les travaux de raccordement à l'eau potable ont été lancés depuis quelques mois et le chantier traîne en longueur. Ce qui pose même des problèmes de santé publique puisque les canalisations ouvertes à tous les vents courrent le risque de sérieuses infections bactériennes. A côté, les résidants du secteur de la cité El Djorf ont quant à eux leur part de difficultés. Surtout avec le marché anarchique des fruits et légumes squattant la place de ladite cité. Etonnamment, ces étals se retrouvent juste en face des portes de l'assemblée populaire communale de Bab Ezzouar. «Ce n'est pas le marché qui nous pose problème, mais c'est son emplacement. Il est juste sous nos fenêtres, avec les nuisances qui l'accompagnent» nous explique une dame résidant dans cette cité, propos confirmés par plusieurs autres personnes. Par ailleurs, il est à souligner que ces problèmes s'accentuent jour après jour au moment où les élus de l'APC traversent une période assez difficile. Cela suite à la guéguerre qui s'est déclarée entre le P/APC, M. Chemlal et son bureau politique, frictions qui ont vu le jour au début de son mandat.