Bab Ezzouar : 630 habitations précaires recensées La commune de Bab ezzouar compte 630 habitations précaires sur 23 sites de bidonvilles dispersés dans plusieurs parties de la commune. Le quartier dit El Djazira détient la part du lion avec 350 baraques recensées par les services concernés. Selon des responsables locaux, ces habitations sont concernées par le programme de relogement tracé par la wilaya dans le cadre du plan de lutte contre l'habitat précaire, qui s'étale jusqu'à la fin de l'année en cours. El Mouradia : Des noms de martyrs pour certaines rues Plusieurs rues de la commune d'El Mouradia ont changé d'appellation officielle depuis hier. C'est dans le cadre de la journée de l'étudiant que la wilaya d'Alger a procédé à l'attribution de noms de martyrs de la guerre de libération nationale à des rues et structures publiques de la capitale. Ainsi, l'avenue Berry portera le nom de Mohammed Chebira et la rue jules Favre celui de Saâdoun Mustapha. La crèche communale sera baptisée Ben Laâla Lakhdar. Cité Bouzegza (Réghaïa) : Boulangerie industrielle au milieu de la cité Une boulangerie industrielle implantée au milieu de la cité Bouzegza (ex-Segna), dans la commune de Réghaïa, altère considérablement le cadre de vie de ses habitants qui sont réduits à subir au quotidien une panoplie de nuisances. Un bruit infernal provient ainsi de la boulangerie, mais sans que cela n'inquiète le propriétaire qui, de jour comme de nuit, porte préjudice au voisinage. Par ailleurs, les habitants du quartier, particulièrement ceux de la coopérative immobilière El Anouar où est précisément implantée ladite boulangerie, se plaignent du bruit qui augmente d'intensité à chaque fois que le courant électrique est coupé, car l'établissement continue de fonctionner grâce à un groupe électrogène. Aussi, les habitants sont contraints de supporter les incessants va-et-vient des livreurs de pain, qui, très tôt le matin, défilent en procession devant la boulangerie pour prendre leurs chargements. En plus du bruit des moteurs en marche, les portières qui claquent et les klaxons qui fusent troublent la tranquillité des lieux. Outre ces nuisances sonores, l'endroit grouille de rats attirés par la semoule et la farine, présentant un danger avéré sur la santé des riverains. Les responsables locaux tardent à prendre une décision qui s'impose dans ce cas de figure.