L'Algérie vient d'opposer un ferme démenti aux allégations colportées par certaines parties, impliquant de prétendus mercenaires algériens dans les combats contre les rebelles en Libye. L'Algérie vient d'opposer un ferme démenti aux allégations colportées par certaines parties, impliquant de prétendus mercenaires algériens dans les combats contre les rebelles en Libye. En effet, le ministère des Affaires étrangères a qualifié hier, à Alger, d'"allégations calomnieuses" les opérations de désinformation visant à impliquer les autorités algériennes dans ce qui est présenté comme des activités de mercenariat menées par de présumés nationaux algériens. À ce sujet, le directeur général de la communication au ministère a déclaré qu'il lui a été donné, en tant que porte-parole du MAE, de "démentir catégoriquement, et à plusieurs reprises, ces allégations calomnieuses qui s'apparentent à des opérations de désinformation visant à impliquer les autorités algériennes dans ce qui est présenté comme des activités de mercenariat menées par de présumés nationaux algériens". Le porte-parole du MAE a souligné que "les motivations de ceux qui commanditent et véhiculent ces allégations infondées pour nuire à la réputation de l'Algérie, sont visiblement dictées par leur volonté de pousser notre pays à choisir de soutenir un camp contre l'autre dans la crise fratricide qui déchire la Libye sœur". En ce sens, l'Algérie continuera "inlassablement" de joindre sa voix à celle de l'Union africaine (UA) pour appeler à la "cessation immédiate" de toutes les hostilités et à l'engagement d'un "dialogue inclusif" entre les parties libyennes en vue de "s'accorder sur les modalités de sortie de crise", a-t-il affirmé. Le porte-parole du MAE a rappelé que "le gouvernement algérien qui s'est toujours insurgé contre le phénomène du mercenariat en Afrique, en raison de ses conséquences désastreuses sur la stabilité et la sécurité du continent, a entrepris au début de l'année 2011 un important travail de coordination au niveau des structures compétentes de l'UA chargées de la lutte contre le phénomène du mercenariat". Pour rappel, l'Algérie a eu déjà à subir cette cabale orchestrée au tout début des hostilités en Libye voisine, faisant état de prétendus mercenaires sahraouis transportés par des avions algériens à la rescousse du guide libyen Mouammar Kadhafi. «Le ministère des Affaires étrangères dément, de la manière la plus catégorique, les allégations mensongères colportées par certains sites électroniques ainsi que par certaines chaînes de télévision satellitaires sur une prétendue utilisation d'avions militaires algériens pour transporter des mercenaires en Libye», avait alors réagi aussitôt la diplomatie algérienne. Mieux, une source sahraouie avait accusé le Makhzen d'être derrière ces allégations, en multipliant l'intox et la désinformation pour impliquer l'Algérie dans le bourbier libyen. Or, l'Algérie a su déjouer les manœuvres, en réitérant à chaque occasion ses appels au cessez-le-feu, dans le strict respect des clauses de l'UA, organe africain suprême qui veille sur la sécurité dans le continent. En effet, le ministère des Affaires étrangères a qualifié hier, à Alger, d'"allégations calomnieuses" les opérations de désinformation visant à impliquer les autorités algériennes dans ce qui est présenté comme des activités de mercenariat menées par de présumés nationaux algériens. À ce sujet, le directeur général de la communication au ministère a déclaré qu'il lui a été donné, en tant que porte-parole du MAE, de "démentir catégoriquement, et à plusieurs reprises, ces allégations calomnieuses qui s'apparentent à des opérations de désinformation visant à impliquer les autorités algériennes dans ce qui est présenté comme des activités de mercenariat menées par de présumés nationaux algériens". Le porte-parole du MAE a souligné que "les motivations de ceux qui commanditent et véhiculent ces allégations infondées pour nuire à la réputation de l'Algérie, sont visiblement dictées par leur volonté de pousser notre pays à choisir de soutenir un camp contre l'autre dans la crise fratricide qui déchire la Libye sœur". En ce sens, l'Algérie continuera "inlassablement" de joindre sa voix à celle de l'Union africaine (UA) pour appeler à la "cessation immédiate" de toutes les hostilités et à l'engagement d'un "dialogue inclusif" entre les parties libyennes en vue de "s'accorder sur les modalités de sortie de crise", a-t-il affirmé. Le porte-parole du MAE a rappelé que "le gouvernement algérien qui s'est toujours insurgé contre le phénomène du mercenariat en Afrique, en raison de ses conséquences désastreuses sur la stabilité et la sécurité du continent, a entrepris au début de l'année 2011 un important travail de coordination au niveau des structures compétentes de l'UA chargées de la lutte contre le phénomène du mercenariat". Pour rappel, l'Algérie a eu déjà à subir cette cabale orchestrée au tout début des hostilités en Libye voisine, faisant état de prétendus mercenaires sahraouis transportés par des avions algériens à la rescousse du guide libyen Mouammar Kadhafi. «Le ministère des Affaires étrangères dément, de la manière la plus catégorique, les allégations mensongères colportées par certains sites électroniques ainsi que par certaines chaînes de télévision satellitaires sur une prétendue utilisation d'avions militaires algériens pour transporter des mercenaires en Libye», avait alors réagi aussitôt la diplomatie algérienne. Mieux, une source sahraouie avait accusé le Makhzen d'être derrière ces allégations, en multipliant l'intox et la désinformation pour impliquer l'Algérie dans le bourbier libyen. Or, l'Algérie a su déjouer les manœuvres, en réitérant à chaque occasion ses appels au cessez-le-feu, dans le strict respect des clauses de l'UA, organe africain suprême qui veille sur la sécurité dans le continent.