Une étude américaine, menée par une équipe de la Harvard school of Public Health de Boston, s'est intéressée à la consommation de poissons qui contiennent des traces de méthyl de mercure. Lors de cette étude publiée dans le New England Journal of Medicine, il a été constaté qu'une consommation de poissons contenant un peu de mercure n'augmente pas le risque de maladies cardiaques ou d'accidents vasculaires cérébraux. D'après l'AHA (Association américaine de cardiologie), il est donc possible de continuer de manger du poisson sans danger. L'éventuel mercure contenu dans les poissons n'aurait pas de conséquences sur la santé cardiovasculaire. Au contraire, les cardiologues recommandent de manger du poisson au moins deux fois par semaine, les nutriments qu'ils contiennent sont bons pour la santé du coeur et des artères. Une étude américaine, menée par une équipe de la Harvard school of Public Health de Boston, s'est intéressée à la consommation de poissons qui contiennent des traces de méthyl de mercure. Lors de cette étude publiée dans le New England Journal of Medicine, il a été constaté qu'une consommation de poissons contenant un peu de mercure n'augmente pas le risque de maladies cardiaques ou d'accidents vasculaires cérébraux. D'après l'AHA (Association américaine de cardiologie), il est donc possible de continuer de manger du poisson sans danger. L'éventuel mercure contenu dans les poissons n'aurait pas de conséquences sur la santé cardiovasculaire. Au contraire, les cardiologues recommandent de manger du poisson au moins deux fois par semaine, les nutriments qu'ils contiennent sont bons pour la santé du coeur et des artères.