Le port de Béjaïa a accusé, durant le premier trimestre 2011, une baisse sensible de son activité, marquant une décrue de 31%, comparativement à la même période de l'année 2010, indique un bilan de cette entreprise portuaire. Seulement 2,46 millions de tonnes de marchandises y ont été traitées, contre 3,58 millions antérieurement, a-t-on précisé, soulignant que cette baisse a affecté autant les importations que les exportations. "Quasiment tous les indicateurs se sont affichés à marée basse", a-t-on ajouté, mettant en relief le tassement des importations de céréales, notamment le blé (-29 %) et le Soja (22%), la réduction de celles inhérentes à certains produits de base, dont le sucre (-23 %) et les huiles (-6 %) ou encore les matériaux de construction, à l'instar du ciment (92%) et du bois (- 4%). De ce panel régressif, le poste lié aux exportations d'hydrocarbures et par extension celui des vracs liquides, dominant habituellement dans le trafic du port, reste, en revanche, celui qui a produit le plus grand effet dégressif, avec une baisse de l'ordre de 45%, souligne-t-on. La raison tient, visiblement, dans la rénovation de l'oléoduc allant des limites de la wilaya (Beni-Mançour) à Béjaïa, en œuvre depuis plusieurs mois, a-t-on expliqué, indiquant que le trafic général en l'espèce a été orienté vers le terminal de Skikda. Cependant, l'évolution d'autres indicateurs a amorti "un tant soit peu" cette baisse "historique", "la plus mauvaise de la décennie". Cette évolution a été l'apanage du sucre à l'exportation (+ 48%),soit un volume de 43.88 tonnes contre 29.423 tonnes et les marchandises diverses à l'importation (+ 13%). L'embellie a également caractérisé, le trafic conteneurisé, auteur d'une progression de 8%, soit 40.870 EVP (équivalent vingt pieds) traités contre 37.802 unités en 2010. Le port de Béjaïa a accusé, durant le premier trimestre 2011, une baisse sensible de son activité, marquant une décrue de 31%, comparativement à la même période de l'année 2010, indique un bilan de cette entreprise portuaire. Seulement 2,46 millions de tonnes de marchandises y ont été traitées, contre 3,58 millions antérieurement, a-t-on précisé, soulignant que cette baisse a affecté autant les importations que les exportations. "Quasiment tous les indicateurs se sont affichés à marée basse", a-t-on ajouté, mettant en relief le tassement des importations de céréales, notamment le blé (-29 %) et le Soja (22%), la réduction de celles inhérentes à certains produits de base, dont le sucre (-23 %) et les huiles (-6 %) ou encore les matériaux de construction, à l'instar du ciment (92%) et du bois (- 4%). De ce panel régressif, le poste lié aux exportations d'hydrocarbures et par extension celui des vracs liquides, dominant habituellement dans le trafic du port, reste, en revanche, celui qui a produit le plus grand effet dégressif, avec une baisse de l'ordre de 45%, souligne-t-on. La raison tient, visiblement, dans la rénovation de l'oléoduc allant des limites de la wilaya (Beni-Mançour) à Béjaïa, en œuvre depuis plusieurs mois, a-t-on expliqué, indiquant que le trafic général en l'espèce a été orienté vers le terminal de Skikda. Cependant, l'évolution d'autres indicateurs a amorti "un tant soit peu" cette baisse "historique", "la plus mauvaise de la décennie". Cette évolution a été l'apanage du sucre à l'exportation (+ 48%),soit un volume de 43.88 tonnes contre 29.423 tonnes et les marchandises diverses à l'importation (+ 13%). L'embellie a également caractérisé, le trafic conteneurisé, auteur d'une progression de 8%, soit 40.870 EVP (équivalent vingt pieds) traités contre 37.802 unités en 2010.