L'Algérie condamne avec la plus grande fermeté le «lâche attentat» terroriste qui a visé le café «Argana» sur la place centrale de Marrakech, a indiqué, hier, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, dans une déclaration. L'Algérie condamne avec la plus grande fermeté le «lâche attentat» terroriste qui a visé le café «Argana» sur la place centrale de Marrakech, a indiqué, hier, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, dans une déclaration. Il s'agit là, a-t-on ajouté, d'« un acte aussi abject qui ne peut que susciter une condamnation sans appel », « Dans ces circonstances tragiques, nous adressons nos condoléances les plus attristées au autorités et au peuple frère du Maroc et nous assurons les familles des victimes de nos sentiments de sympathie et de compassion », a conclu la déclaration du porte-parole du ministère des Affaires étrangères algérien.L'attentat meurtrier dans cette grande ville touristique à 350 km au sud de Rabat, selon les autorités marocaines, a fait 16 morts dont 11 de nationalité étrangère et 23 blessés. Le ministre de l'Intérieur marocain, Taieb Cherqaoui a déclaré, jeudi soir, que l'attentat perpétré était un « acte terroriste résultant d'une forte déflagration provoquée par un engin explosif ». Pour l'heure, en l'absence de nouveaux éléments, la piste terroriste reste celle avancée par les autorités marocaines, qui ont annoncé que les investigations étaient en cours pour déterminer l'identité et les nationalités des victimes étrangères. « Les éléments de l'enquête que nous avons permettent d'affirmer que c'est la thèse de l'attentat qui prévaut », a affirmé un responsable du ministère de l'Intérieur, sans donner plus de précisions, cité par l'agence de presse marocaine Hier après-midi, les enquêteurs marocains ont annoncé avoir pu identifier sept personnes, selon un communiqué du ministère de l'intérieur marocain, cité par MAP. Il s'agit de deux Marocains, deux ressortissants français, deux ressortissants canadiens et un hollandais, précise-t-on de même source. Par ailleurs, un responsable de la préfecture de Marrakech avait indiqué à la presse que selon des informations en sa possession, « il pourrait s'agir d'un acte perpétré par un kamikaze ». Les attentats de Casablanca menés par des extrémistes islamistes, le 16 mai 2003, rappelle-t-on, avaient fait 45 morts, dont 12 kamikazes. Il s'agit là, a-t-on ajouté, d'« un acte aussi abject qui ne peut que susciter une condamnation sans appel », « Dans ces circonstances tragiques, nous adressons nos condoléances les plus attristées au autorités et au peuple frère du Maroc et nous assurons les familles des victimes de nos sentiments de sympathie et de compassion », a conclu la déclaration du porte-parole du ministère des Affaires étrangères algérien.L'attentat meurtrier dans cette grande ville touristique à 350 km au sud de Rabat, selon les autorités marocaines, a fait 16 morts dont 11 de nationalité étrangère et 23 blessés. Le ministre de l'Intérieur marocain, Taieb Cherqaoui a déclaré, jeudi soir, que l'attentat perpétré était un « acte terroriste résultant d'une forte déflagration provoquée par un engin explosif ». Pour l'heure, en l'absence de nouveaux éléments, la piste terroriste reste celle avancée par les autorités marocaines, qui ont annoncé que les investigations étaient en cours pour déterminer l'identité et les nationalités des victimes étrangères. « Les éléments de l'enquête que nous avons permettent d'affirmer que c'est la thèse de l'attentat qui prévaut », a affirmé un responsable du ministère de l'Intérieur, sans donner plus de précisions, cité par l'agence de presse marocaine Hier après-midi, les enquêteurs marocains ont annoncé avoir pu identifier sept personnes, selon un communiqué du ministère de l'intérieur marocain, cité par MAP. Il s'agit de deux Marocains, deux ressortissants français, deux ressortissants canadiens et un hollandais, précise-t-on de même source. Par ailleurs, un responsable de la préfecture de Marrakech avait indiqué à la presse que selon des informations en sa possession, « il pourrait s'agir d'un acte perpétré par un kamikaze ». Les attentats de Casablanca menés par des extrémistes islamistes, le 16 mai 2003, rappelle-t-on, avaient fait 45 morts, dont 12 kamikazes.