Les prix du pétrole ont enregistré une baisse ces derniers jours après avoir grimpé jusqu'à 120 dollars. En effet, les prix du pétrole ont encore fortement reculé vendredi à New York après une séance en dents de scie, prolongeant le plongeon de la veille malgré une accélération de la création d'emplois aux Etats-Unis. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en juin a terminé à 97,18 dollars, en repli de 2,62 dollars par rapport à la veille. Sur la semaine, le baril a lâché 16,75 dollars, ou 14,7% par rapport à la clôture de vendredi dernier. Alors que, soutenu par des chiffres de l'emploi meilleurs qu'attendu, le baril a gagné jusqu'à 2,5% en séance, à plus de 102 dollars, le ton négatif de la semaine a finalement repris le dessus peu avant la clôture. "Les faibles indicateurs économiques de cette semaine ont vraiment coupé l'élan du marché", a observé Matt Smith, de Summit Energy. "Les chiffres mensuels de l'emploi ont été meilleurs qu'attendu en termes de création d'emplois mais la hausse du taux de chômage n'est à l'évidence pas une bonne chose", a ajouté l'analyste. Dans un premier temps, le marché du pétrole a réagi positivement à ces chiffres très attendus, se concentrant sur les 244.000 emplois nets créés en avril, lui permettant d'effacer une partie des pertes considérables enregistrées la veille, de près de 10 dollars. Mais, le taux de chômage est remonté après quatre mois de baisse, à 9,0%. Avant la publication de ces chiffres, le cours du baril était descendu jusqu'à 94,63 dollars. A quelques minutes de la clôture, et du week-end, le baril, dont le prix se stabilisait, a fortement reculé. Les prix du pétrole ont enregistré une baisse ces derniers jours après avoir grimpé jusqu'à 120 dollars. En effet, les prix du pétrole ont encore fortement reculé vendredi à New York après une séance en dents de scie, prolongeant le plongeon de la veille malgré une accélération de la création d'emplois aux Etats-Unis. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en juin a terminé à 97,18 dollars, en repli de 2,62 dollars par rapport à la veille. Sur la semaine, le baril a lâché 16,75 dollars, ou 14,7% par rapport à la clôture de vendredi dernier. Alors que, soutenu par des chiffres de l'emploi meilleurs qu'attendu, le baril a gagné jusqu'à 2,5% en séance, à plus de 102 dollars, le ton négatif de la semaine a finalement repris le dessus peu avant la clôture. "Les faibles indicateurs économiques de cette semaine ont vraiment coupé l'élan du marché", a observé Matt Smith, de Summit Energy. "Les chiffres mensuels de l'emploi ont été meilleurs qu'attendu en termes de création d'emplois mais la hausse du taux de chômage n'est à l'évidence pas une bonne chose", a ajouté l'analyste. Dans un premier temps, le marché du pétrole a réagi positivement à ces chiffres très attendus, se concentrant sur les 244.000 emplois nets créés en avril, lui permettant d'effacer une partie des pertes considérables enregistrées la veille, de près de 10 dollars. Mais, le taux de chômage est remonté après quatre mois de baisse, à 9,0%. Avant la publication de ces chiffres, le cours du baril était descendu jusqu'à 94,63 dollars. A quelques minutes de la clôture, et du week-end, le baril, dont le prix se stabilisait, a fortement reculé.