Une étude sur les flux migratoires mixtes et les capacités institutionnelles de gestion de ces flux en Algérie a été au centre d'un atelier organisé mercredi à Alger dans le cadre du projet "Algérie : Renforcer la protection des migrants et les capacités de gestion des flux migratoires mixtes". Cet atelier débattra de la méthodologie de l'étude et du lancement du projet sur la problématique des flux migratoires mixtes et le renforcement des capacités nationales dans ce domaine. Sont chargés de conduire cette étude, pendant trois ans, le Centre International pour le développement des politiques migratoires (ICMPD), en collaboration avec le Conseil Italien pour les réfugiés (CIR), le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR), l'Union des juristes italiens pour la défense des droits de l'Homme et la commission nationale (algérienne) consultative pour la protection des droits de l'Homme (CNCPPDH). Cette étude est destinée, selon la CNCPPDH, à servir de base aux activités à venir dans le cadre de ce projet, mais également à permettre une meilleure réponse aux besoins de l'Algérie en matière de migration. Dans ce cadre, les initiateurs visent principalement à combler les possibles lacunes dans la connaissance des flux migratoires mixtes en Algérie et de contribuer au renforcement des capacités nationales dans la gestion de ces flux. Une étude sur les flux migratoires mixtes et les capacités institutionnelles de gestion de ces flux en Algérie a été au centre d'un atelier organisé mercredi à Alger dans le cadre du projet "Algérie : Renforcer la protection des migrants et les capacités de gestion des flux migratoires mixtes". Cet atelier débattra de la méthodologie de l'étude et du lancement du projet sur la problématique des flux migratoires mixtes et le renforcement des capacités nationales dans ce domaine. Sont chargés de conduire cette étude, pendant trois ans, le Centre International pour le développement des politiques migratoires (ICMPD), en collaboration avec le Conseil Italien pour les réfugiés (CIR), le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR), l'Union des juristes italiens pour la défense des droits de l'Homme et la commission nationale (algérienne) consultative pour la protection des droits de l'Homme (CNCPPDH). Cette étude est destinée, selon la CNCPPDH, à servir de base aux activités à venir dans le cadre de ce projet, mais également à permettre une meilleure réponse aux besoins de l'Algérie en matière de migration. Dans ce cadre, les initiateurs visent principalement à combler les possibles lacunes dans la connaissance des flux migratoires mixtes en Algérie et de contribuer au renforcement des capacités nationales dans la gestion de ces flux.