Huit ans de prison ferme, tel est le verdict rendu, jeudi dernier, par le tribunal criminel près la cour de Boumerdès, à l'encontre des deux kidnappeurs d'un jeune garçon dans la wilaya de Boumerdès. Les mis en cause sont poursuivis pour les chefs d'inculpation de kidnapping et rapt, séquestration de personnes et demande de rançons. La genèse de cette affaire remonte au 12 avril 2008, lorsque ces deux personnes, K.A. et B.B. ont kidnappé le jeune Ouaïl, âgé alors de huit ans, alors qu'il se dirigeait vers le domicile familial à la sortie de l'école à Souk El-Had, au sud-est de Boumerdès. Au moment des faits, les deux kidnappeurs s'étaient fait passer pour des terroristes afin d'accomplir leur méfait. Notons qu'en cette période, le phénomène des rapts dans la région était légion et défrayait la chronique locale. Les ravisseurs ont, par la suite, contacté le père de l'otage exigeant de lui le versement d'une rançon de 160 millions en contrepartie de la libération de son fils. Une somme, qui aurait été versée de manière échelonnée, indique-t-on. Mais, entre-temps, les services de sécurités seront alertés et les ravisseurs arrêtés vingt jours après l'enlèvement du garçon. Le représentant du ministère public a requis à leur encontre une peine à la perpétuité. Rappelons que les deux accusés avaient écopé, en 2009, d'une peine de 15 ans de prison ferme. Par ailleurs, la même instance judicaire a condamné au courant de la semaine dernière, les ravisseurs de la petite Aya, à des peines allant de 8 à 10 ans de prison ferme. Ses ravisseurs, parmi eux deux femmes, ont été appréhendés peu de temps après le rapt, en août 2010, par les services de sécurité dans la ville de Tizi- Ouzou. Huit ans de prison ferme, tel est le verdict rendu, jeudi dernier, par le tribunal criminel près la cour de Boumerdès, à l'encontre des deux kidnappeurs d'un jeune garçon dans la wilaya de Boumerdès. Les mis en cause sont poursuivis pour les chefs d'inculpation de kidnapping et rapt, séquestration de personnes et demande de rançons. La genèse de cette affaire remonte au 12 avril 2008, lorsque ces deux personnes, K.A. et B.B. ont kidnappé le jeune Ouaïl, âgé alors de huit ans, alors qu'il se dirigeait vers le domicile familial à la sortie de l'école à Souk El-Had, au sud-est de Boumerdès. Au moment des faits, les deux kidnappeurs s'étaient fait passer pour des terroristes afin d'accomplir leur méfait. Notons qu'en cette période, le phénomène des rapts dans la région était légion et défrayait la chronique locale. Les ravisseurs ont, par la suite, contacté le père de l'otage exigeant de lui le versement d'une rançon de 160 millions en contrepartie de la libération de son fils. Une somme, qui aurait été versée de manière échelonnée, indique-t-on. Mais, entre-temps, les services de sécurités seront alertés et les ravisseurs arrêtés vingt jours après l'enlèvement du garçon. Le représentant du ministère public a requis à leur encontre une peine à la perpétuité. Rappelons que les deux accusés avaient écopé, en 2009, d'une peine de 15 ans de prison ferme. Par ailleurs, la même instance judicaire a condamné au courant de la semaine dernière, les ravisseurs de la petite Aya, à des peines allant de 8 à 10 ans de prison ferme. Ses ravisseurs, parmi eux deux femmes, ont été appréhendés peu de temps après le rapt, en août 2010, par les services de sécurité dans la ville de Tizi- Ouzou.