Dans le cadre des rencontres littéraires initiées par l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) en partenariat avec les éditions Actes Sud, José Carlos Somoza sera le samedi 18 juin à partir de 16h l'invité d'honneur de Diwan Dar Abdellatif. Dans le cadre des rencontres littéraires initiées par l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) en partenariat avec les éditions Actes Sud, José Carlos Somoza sera le samedi 18 juin à partir de 16h l'invité d'honneur de Diwan Dar Abdellatif. Après l'écrivain algérien Waciny Laredj qui a été l'écrivain phare le 4 juin passé passé, l'AARC renoue avec les événements culturels originaux avec cet autre invité venu de l'autre côté de la Méditerranée. Depuis novembre 2010, l'AARC, le Diwan Dar Abdellatif, en partenariat avec les éditions Actes Sud, propose un cycle de rencontres avec des écrivains issus des cinq continents. Le Diwan Dar Abdellatif a déjà reçu Nimrod, Luigi Guarnieri, Andreï Guelassimov et Emmelene Landon. Ainsi, avec ces événements organisés depuis 2009, l'AARC, par le biais de Diwan Dar Abdellatif, fait de son espace un lieu pour des échanges culturels ouverts aux artistes de toutes disciplines, écrivains, chercheurs et acteurs divers de la vie culturelle. Diwan Dar Abdelatif vise, en effet, à donner de la visibilité à leurs créations et idées et à leur offrir des occasions de rencontre avec les publics dans un cadre magnifique qui incarne l'histoire culturelle du pays. C'est un programme qui se déroule principalement à Dar Abdellatif, mais rayonne aussi dans divers lieux culturels. Des thèmes nouveaux et originaux sur les divers territoires de l'art ont été proposés au Diwan Dar Abdellatif en privilégiant les aires géoculturelles du Monde arabe, de l'Afrique et de la Méditerranée. José Carlos Somoza est né à La Havane (Cuba) en 1959. Sa famille s'exile rapidement en Espagne, pour des raisons politiques. Diplômé de psychiatrie/psychanalyse en 1994, il a exercé à Madrid, puis s'est arrêté pour se consacrer à l'écriture. Aujourd'hui, et contrairement à la façon dont on le présente souvent, il ne se considère plus omme Cubain et psychiatre, mais Espagnol et écrivain.«Je suis né le 13 novembre 1959 à La Havane, Cuba. En 1960, ma famille s'est exilée pour des raisons politiques. Certains amis ont été accueillis en Espagne. Ce fut une chance, parce que mes parents sont venus sans leur ou argent car ils n'étaient pas autorisés à prendre quelque chose hors du pays, sauf moi. J'ai vécu toute ma vie en Espagne, et je suis espagnol. Résidé à Madrid et à Cordoue, où j'ai commencé mes études en médecine et en psychiatrie. En 1994, le titre de psychiatre sous le bras, j'ai commencé à soumettre des manuscrits aux concours et aux éditeurs. Mon premier roman a été publié la même année. Ayant remporté de grand prix. J'ai décidé de quitter la psychiatrie pour me consacré à l'écriture. » C'est avec ces mots que José Carlos Somoza définit sa vie emplie d'aventures. Malgré la rudesse de la vie, il a percé dans son aventure littéraire qui l'a mené dans divers pays. Aujourd'hui, plus que jamais, il est assoiffé de connaître l'existence des autres personnes dans le monde, d'où un site officiel qu'il a ouvert et qu'il l'a consacré pour un échange de débats et d'idées «J'offre cette page à mes lecteurs pour un échange. Pour me laisser vous connaître un peu et pour que vous me connaissez un peu également. Je crois fermement que l'écriture est la seule magie vraie que nous avons encore. Elle est capable de construire des mondes et les habitudes, les destinations, les gestes, la forme de la vie. Alors mes livres sont toujours différents, ils restent qu'ils ont des liens communs, comme le mystère, comme le jeu. Ma seule règle est d'essayer d'amener le lecteur à apprécier autant que moi la littérature » La Caverne des idées (2002), Clara et la pénombre (2003 ) La Dame n° 13 (2005), La Théorie des cordes (2007), Daphné disparue (2008), La Clé de l'abîme (2009) L'Appât. Après l'écrivain algérien Waciny Laredj qui a été l'écrivain phare le 4 juin passé passé, l'AARC renoue avec les événements culturels originaux avec cet autre invité venu de l'autre côté de la Méditerranée. Depuis novembre 2010, l'AARC, le Diwan Dar Abdellatif, en partenariat avec les éditions Actes Sud, propose un cycle de rencontres avec des écrivains issus des cinq continents. Le Diwan Dar Abdellatif a déjà reçu Nimrod, Luigi Guarnieri, Andreï Guelassimov et Emmelene Landon. Ainsi, avec ces événements organisés depuis 2009, l'AARC, par le biais de Diwan Dar Abdellatif, fait de son espace un lieu pour des échanges culturels ouverts aux artistes de toutes disciplines, écrivains, chercheurs et acteurs divers de la vie culturelle. Diwan Dar Abdelatif vise, en effet, à donner de la visibilité à leurs créations et idées et à leur offrir des occasions de rencontre avec les publics dans un cadre magnifique qui incarne l'histoire culturelle du pays. C'est un programme qui se déroule principalement à Dar Abdellatif, mais rayonne aussi dans divers lieux culturels. Des thèmes nouveaux et originaux sur les divers territoires de l'art ont été proposés au Diwan Dar Abdellatif en privilégiant les aires géoculturelles du Monde arabe, de l'Afrique et de la Méditerranée. José Carlos Somoza est né à La Havane (Cuba) en 1959. Sa famille s'exile rapidement en Espagne, pour des raisons politiques. Diplômé de psychiatrie/psychanalyse en 1994, il a exercé à Madrid, puis s'est arrêté pour se consacrer à l'écriture. Aujourd'hui, et contrairement à la façon dont on le présente souvent, il ne se considère plus omme Cubain et psychiatre, mais Espagnol et écrivain.«Je suis né le 13 novembre 1959 à La Havane, Cuba. En 1960, ma famille s'est exilée pour des raisons politiques. Certains amis ont été accueillis en Espagne. Ce fut une chance, parce que mes parents sont venus sans leur ou argent car ils n'étaient pas autorisés à prendre quelque chose hors du pays, sauf moi. J'ai vécu toute ma vie en Espagne, et je suis espagnol. Résidé à Madrid et à Cordoue, où j'ai commencé mes études en médecine et en psychiatrie. En 1994, le titre de psychiatre sous le bras, j'ai commencé à soumettre des manuscrits aux concours et aux éditeurs. Mon premier roman a été publié la même année. Ayant remporté de grand prix. J'ai décidé de quitter la psychiatrie pour me consacré à l'écriture. » C'est avec ces mots que José Carlos Somoza définit sa vie emplie d'aventures. Malgré la rudesse de la vie, il a percé dans son aventure littéraire qui l'a mené dans divers pays. Aujourd'hui, plus que jamais, il est assoiffé de connaître l'existence des autres personnes dans le monde, d'où un site officiel qu'il a ouvert et qu'il l'a consacré pour un échange de débats et d'idées «J'offre cette page à mes lecteurs pour un échange. Pour me laisser vous connaître un peu et pour que vous me connaissez un peu également. Je crois fermement que l'écriture est la seule magie vraie que nous avons encore. Elle est capable de construire des mondes et les habitudes, les destinations, les gestes, la forme de la vie. Alors mes livres sont toujours différents, ils restent qu'ils ont des liens communs, comme le mystère, comme le jeu. Ma seule règle est d'essayer d'amener le lecteur à apprécier autant que moi la littérature » La Caverne des idées (2002), Clara et la pénombre (2003 ) La Dame n° 13 (2005), La Théorie des cordes (2007), Daphné disparue (2008), La Clé de l'abîme (2009) L'Appât.