L'écrivain égyptien Khaled al-Khamissi sera en algérie aujourd'hui 9 avril 2011 à partir de à 14 h 30 à la salle Frantz Fanon, Riadh El Feth. Cette rencontre littéraire, qui entre dans le cadre de l'espace d'échanges culturels de l'AARC, le Diwan Dar Abdellatif, en partenariat avec les éditions Actes Sud, propose, depuis novembre 2010, un cycle de rencontres avec des écrivains issus des cinq continents. Le Diwan Dar Abdellatif a déjà reçu Nimrod, Luigi Guarnieri, Andreï Guelassimov et Emmelene Landon. L'écrivain égyptien Khaled al-Khamissi sera en algérie aujourd'hui 9 avril 2011 à partir de à 14 h 30 à la salle Frantz Fanon, Riadh El Feth. Cette rencontre littéraire, qui entre dans le cadre de l'espace d'échanges culturels de l'AARC, le Diwan Dar Abdellatif, en partenariat avec les éditions Actes Sud, propose, depuis novembre 2010, un cycle de rencontres avec des écrivains issus des cinq continents. Le Diwan Dar Abdellatif a déjà reçu Nimrod, Luigi Guarnieri, Andreï Guelassimov et Emmelene Landon. Jusqu'à juin 2011, il accueillera Breyten Breytenbach, Jabbour Douaihy, Bahiyyih Nakhjanvani, Waciny Laredj, José Carlos Somoza, Mathias Enard et Farouk Mardam Bey. Ainsi avec cet événement organisé depuis 2009, l'AARC, par le biais de Diwan Dar Abdellatif, fait de son espace un lieu pour des échanges culturels ouvert aux artistes de toutes disciplines, écrivains, chercheurs et acteurs divers de la vie culturelle. Le Diwan Dar Abdelatif vise en effet à donner de la visibilité à leurs créations et idées et à leur offrir des occasions de rencontre avec les publics dans un cadre magnifique qui incarne l'histoire culturelle du pays. C'est un programme qui se déroule principalement à Dar Abdellatif mais rayonne aussi dans divers lieux culturels. Des thèmes nouveaux et originaux sur les divers territoires de l'art ont été proposés au Diwan Dar Abdellatif en privilégiant les aires géoculturelles du Monde arabe, de l'Afrique et de la Méditerranée. Dans cette démarche, deux rencontres ont porté sur la résistance culturelle palestinienne, du fait de son actualité et de son intérêt. Après cette expérience initiale et donc perfectible, le Diwan Dar Abdellatif, à la faveur de la saison 2010-2011, est appelé à prendre de l'importance et à gagner en pertinence et en audience. Il s'agit de maintenir sa diversité tout en mettant en place des lignes de réflexion. La forme choisie est celle de cycles de rencontres se poursuivant tout au long d'une saison, voire de plusieurs. Cette approche concerne tout particulièrement l'univers littéraire qui sera abordé en faisant connaître au public des maisons d'édition présentant des catalogues de qualité dans le roman, la nouvelle, la poésie, l'essai culturel, etc. Certains de leurs écrivains seront invités à Alger par l'AARC pour parler de leurs œuvres récentes mais aussi pour aborder avec les lecteurs et lectrices l'ensemble de leurs démarches littéraires. La première de ces maisons d'édition sera Actes Sud qui, comme son nom l'indique, se distingue sur la scène éditoriale internationale par un intérêt particulier pour les littératures du Sud. Des auteurs prestigieux de cette maison d'édition viendront également rencontrer les hommes et femmes de lettres algériens. Jusqu'au mois de juin, ces auteurs, issus des cinq continents, viendront présenter leurs récents ouvrages et discuter de leurs écritures et thématiques. Quant à l'écrivain Khaled al-Khamissi, il viendra présenter son dernier livre paruchez Actes Sud. Cet écrivain, journaliste et producteur Egyptien nous parlera certainement de sa conception de la littérature. Diplômé de sciences politiques à la Sorbonne, membre de l'élite de son pays, l'auteur de « Taxi » a su raconter dans la langue des rues, sans misérabilisme et avec humour, le sort des plus humbles. Son livre s'est vendu à plus de 75 000 exemplaires dans sa version originale, en arabe. Certains disent que Khaled Al-Khamissi s'est autocensuré. Que les 80 000 chauffeurs de taxi du Caire sont souvent plus grossiers que dans son livre. Qu'ils adorent les digressions sur le sexe, la drogue, le fric et les coups pendables qu'ils ont réussis ou ratés. Jusqu'à juin 2011, il accueillera Breyten Breytenbach, Jabbour Douaihy, Bahiyyih Nakhjanvani, Waciny Laredj, José Carlos Somoza, Mathias Enard et Farouk Mardam Bey. Ainsi avec cet événement organisé depuis 2009, l'AARC, par le biais de Diwan Dar Abdellatif, fait de son espace un lieu pour des échanges culturels ouvert aux artistes de toutes disciplines, écrivains, chercheurs et acteurs divers de la vie culturelle. Le Diwan Dar Abdelatif vise en effet à donner de la visibilité à leurs créations et idées et à leur offrir des occasions de rencontre avec les publics dans un cadre magnifique qui incarne l'histoire culturelle du pays. C'est un programme qui se déroule principalement à Dar Abdellatif mais rayonne aussi dans divers lieux culturels. Des thèmes nouveaux et originaux sur les divers territoires de l'art ont été proposés au Diwan Dar Abdellatif en privilégiant les aires géoculturelles du Monde arabe, de l'Afrique et de la Méditerranée. Dans cette démarche, deux rencontres ont porté sur la résistance culturelle palestinienne, du fait de son actualité et de son intérêt. Après cette expérience initiale et donc perfectible, le Diwan Dar Abdellatif, à la faveur de la saison 2010-2011, est appelé à prendre de l'importance et à gagner en pertinence et en audience. Il s'agit de maintenir sa diversité tout en mettant en place des lignes de réflexion. La forme choisie est celle de cycles de rencontres se poursuivant tout au long d'une saison, voire de plusieurs. Cette approche concerne tout particulièrement l'univers littéraire qui sera abordé en faisant connaître au public des maisons d'édition présentant des catalogues de qualité dans le roman, la nouvelle, la poésie, l'essai culturel, etc. Certains de leurs écrivains seront invités à Alger par l'AARC pour parler de leurs œuvres récentes mais aussi pour aborder avec les lecteurs et lectrices l'ensemble de leurs démarches littéraires. La première de ces maisons d'édition sera Actes Sud qui, comme son nom l'indique, se distingue sur la scène éditoriale internationale par un intérêt particulier pour les littératures du Sud. Des auteurs prestigieux de cette maison d'édition viendront également rencontrer les hommes et femmes de lettres algériens. Jusqu'au mois de juin, ces auteurs, issus des cinq continents, viendront présenter leurs récents ouvrages et discuter de leurs écritures et thématiques. Quant à l'écrivain Khaled al-Khamissi, il viendra présenter son dernier livre paruchez Actes Sud. Cet écrivain, journaliste et producteur Egyptien nous parlera certainement de sa conception de la littérature. Diplômé de sciences politiques à la Sorbonne, membre de l'élite de son pays, l'auteur de « Taxi » a su raconter dans la langue des rues, sans misérabilisme et avec humour, le sort des plus humbles. Son livre s'est vendu à plus de 75 000 exemplaires dans sa version originale, en arabe. Certains disent que Khaled Al-Khamissi s'est autocensuré. Que les 80 000 chauffeurs de taxi du Caire sont souvent plus grossiers que dans son livre. Qu'ils adorent les digressions sur le sexe, la drogue, le fric et les coups pendables qu'ils ont réussis ou ratés.