C'est l'entraîneur franco-bosniaque, Vahid Halilhodzic, qui succédera à Abdelhak Benchikha à la tête de la sélection algérienne de football pour une durée de trois ans à compter du 1er juillet prochain, a indiqué hier la Fédération algérienne de football (FAF) dans un communiqué rendu public hier sur son site officiel. «La Fédération Algérienne de Football a engagé M. Vahid Halilhodzic comme sélectionneur de l'équipe nationale d'Algérie pour trois années à partir du 1er juillet 2011, lit-on dans le même communiqué. C'est l'entraîneur franco-bosniaque, Vahid Halilhodzic, qui succédera à Abdelhak Benchikha à la tête de la sélection algérienne de football pour une durée de trois ans à compter du 1er juillet prochain, a indiqué hier la Fédération algérienne de football (FAF) dans un communiqué rendu public hier sur son site officiel. «La Fédération Algérienne de Football a engagé M. Vahid Halilhodzic comme sélectionneur de l'équipe nationale d'Algérie pour trois années à partir du 1er juillet 2011, lit-on dans le même communiqué. Il n'est une surprise pour personne, le nom de l'ex-coach de la Côte d'Ivoire a été évoqué avant même la débâcle de Marrakech, seulement les responsables du football algérien ont voulu suivre comment allait évoluer les choses au sein de cette équipe algérienne avant de prendre une décision. L'annonce vient de mettre définitivement un terme à la spéculation et au feuilleton d'un peu plus deux semaines qui a commencé signalons-le au soir de la défaite de Marrakech le 4 juin passé. Dès lors, cet entraîneur est devenu la cible privilégiée du patron de la FAF qui avait signalons-le un penchant pour lui, seulement Halilhodzic s'est engagé déjà avec le club croate Dinamo Zaghreb, club qu'il a rejoint l'été 2010 et qu'il a qualifié à la Champions League Européenne (UEFA) 2011/2012. Donc c'est pour cette raison qu'il décliné au premier temps l'offre algérienne. Mais après sa démission suite aux différents problèmes, les responsables du football algérien n'ont pas raté l'occasion en renouant de nouveau les contacts avec lui. Depuis, les choses ont atteint un niveau très important. Le profil et l'intérêt porté par Halilhodzic à la sélection nationale ont, toutefois fini par incité Mohamed Raouraoua, à entamer des négociations plus approfondies avec ce technicien. Des négociations qui ont été menées par deux membres de la commission censée d'étudier les candidatures à Paris, ont fini par la suite par un accord définitif entre les deux parties. Halilhodzic sera le huitième entraîneur étranger à prendre en main les destinées de la sélection algérienne depuis l'indépendance. Depuis le lancement de l'appel à candidature, le 8 juin passé, plusieurs noms avaient été évoqués comme possible successeurs d'Abdelhak Benchikha, à l'image de l'Allemand, Jurgen Klinsmann, le Brésilien Carlos Dunga, le Français Philippe Troussier et l'Argentin José Pekerman et dernièrement le Serbe Radomir Antic, mais le franco-bosniaque a été fortement pressenti. Le choix n'a pas été fait fortuitement, plusieurs atouts ont été pris en considération, notamment la longue, ce technicien a évolué comme joueur pendant plusieurs saison en première division française et il travaillé également comme entraîneur à Rennes, Lille et PSG, ce qui lui a permet du coup d'apprendre facilement le français. Ce qui a motivé également le choix de l'instance national, ce sont les capacité de cet homme de gérer les différentes mentalité que ce soient européennes, africaines ou même algérienne puisqu'il a travaillé dans pas mal de pays au monde. Vahid est un entraîneur qui connaît comment «gagner» les joueurs, il ne cède jamais à leur pression. Comme l'atteste bien évidement sa réussite avec plusieurs stars mondiales à l'image du portugais Pauleta au PSG, Didier Drogba et Yaya Touré et beaucoup d'autres. Si Vahid Halilhodzic est nommé entraîneur en chef de la sélection algérienne de football, il ne se sentira surtout pas gêné du fait qu'il travaillera avec deux assistants algériens à savoir Kaoua Abdennour et Belahdji Hassan, mais qui s'occuperont selon le communiqué de la FAF uniquement des gardiens but. Si pour Belhadji Hassan le travail avec Halilhodzic sera une premier dans son histoire, Kaoua qui était l'adjoint de Benchikha n'est pas une nouveauté puisqu'il a déjà eu l'occasion de travailler avec lui quand il était en Arabie saoudite, à Al Ittihad de Djeddah. Pour ce qui concerne le poste de Manager de l'équipe nationale, la FAF a maintenu toujours Abdelhafid Tasfaout pour assurer la coordination sportive. Pour ce qui concerne son parcours maghrébin, Halilhodzic a drivé déjà le Raja de Casablanca avec lequel il a remporté la Ligue des champions africaine et un titre de champion du Maroc. Objectif, CAN-2013 et la coupe du Monde-2014 Pratiquement éliminé de la course à la qualification à la CAN-2012 à moins d'un miracle, même si elle aura encore deux matches à disputer, Halilhodzic aura la lourde mission de qualifier l'Algérie pour la CAN-2013, et surtout le Mondial-2014 prévu au Brésil. Contrairement à ses prédécesseurs, cet entraîneur aura tout son temps pour bâtir une nouvelle équipe capable de faire bonne figure lors de ces deux importantes échéances. Dès le mois de novembre prochain Halilhodzic aura au moins quatre matches à disputer, deux en amical et deux autres officiels puisque la qualification à la CAN-2012 ne figure pas dans les objectifs assignés par la FAF. En tout cas, le franco-bosniaque aura devant lui tout le temps de monter un bon groupe qui marque surtout de buts. Il n'est une surprise pour personne, le nom de l'ex-coach de la Côte d'Ivoire a été évoqué avant même la débâcle de Marrakech, seulement les responsables du football algérien ont voulu suivre comment allait évoluer les choses au sein de cette équipe algérienne avant de prendre une décision. L'annonce vient de mettre définitivement un terme à la spéculation et au feuilleton d'un peu plus deux semaines qui a commencé signalons-le au soir de la défaite de Marrakech le 4 juin passé. Dès lors, cet entraîneur est devenu la cible privilégiée du patron de la FAF qui avait signalons-le un penchant pour lui, seulement Halilhodzic s'est engagé déjà avec le club croate Dinamo Zaghreb, club qu'il a rejoint l'été 2010 et qu'il a qualifié à la Champions League Européenne (UEFA) 2011/2012. Donc c'est pour cette raison qu'il décliné au premier temps l'offre algérienne. Mais après sa démission suite aux différents problèmes, les responsables du football algérien n'ont pas raté l'occasion en renouant de nouveau les contacts avec lui. Depuis, les choses ont atteint un niveau très important. Le profil et l'intérêt porté par Halilhodzic à la sélection nationale ont, toutefois fini par incité Mohamed Raouraoua, à entamer des négociations plus approfondies avec ce technicien. Des négociations qui ont été menées par deux membres de la commission censée d'étudier les candidatures à Paris, ont fini par la suite par un accord définitif entre les deux parties. Halilhodzic sera le huitième entraîneur étranger à prendre en main les destinées de la sélection algérienne depuis l'indépendance. Depuis le lancement de l'appel à candidature, le 8 juin passé, plusieurs noms avaient été évoqués comme possible successeurs d'Abdelhak Benchikha, à l'image de l'Allemand, Jurgen Klinsmann, le Brésilien Carlos Dunga, le Français Philippe Troussier et l'Argentin José Pekerman et dernièrement le Serbe Radomir Antic, mais le franco-bosniaque a été fortement pressenti. Le choix n'a pas été fait fortuitement, plusieurs atouts ont été pris en considération, notamment la longue, ce technicien a évolué comme joueur pendant plusieurs saison en première division française et il travaillé également comme entraîneur à Rennes, Lille et PSG, ce qui lui a permet du coup d'apprendre facilement le français. Ce qui a motivé également le choix de l'instance national, ce sont les capacité de cet homme de gérer les différentes mentalité que ce soient européennes, africaines ou même algérienne puisqu'il a travaillé dans pas mal de pays au monde. Vahid est un entraîneur qui connaît comment «gagner» les joueurs, il ne cède jamais à leur pression. Comme l'atteste bien évidement sa réussite avec plusieurs stars mondiales à l'image du portugais Pauleta au PSG, Didier Drogba et Yaya Touré et beaucoup d'autres. Si Vahid Halilhodzic est nommé entraîneur en chef de la sélection algérienne de football, il ne se sentira surtout pas gêné du fait qu'il travaillera avec deux assistants algériens à savoir Kaoua Abdennour et Belahdji Hassan, mais qui s'occuperont selon le communiqué de la FAF uniquement des gardiens but. Si pour Belhadji Hassan le travail avec Halilhodzic sera une premier dans son histoire, Kaoua qui était l'adjoint de Benchikha n'est pas une nouveauté puisqu'il a déjà eu l'occasion de travailler avec lui quand il était en Arabie saoudite, à Al Ittihad de Djeddah. Pour ce qui concerne le poste de Manager de l'équipe nationale, la FAF a maintenu toujours Abdelhafid Tasfaout pour assurer la coordination sportive. Pour ce qui concerne son parcours maghrébin, Halilhodzic a drivé déjà le Raja de Casablanca avec lequel il a remporté la Ligue des champions africaine et un titre de champion du Maroc. Objectif, CAN-2013 et la coupe du Monde-2014 Pratiquement éliminé de la course à la qualification à la CAN-2012 à moins d'un miracle, même si elle aura encore deux matches à disputer, Halilhodzic aura la lourde mission de qualifier l'Algérie pour la CAN-2013, et surtout le Mondial-2014 prévu au Brésil. Contrairement à ses prédécesseurs, cet entraîneur aura tout son temps pour bâtir une nouvelle équipe capable de faire bonne figure lors de ces deux importantes échéances. Dès le mois de novembre prochain Halilhodzic aura au moins quatre matches à disputer, deux en amical et deux autres officiels puisque la qualification à la CAN-2012 ne figure pas dans les objectifs assignés par la FAF. En tout cas, le franco-bosniaque aura devant lui tout le temps de monter un bon groupe qui marque surtout de buts.
