Le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Bouguerra Soltani, a déclaré hier à Sidi Bel-Abbès, que son parti aspire à "la concrétisation d'un modèle démocratique de standard universel". Présidant l'ouverture des travaux de la deuxième rencontre des cadres féminins du MSP, Soltani a expliqué que son parti souhaite, dans le sillage des réformes politiques, aboutir à une démocratie basée sur des "critères universels en harmonie avec les valeurs fondamentales de la nation". Estimant qu'il existe "des modèles de démocratie dans plusieurs pays dignes de respect, basés sur la transparence, l'intégrité et la protection des libertés", le président du MSP a suggéré de "suivre ces normes internationales", en plaidant dans ce sens pour la "mise en place des réformes selon une vision prospective qui réponde, à terme, aux besoins de la société algérienne". Il a estimé à cet égard que "les réformes conjoncturelles ne permettent pas de concrétiser les aspirations du peuple". Les réformes doivent prendre en compte "la question de l'identité afin de barrer la route à ceux qui veulent confisquer, dénaturer et dévier les repères et les fondements nationaux", a-t-il ajouté. Les réformes doivent être "le ciment qui préserve la cohésion des enfants du peuple", a fait valoir Soltani en réitérant le refus de son parti du système des "quotas" pour la participation de la femme dans la vie politique et à la gestion. Il a déclaré à ce propos que le MSP soutient le principe "d'égalité des chances" et du critère de "performance", et ce, dans un cadre de compétitivité ouvert "à toutes les compétences nationales", sans considération du "genre". Le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Bouguerra Soltani, a déclaré hier à Sidi Bel-Abbès, que son parti aspire à "la concrétisation d'un modèle démocratique de standard universel". Présidant l'ouverture des travaux de la deuxième rencontre des cadres féminins du MSP, Soltani a expliqué que son parti souhaite, dans le sillage des réformes politiques, aboutir à une démocratie basée sur des "critères universels en harmonie avec les valeurs fondamentales de la nation". Estimant qu'il existe "des modèles de démocratie dans plusieurs pays dignes de respect, basés sur la transparence, l'intégrité et la protection des libertés", le président du MSP a suggéré de "suivre ces normes internationales", en plaidant dans ce sens pour la "mise en place des réformes selon une vision prospective qui réponde, à terme, aux besoins de la société algérienne". Il a estimé à cet égard que "les réformes conjoncturelles ne permettent pas de concrétiser les aspirations du peuple". Les réformes doivent prendre en compte "la question de l'identité afin de barrer la route à ceux qui veulent confisquer, dénaturer et dévier les repères et les fondements nationaux", a-t-il ajouté. Les réformes doivent être "le ciment qui préserve la cohésion des enfants du peuple", a fait valoir Soltani en réitérant le refus de son parti du système des "quotas" pour la participation de la femme dans la vie politique et à la gestion. Il a déclaré à ce propos que le MSP soutient le principe "d'égalité des chances" et du critère de "performance", et ce, dans un cadre de compétitivité ouvert "à toutes les compétences nationales", sans considération du "genre".