Il n'existe pas à Alger de logements vacants et non encore distribués et les opérations de relogement effectuées ces derniers mois n'ont pas touché uniquement les bidonvilles, a affirmé le directeur du logement de la wilaya d'Alger, Mohamed Smail. Dans un entretien, accordé hier à l'APS, M. Smail a souligné que les opérations de relogement effectuées dans la wilaya d'Alger en 2010 visaient l'élimination de bidonvilles mais aussi le relogement des sinistrés. En 2010, au moins 34 sites d'habitations précaires se trouvant au cœur de la capitale avaient été touchés par les opérations de relogement contre 14 sites de sinistrés du seisme de 2003. Ces opérations ont concerné plus de 10.000 familles qui occupaient des bidonvilles, des chalets, de vieilles habitations ou habitaient dans des cimetières et des terrains destinés à la réalisation de grands projets, a détaillé cette source. Grâce au relogement de ces familles qui ont tant souffert dans des habitations précaires, d'autres familles nourrissent l'espoir d'être relogées et attendent leur tour, notamment celles ayant déposé leurs dossiers depuis plusieurs années pour bénéficier d'un logement social. Aussi, ces opérations ont pour objectif, selon des responsables en charge de l'habitat dans la wilaya d'Alger, d'améliorer l'aspect urbanistique de la capitale à travers l'éradication des habitations anarchiques qui se sont multipliées durant ces dernières années. La première opération de relogement avait été lancée le 14 mars 2010 et touché, dans une première étape, 205 familles résidant à Diar Echems (Madania), une cité de cinq immeubles composée principalement de logements de type F1. Ces familles ont été relogées dans des habitations neuves à Tixeraine. La deuxième tranche a concerné 307 familles de la même cité, relogées elles aussi dans des logements décents à Djenan Sfari (Birkhadem). Les troisième, quatrième et cinquième tranches de l'opération de relogement initiée par la wilaya d'Alger avaient touché les habitants du bidonville Doudou-Mokhtar à Hydra. La première partie (295 familles), la seconde (186) et la troisième (307) ont été relogées à la cité 1.310 logements à Tessala El-Merdja. L'opération de relogement a continué sur le même rythme pour toucher 197 familles du quartier Zaâtcha, un des plus vieux bidonvilles de la capitale (1958). Ces familles ont été relogées à Tessala el-Merdja, Djenane Sfari, Birkhadem, Aïn Benian, Souidania et Bordj el-Bahri. Menée en juillet 2010 à un rythme plus accéléré, l'opération a concerné 1.049 familles dont 39 de Bir Mourad Raïs, 316 de Diar El-Kef, 195 de Fontaine-Fraîche, 229 de Oued Koriche et 270 familles de Bab Ezzouar. La commune de Cheraga a vu, elle aussi, le relogement de 65 familles qui occupaient des bidonvilles au niveau de la ferme "Nezali" et la ferme "Flamand" dans de nouveaux logements à Birtouta et Souidania. Il n'existe pas à Alger de logements vacants et non encore distribués et les opérations de relogement effectuées ces derniers mois n'ont pas touché uniquement les bidonvilles, a affirmé le directeur du logement de la wilaya d'Alger, Mohamed Smail. Dans un entretien, accordé hier à l'APS, M. Smail a souligné que les opérations de relogement effectuées dans la wilaya d'Alger en 2010 visaient l'élimination de bidonvilles mais aussi le relogement des sinistrés. En 2010, au moins 34 sites d'habitations précaires se trouvant au cœur de la capitale avaient été touchés par les opérations de relogement contre 14 sites de sinistrés du seisme de 2003. Ces opérations ont concerné plus de 10.000 familles qui occupaient des bidonvilles, des chalets, de vieilles habitations ou habitaient dans des cimetières et des terrains destinés à la réalisation de grands projets, a détaillé cette source. Grâce au relogement de ces familles qui ont tant souffert dans des habitations précaires, d'autres familles nourrissent l'espoir d'être relogées et attendent leur tour, notamment celles ayant déposé leurs dossiers depuis plusieurs années pour bénéficier d'un logement social. Aussi, ces opérations ont pour objectif, selon des responsables en charge de l'habitat dans la wilaya d'Alger, d'améliorer l'aspect urbanistique de la capitale à travers l'éradication des habitations anarchiques qui se sont multipliées durant ces dernières années. La première opération de relogement avait été lancée le 14 mars 2010 et touché, dans une première étape, 205 familles résidant à Diar Echems (Madania), une cité de cinq immeubles composée principalement de logements de type F1. Ces familles ont été relogées dans des habitations neuves à Tixeraine. La deuxième tranche a concerné 307 familles de la même cité, relogées elles aussi dans des logements décents à Djenan Sfari (Birkhadem). Les troisième, quatrième et cinquième tranches de l'opération de relogement initiée par la wilaya d'Alger avaient touché les habitants du bidonville Doudou-Mokhtar à Hydra. La première partie (295 familles), la seconde (186) et la troisième (307) ont été relogées à la cité 1.310 logements à Tessala El-Merdja. L'opération de relogement a continué sur le même rythme pour toucher 197 familles du quartier Zaâtcha, un des plus vieux bidonvilles de la capitale (1958). Ces familles ont été relogées à Tessala el-Merdja, Djenane Sfari, Birkhadem, Aïn Benian, Souidania et Bordj el-Bahri. Menée en juillet 2010 à un rythme plus accéléré, l'opération a concerné 1.049 familles dont 39 de Bir Mourad Raïs, 316 de Diar El-Kef, 195 de Fontaine-Fraîche, 229 de Oued Koriche et 270 familles de Bab Ezzouar. La commune de Cheraga a vu, elle aussi, le relogement de 65 familles qui occupaient des bidonvilles au niveau de la ferme "Nezali" et la ferme "Flamand" dans de nouveaux logements à Birtouta et Souidania.