La transmission des maladies hydriques s'étale par la contamination des systèmes de distribution d'eau potable par l'urine et les fèces des personnes ou animaux infectés. Ceci est susceptible de se produire où les systèmes d'eau potable publics et privés puisent leur eau depuis l'eau de surface (pluie, ruisseaux, rivières, lacs etc.). La transmission des maladies hydriques s'étale par la contamination des systèmes de distribution d'eau potable par l'urine et les fèces des personnes ou animaux infectés. Ceci est susceptible de se produire où les systèmes d'eau potable publics et privés puisent leur eau depuis l'eau de surface (pluie, ruisseaux, rivières, lacs etc.). En effet, l'eau peut être à l'origine de la transmission de maladies infectieuses lorsqu'elle est contaminée par des agents pathogènes : bactéries, virus, protozoaires et parasites. La consommation d'une eau contaminée par des porteurs de germes ou son utilisation pour la préparation des aliments ou la toilette, voire son inhalation sous la forme de vapeur ou d'aérosols peuvent provoquer une infection. Les maladies hydriques et risques microbiologiques les plus courants avec l'agent pathogène associé sont (source OMS) : - Le parasite ascaris provoque l'ascaridiase : 1 million de cas par an. - Le parasite sarcoptes provoque la gale : 300 millions de cas par an. - Le parasite onchocerca volvulus provoque l'onchocercose : 18 millions de cas par an. - Le parasite dracunculus medinensis provoque la dracunculose : 5 millions de cas par an. - Le parasite schistosoma haematobium provoque la schistosomiase : 200 millions de cas par an. - Les bactéries salmonella typhi et salmonella paratyphi provoquent la fièvre typhoïde et para-typhoïde : 17 millions de cas par an. - La bactérie legionella pneumophila provoque la légionellose. - La bactérie leptospira spp provoque la leptospirose : de 0,1 à 1 cas pour 100 000 habitants par an dans les climats tempérés et 10 ou plus cas pour 100 000 habitants par an sous les tropiques humides. - La bactérie vibrio cholerae provoque le choléra : 384 000 cas par an. - La bactérie campylobacter jejuni ou C.coli provoque la campylobactériose : à l'origine de 5 à 14 % des diarrhées dans le monde. - Le virus chlamydia trachomatis provoque la trachome : 360 millions de cas par an. - Le virus transmis par culex tritaeniorhynchus et culex vishnui provoque l'encéphalite japonaise : 30 000 à 50 000 cas signalés par an en Asie. - Les 4 types de virus transmis par le moustique culex aedes provoquent la dengue et la dengue hémorragique : 50 à 100 millions de cas de dengue par an et 500 000 cas de dengue hémorragique par an. - Les protozoaires entamoeba histolytica et cryptosporidium parvum provoquent des diarrhées. L'OMS estime que, dans le monde, plus de 2 millions de personnes sont infectées par les schistosomiases et les helminthes transmis par le sol dont 300 millions souffrent de graves maladies dues à cela. La diarrhée se produit partout dans le monde et cause 4% du taux de mortalité et 5% d'incapacité. Ceci a été la cause de nombreuses manifestations dramatiques de maladies fécale-oral telles que le choléra et la typhoïde. Cependant, il existe de nombreux chemins possibles par lesquels les matières fécales peuvent atteindre la bouche, par exemple sur les mains ou sur la nourriture contaminée. En général, la nourriture contaminée est le chemin le plus courant par lequel les personnes sont contaminées. Le seule moyen de casser la transmission continue est d'améliorer le comportement hygiénique des hommes et de leur fournir certains besoins : eau potable, équipement de bains et de lavage et l'assainissement. La désinfection est alors utilisée pour empêcher la croissance des organismes pathogènes et pour protéger la santé publique ; le choix du désinfectant dépend de la qualité de l'eau individuelle et du système d'approvisionnement en eau. Sans désinfection, le risque des maladies hydriques augmente. Les deux méthodes les plus courantes pour tuer les microorganismes dans l'approvisionnement en eau sont l'oxydation avec des produits chimiques tels que le chlore, le dioxyde de chlore ou l'ozone, et l'irradiation par radiation UV. En effet, l'eau peut être à l'origine de la transmission de maladies infectieuses lorsqu'elle est contaminée par des agents pathogènes : bactéries, virus, protozoaires et parasites. La consommation d'une eau contaminée par des porteurs de germes ou son utilisation pour la préparation des aliments ou la toilette, voire son inhalation sous la forme de vapeur ou d'aérosols peuvent provoquer une infection. Les maladies hydriques et risques microbiologiques les plus courants avec l'agent pathogène associé sont (source OMS) : - Le parasite ascaris provoque l'ascaridiase : 1 million de cas par an. - Le parasite sarcoptes provoque la gale : 300 millions de cas par an. - Le parasite onchocerca volvulus provoque l'onchocercose : 18 millions de cas par an. - Le parasite dracunculus medinensis provoque la dracunculose : 5 millions de cas par an. - Le parasite schistosoma haematobium provoque la schistosomiase : 200 millions de cas par an. - Les bactéries salmonella typhi et salmonella paratyphi provoquent la fièvre typhoïde et para-typhoïde : 17 millions de cas par an. - La bactérie legionella pneumophila provoque la légionellose. - La bactérie leptospira spp provoque la leptospirose : de 0,1 à 1 cas pour 100 000 habitants par an dans les climats tempérés et 10 ou plus cas pour 100 000 habitants par an sous les tropiques humides. - La bactérie vibrio cholerae provoque le choléra : 384 000 cas par an. - La bactérie campylobacter jejuni ou C.coli provoque la campylobactériose : à l'origine de 5 à 14 % des diarrhées dans le monde. - Le virus chlamydia trachomatis provoque la trachome : 360 millions de cas par an. - Le virus transmis par culex tritaeniorhynchus et culex vishnui provoque l'encéphalite japonaise : 30 000 à 50 000 cas signalés par an en Asie. - Les 4 types de virus transmis par le moustique culex aedes provoquent la dengue et la dengue hémorragique : 50 à 100 millions de cas de dengue par an et 500 000 cas de dengue hémorragique par an. - Les protozoaires entamoeba histolytica et cryptosporidium parvum provoquent des diarrhées. L'OMS estime que, dans le monde, plus de 2 millions de personnes sont infectées par les schistosomiases et les helminthes transmis par le sol dont 300 millions souffrent de graves maladies dues à cela. La diarrhée se produit partout dans le monde et cause 4% du taux de mortalité et 5% d'incapacité. Ceci a été la cause de nombreuses manifestations dramatiques de maladies fécale-oral telles que le choléra et la typhoïde. Cependant, il existe de nombreux chemins possibles par lesquels les matières fécales peuvent atteindre la bouche, par exemple sur les mains ou sur la nourriture contaminée. En général, la nourriture contaminée est le chemin le plus courant par lequel les personnes sont contaminées. Le seule moyen de casser la transmission continue est d'améliorer le comportement hygiénique des hommes et de leur fournir certains besoins : eau potable, équipement de bains et de lavage et l'assainissement. La désinfection est alors utilisée pour empêcher la croissance des organismes pathogènes et pour protéger la santé publique ; le choix du désinfectant dépend de la qualité de l'eau individuelle et du système d'approvisionnement en eau. Sans désinfection, le risque des maladies hydriques augmente. Les deux méthodes les plus courantes pour tuer les microorganismes dans l'approvisionnement en eau sont l'oxydation avec des produits chimiques tels que le chlore, le dioxyde de chlore ou l'ozone, et l'irradiation par radiation UV.