Six personnes ont trouvé la mort et 23 autres ont été blessées dans 16 accidents de la route survenus à Alger durant la première semaine de Ramadhan, a indiqué jeudi à l'APS le commissaire de police, M. Mohamed Filali. La commune de Bab El-Oued arrive en tête avec 10 accidents faisant 2 morts, suivie de Birtouta, Hussein-Dey, Dar El-Beïda et Chéraga. Selon les services de sûreté de la wilaya d'Alger, les principales causes de ces accidents sont l'excès de vitesse et le non-respect de la signalisation. La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) avait arrêté une série de mesures visant la facilitation du trafic routier et le renforcement de la prévention des accidents de la route à l'occasion du mois de Ramadhan. Ce dispositif vise, selon la DGSN, à garantir la fluidité du trafic routier à travers la mobilisation nuit et jour des ressources humaines et matérielles dotées d'un réseau de caméras de surveillance relevant des centres d'opération. Le dispositif vise, également, à assurer la «rapidité d'intervention» en cas de blocage ou d'engorgement pendant le mois de Ramadhan marqué par un trafic routier dense, notamment le matin et peu avant et après la rupture du jeûne (F'tour). Six personnes ont trouvé la mort et 23 autres ont été blessées dans 16 accidents de la route survenus à Alger durant la première semaine de Ramadhan, a indiqué jeudi à l'APS le commissaire de police, M. Mohamed Filali. La commune de Bab El-Oued arrive en tête avec 10 accidents faisant 2 morts, suivie de Birtouta, Hussein-Dey, Dar El-Beïda et Chéraga. Selon les services de sûreté de la wilaya d'Alger, les principales causes de ces accidents sont l'excès de vitesse et le non-respect de la signalisation. La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) avait arrêté une série de mesures visant la facilitation du trafic routier et le renforcement de la prévention des accidents de la route à l'occasion du mois de Ramadhan. Ce dispositif vise, selon la DGSN, à garantir la fluidité du trafic routier à travers la mobilisation nuit et jour des ressources humaines et matérielles dotées d'un réseau de caméras de surveillance relevant des centres d'opération. Le dispositif vise, également, à assurer la «rapidité d'intervention» en cas de blocage ou d'engorgement pendant le mois de Ramadhan marqué par un trafic routier dense, notamment le matin et peu avant et après la rupture du jeûne (F'tour).