Encore une fois, les rebelles libyens tentent d'impliquer l'Algérie dans le drame qui se joue en Libye. «6 Mercedes blindées sont entrées ce matin vendredi dans la ville de Ghadamès», a affirmé l'agence officielle égyptienne Mena, citant une source du conseil militaire libyen dans cette localité frontalière avec l'Algérie. Les voitures ont été escortées jusqu'à leur entrée en Algérie par une «brigade» (katiba) militaire loyaliste, a-t-elle poursuivi, en ajoutant que les rebelles n'avaient pas pu les pourchasser en raison d'un manque de munitions et d'équipements. «On pense que les voitures transportaient de hauts responsables libyens, possiblement Kadhafi et ses fils», a poursuivi cette source. Une fois encore le ministère des Affaires étrangères a démenti, hier, «de la manière la plus catégorique» l'information relayée par certaines rédactions et agences de presse sur le passage en Algérie d'un convoi de véhicules en provenance de Libye. Interrogé par l'APS au sujet de cette information, le porte-parole du MAE, Amar Belani, a déclaré que «depuis quelques mois, l'Algérie est ciblée par un flot de fausses informations, dont le caractère fallacieux a été à maintes fois prouvé», soulignant qu'«il en est de même pour l'information diffusée par l'agence Mena au sujet de véhicules Mercédès qui auraient prétendument franchi la frontière algéro-libyenne». «Cette information est dénuée de tout fondement et nous la démentons de la manière la plus catégorique» a affirmé le porte-parole. Il faut croire que les rebelles libyens pensent que plus le mensonge est gros, plus il a une chance de passer. Comment un convoi de 6 Mercédès blindées et qui, plus set, suspectés de transporter l'homme le plus recherché dans son pays autant par les insurgés que par la coalition internationale aient pu passer à travers des mailles du filet dressé sur tout le parcours et arriver sans encombres aux frontières algériennes. Apparemment, le Conseil militaire libyen ne s'est pas posé cette question élémentaire. Outre ce fait, Kadhafi peut rapporter gros à celui qui le capture. Les rebelles ont mis à prix sa tête pour 1,7 million de dollars. Un pactole tentant pour tous les libyens rebelles ou non et le passage de 6 Mercédès blindées sur des routes qui sont peu sûres suscitent des interrogations et des convoitises si l'on devine le nom des hauts responsables qu'elles transportent. Encore une fois, les rebelles libyens tentent d'impliquer l'Algérie dans le drame qui se joue en Libye. «6 Mercedes blindées sont entrées ce matin vendredi dans la ville de Ghadamès», a affirmé l'agence officielle égyptienne Mena, citant une source du conseil militaire libyen dans cette localité frontalière avec l'Algérie. Les voitures ont été escortées jusqu'à leur entrée en Algérie par une «brigade» (katiba) militaire loyaliste, a-t-elle poursuivi, en ajoutant que les rebelles n'avaient pas pu les pourchasser en raison d'un manque de munitions et d'équipements. «On pense que les voitures transportaient de hauts responsables libyens, possiblement Kadhafi et ses fils», a poursuivi cette source. Une fois encore le ministère des Affaires étrangères a démenti, hier, «de la manière la plus catégorique» l'information relayée par certaines rédactions et agences de presse sur le passage en Algérie d'un convoi de véhicules en provenance de Libye. Interrogé par l'APS au sujet de cette information, le porte-parole du MAE, Amar Belani, a déclaré que «depuis quelques mois, l'Algérie est ciblée par un flot de fausses informations, dont le caractère fallacieux a été à maintes fois prouvé», soulignant qu'«il en est de même pour l'information diffusée par l'agence Mena au sujet de véhicules Mercédès qui auraient prétendument franchi la frontière algéro-libyenne». «Cette information est dénuée de tout fondement et nous la démentons de la manière la plus catégorique» a affirmé le porte-parole. Il faut croire que les rebelles libyens pensent que plus le mensonge est gros, plus il a une chance de passer. Comment un convoi de 6 Mercédès blindées et qui, plus set, suspectés de transporter l'homme le plus recherché dans son pays autant par les insurgés que par la coalition internationale aient pu passer à travers des mailles du filet dressé sur tout le parcours et arriver sans encombres aux frontières algériennes. Apparemment, le Conseil militaire libyen ne s'est pas posé cette question élémentaire. Outre ce fait, Kadhafi peut rapporter gros à celui qui le capture. Les rebelles ont mis à prix sa tête pour 1,7 million de dollars. Un pactole tentant pour tous les libyens rebelles ou non et le passage de 6 Mercédès blindées sur des routes qui sont peu sûres suscitent des interrogations et des convoitises si l'on devine le nom des hauts responsables qu'elles transportent.