Les négociations pour la reddition pacifique des derniers bastions de l'ex-dirigeant libyen, Mouammar Kadhafi, sont dans l'impasse, a affirmé, vendredi, un membre du conseil militaire de Misrata, avant d'ajouter qu'une offensive semble «imminente». «Jusqu'à présent, les négociations n'ont pas produit de résultat et une action militaire serait imminente en cas d'échec des discussions», a dit le commandant Salem Jeha, à quelques heures de l'expiration, samedi, de l'ultimatum lancé aux pro-Kadhafi pour se rendre. Selon lui, une opération militaire pourrait «commencer à n'importe quel moment". Et au commandant d'ajouter :«Nous n'allons pas attendre indéfiniment.» Face à cette situation, le Conseil de sécurité a entamé, vendredi dernier, les discussions autour de la proposition du secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, d'établir une mission de l'ONU pour soutenir les nouvelles autorités libyennes pour la reconstruction du pays suite au conflit. Le secrétaire général a réitéré le besoin de répondre rapidement aux requêtes d'assistance des autorités transitoires libyennes. Dans une lettre qu'il a adressée au Conseil de sécurité cette semaine, il a proposé l'établissement d'une mission de soutien de l'ONU en Libye pour une période initiale de trois mois menée par un représentant spécial. «Le déploiement initial de trois mois est supposé permettre un engagement à l'intérieur du pays pour définir les besoins et les souhaits de la Libye en termes de soutien de l'ONU», a écrit le secrétaire général à l'intention du Conseil de sécurité. Le conseiller spécial du secrétaire général de l'ONU pour la planification post-conflit en Libye, Ian Martin, a souligné qu'il espérait que la résolution sera votée le plus rapidement possible pour que l'ONU puisse commencer le travail dans les domaines prioritaires identifiés par le Conseil national de transition (CNT). Sur un autre plan, M. Martin a rappelé, qu'en dépit des appels répétés du CNT pour éviter les représailles et la vengeance, «il y a eu des abus graves des droits de l'homme, notamment à l'encontre d'Africains subsahariens accusés, souvent à tort, d'avoir combattu pour le régime de Khadafi». Les négociations pour la reddition pacifique des derniers bastions de l'ex-dirigeant libyen, Mouammar Kadhafi, sont dans l'impasse, a affirmé, vendredi, un membre du conseil militaire de Misrata, avant d'ajouter qu'une offensive semble «imminente». «Jusqu'à présent, les négociations n'ont pas produit de résultat et une action militaire serait imminente en cas d'échec des discussions», a dit le commandant Salem Jeha, à quelques heures de l'expiration, samedi, de l'ultimatum lancé aux pro-Kadhafi pour se rendre. Selon lui, une opération militaire pourrait «commencer à n'importe quel moment". Et au commandant d'ajouter :«Nous n'allons pas attendre indéfiniment.» Face à cette situation, le Conseil de sécurité a entamé, vendredi dernier, les discussions autour de la proposition du secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, d'établir une mission de l'ONU pour soutenir les nouvelles autorités libyennes pour la reconstruction du pays suite au conflit. Le secrétaire général a réitéré le besoin de répondre rapidement aux requêtes d'assistance des autorités transitoires libyennes. Dans une lettre qu'il a adressée au Conseil de sécurité cette semaine, il a proposé l'établissement d'une mission de soutien de l'ONU en Libye pour une période initiale de trois mois menée par un représentant spécial. «Le déploiement initial de trois mois est supposé permettre un engagement à l'intérieur du pays pour définir les besoins et les souhaits de la Libye en termes de soutien de l'ONU», a écrit le secrétaire général à l'intention du Conseil de sécurité. Le conseiller spécial du secrétaire général de l'ONU pour la planification post-conflit en Libye, Ian Martin, a souligné qu'il espérait que la résolution sera votée le plus rapidement possible pour que l'ONU puisse commencer le travail dans les domaines prioritaires identifiés par le Conseil national de transition (CNT). Sur un autre plan, M. Martin a rappelé, qu'en dépit des appels répétés du CNT pour éviter les représailles et la vengeance, «il y a eu des abus graves des droits de l'homme, notamment à l'encontre d'Africains subsahariens accusés, souvent à tort, d'avoir combattu pour le régime de Khadafi».