A quelques jours de la prétendue «révolte» en Algérie, le 17 septembre 2011, les initiateurs de ce semblant mouvement restent toujours inconnus. Préconisant un réel «changement», ces inconnus n'ont pas encore franchi le seuil du virtuel, se contentant ainsi du réseau social Facebook. Toutefois, certaines personnes murmurent et parlent d'une probable venue d'un certain Bernard Henry Lévy traditionnellement surnommé BHL. Dans un article publié le 6 juillet 2011, le blog «sos-crise», lui, avait indiqué que BHL, qui est connu pour ses multiples voyages et déplacements, «est allé dans tous les pays en conflit, en Afghanistan, au Soudan, au Darfour, au Kurdistan, en Irak ». Selon ce site, c'est BHL qui a baissé le drapeau officiel de la Libye, à l'est de ce pays. Outre cela, «là où Bernard Lévy passe, la stabilité des pays se détériore de plus en plus, les conflits confessionnels et sectaires s'intensifient, et des massacres horribles sont commis», témoigne-t-il. Selon l'auteur dudit article, ce juif et pro-sioniste déploie de grands efforts pour accéder au poste de la présidence israélienne, une fois que le nouveau «Israël» sera construit avec la bénédiction américaine, britannique et française. D'ailleurs, il faut dire que le choix de la date du 17 septembre a été applaudi par BHL. Dans un entretien publié sur Internet, ce sombre personnage s'est félicité que ce jour-là coïncide avec l'entrée en Algérie de Napoléon III. Il convient de noter, dans ce contexte, que le journaliste Daniel R. a, dans un article publié dans le magazine Histoire, en 1991, relaté que Napoléon III rêvait de créer un Etat juif s'étalant d'Alger à Baghdad. Outre le rêve de Napoléon III, le 17 septembre 1978 est le jour où furent signés les accords de Camp David, par le président égyptien, Anouar El-Sadate, et le Premier ministre israélien, Menahem Begin, sous la médiation du président des Etats-unis, Jimmy Carter. Ces accords furent suivis de la signature du premier traité de paix entre Israël et un pays arabe, en 1979. Notons, enfin, que BHL, qui s'est réuni avec les dirigeants des Frères musulmans en Egypte, aurait un lien avec l'AQMI (Al Qaïda au Maghreb arabe), qui veulent avoir «la même part du gâteau que celle des Frères musulmans et du Conseil national de transition libyen (CNT)». Face à toutes ces donnés, force est de constater que les initiateurs de cette prétendue manifestation ont procédé dans l'ignorance du respects voué par les Algériens à leurs valeurs après avoir payé un lourd tribut aussi bien lors de la guerre de la Révolution que plus tard durant les années de braise. Une chose est sûre : c'est que le verdict des connaisseurs du peuple algérien est sans appel : la mayonnaise ne prendra pas. Non. Le peuple actuellement espère à la prospérité et au changement dans le respect des délais et lois de la République et non pas en obéissant aux chuchotements externes. Notre peuple est bien plus mûr que tout cela et sait très bien séparer le bon grain de l'ivraie. A quelques jours de la prétendue «révolte» en Algérie, le 17 septembre 2011, les initiateurs de ce semblant mouvement restent toujours inconnus. Préconisant un réel «changement», ces inconnus n'ont pas encore franchi le seuil du virtuel, se contentant ainsi du réseau social Facebook. Toutefois, certaines personnes murmurent et parlent d'une probable venue d'un certain Bernard Henry Lévy traditionnellement surnommé BHL. Dans un article publié le 6 juillet 2011, le blog «sos-crise», lui, avait indiqué que BHL, qui est connu pour ses multiples voyages et déplacements, «est allé dans tous les pays en conflit, en Afghanistan, au Soudan, au Darfour, au Kurdistan, en Irak ». Selon ce site, c'est BHL qui a baissé le drapeau officiel de la Libye, à l'est de ce pays. Outre cela, «là où Bernard Lévy passe, la stabilité des pays se détériore de plus en plus, les conflits confessionnels et sectaires s'intensifient, et des massacres horribles sont commis», témoigne-t-il. Selon l'auteur dudit article, ce juif et pro-sioniste déploie de grands efforts pour accéder au poste de la présidence israélienne, une fois que le nouveau «Israël» sera construit avec la bénédiction américaine, britannique et française. D'ailleurs, il faut dire que le choix de la date du 17 septembre a été applaudi par BHL. Dans un entretien publié sur Internet, ce sombre personnage s'est félicité que ce jour-là coïncide avec l'entrée en Algérie de Napoléon III. Il convient de noter, dans ce contexte, que le journaliste Daniel R. a, dans un article publié dans le magazine Histoire, en 1991, relaté que Napoléon III rêvait de créer un Etat juif s'étalant d'Alger à Baghdad. Outre le rêve de Napoléon III, le 17 septembre 1978 est le jour où furent signés les accords de Camp David, par le président égyptien, Anouar El-Sadate, et le Premier ministre israélien, Menahem Begin, sous la médiation du président des Etats-unis, Jimmy Carter. Ces accords furent suivis de la signature du premier traité de paix entre Israël et un pays arabe, en 1979. Notons, enfin, que BHL, qui s'est réuni avec les dirigeants des Frères musulmans en Egypte, aurait un lien avec l'AQMI (Al Qaïda au Maghreb arabe), qui veulent avoir «la même part du gâteau que celle des Frères musulmans et du Conseil national de transition libyen (CNT)». Face à toutes ces donnés, force est de constater que les initiateurs de cette prétendue manifestation ont procédé dans l'ignorance du respects voué par les Algériens à leurs valeurs après avoir payé un lourd tribut aussi bien lors de la guerre de la Révolution que plus tard durant les années de braise. Une chose est sûre : c'est que le verdict des connaisseurs du peuple algérien est sans appel : la mayonnaise ne prendra pas. Non. Le peuple actuellement espère à la prospérité et au changement dans le respect des délais et lois de la République et non pas en obéissant aux chuchotements externes. Notre peuple est bien plus mûr que tout cela et sait très bien séparer le bon grain de l'ivraie.