L'affaire des écoutes téléphoniques a été relancée en Grande-Bretagne avec le rappel prochain du fils Murdoch par les Parlementaires. Les députés ont décidé de rappeler l'un des principaux acteurs dans l'affaire du piratage téléphonique qui a ébranlé le Royaume-Uni en juillet dernier, pour "éclairer davantage l'opinion publique". James Murdoch devra répondre une deuxième fois, aux questions de la Commission culture et media sur cette pratique qui a conduit à la fermeture du quotidien News Of the World (NoTW). La convocation du fils du magnat de la presse britannique intervient suite à des témoignages selon lesquels James Murdoch était au courant des écoutes téléphoniques pratiquées au journal. Deux anciens responsables du NoTW, ont affirmé, hier, que James Murdoch a été informé que plus d'un journaliste de l'hebdomadaire se livrait aux pratiques d'écoute. Jusqu'à avril dernier, la News International, la compagnie détentrice du NoTW, affirmait que les pratiques de piratage étaient limitées au journaliste Clive Goodman, emprisonné en 2007 pour interception illégale de messages vocaux, et au détective privé, Glenn Muclaire, qui l'assistait. L'affaire des écoutes téléphoniques, dont les victimes comptaient des personnalités très haut placées, avait menacé de faire écrouler l'ensemble de l'empire médiatique, News Corporation. Des responsables de la firme, au Royaume-Uni comme aux Etats-Unis, ont été contraints de démissionner de leurs postes sous l'effet des accusations. Des hauts responsables ont, également, démissionné, comme le chef du Scotland Yard, Paul Stephenson, et le responsable de la lutte antiterroriste John Yates, pour leurs liens présumés avec le journal incriminé. L'affaire des écoutes téléphoniques a été relancée en Grande-Bretagne avec le rappel prochain du fils Murdoch par les Parlementaires. Les députés ont décidé de rappeler l'un des principaux acteurs dans l'affaire du piratage téléphonique qui a ébranlé le Royaume-Uni en juillet dernier, pour "éclairer davantage l'opinion publique". James Murdoch devra répondre une deuxième fois, aux questions de la Commission culture et media sur cette pratique qui a conduit à la fermeture du quotidien News Of the World (NoTW). La convocation du fils du magnat de la presse britannique intervient suite à des témoignages selon lesquels James Murdoch était au courant des écoutes téléphoniques pratiquées au journal. Deux anciens responsables du NoTW, ont affirmé, hier, que James Murdoch a été informé que plus d'un journaliste de l'hebdomadaire se livrait aux pratiques d'écoute. Jusqu'à avril dernier, la News International, la compagnie détentrice du NoTW, affirmait que les pratiques de piratage étaient limitées au journaliste Clive Goodman, emprisonné en 2007 pour interception illégale de messages vocaux, et au détective privé, Glenn Muclaire, qui l'assistait. L'affaire des écoutes téléphoniques, dont les victimes comptaient des personnalités très haut placées, avait menacé de faire écrouler l'ensemble de l'empire médiatique, News Corporation. Des responsables de la firme, au Royaume-Uni comme aux Etats-Unis, ont été contraints de démissionner de leurs postes sous l'effet des accusations. Des hauts responsables ont, également, démissionné, comme le chef du Scotland Yard, Paul Stephenson, et le responsable de la lutte antiterroriste John Yates, pour leurs liens présumés avec le journal incriminé.