Les performances de l'OM mettent en cause le niveau de quelques joueurs marseillais. Est-ce uniquement un problème de confiance ? Deschamps s'inquiète des performances de ses Marseillais depuis le début de la saison. Les performances de l'OM mettent en cause le niveau de quelques joueurs marseillais. Est-ce uniquement un problème de confiance ? Deschamps s'inquiète des performances de ses Marseillais depuis le début de la saison. La situation de lanterne rouge a plombé l'ambiance marseillaise. D'abords sidérés, les responsables de l'OM cherchent aujourd'hui désespérément les solutions. L'aspect tactique ? Le mental ? Les analyses font état de déficiences à de nombreux étages, plaçant Deschamps dans le viseur mais pas seulement. Vincent Labrune se retrouve aussi en première ligne, maître des décisions et des orientations globales de l'OM. Il a décrété la mobilisation générale derrière le secteur sportif ce lundi lors d'un séminaire des cadres du club. Mais ce sont bien les joueurs qui détiennent la clé du redressement. Pourtant, bon nombre d'entre eux n'évoluent pas à leur meilleur niveau. Et quand la moitié de l'équipe doute... Diarra dans l'œil du cyclone En tête de liste des flops de l'été : celui qui aurait dû se poser comme l'un des leaders de cette équipe, Alou Diarra. Le milieu international était attendu à Marseille depuis plus d'un an puisque Deschamps en avait fait sa priorité lors de l'été 2010. Mais depuis le mois d'août 2011 et son arrivée, l'ancien Bordelais multiplie les prestations en demi-teinte, dans la même veine que sa dernière saison à Bordeaux. «Je pense qu'on me juge uniquement sur le classement de l'OM», a-t-il regretté. On est quand même en droit d'attendre plus au niveau de son rayonnement que ce qu'il a montré jusque-là. Mais sa discrétion n'est pas seule en cause. Azpilicueta, morel, traoré et surtout fanni ne présentent pas de garanties Le niveau des latéraux interpelle aussi. On peut comprendre les sautes de forme d'Azpilicueta, qui revient après plus de plus de huit mois d'inactivité. Mais les lacunes de Morel, qui a eu du mal à se situer à ce poste, ont également sauté aux yeux. Il semble plus performant comme milieu gauche mais son attelage dans le couloir avec Traoré (lui aussi de retour après une grave blessure) manque pour l'instant de fiabilité. Que dire enfin de Rod Fanni ? C'est le type même du joueur en proie au doute. Auteur d'une moitié de saison convaincante l'année dernière, il a été déstabilisé par sa sortie prématurée après le match contre Sochaux. Replacé depuis en défense centrale par les circonstances, il multiplie les erreurs surprenantes à son niveau. André Ayew, enfin, a un peu de mal à entrer dans sa saison. Où placer ensuite Mandanda et Lucho ? Ils ne sont plus décisifs sans qu'on sache si c'est une question d'équilibre, avec des changements incessants autour d'eux, ou s'il s'agit de performances individuelles pures... La situation de lanterne rouge a plombé l'ambiance marseillaise. D'abords sidérés, les responsables de l'OM cherchent aujourd'hui désespérément les solutions. L'aspect tactique ? Le mental ? Les analyses font état de déficiences à de nombreux étages, plaçant Deschamps dans le viseur mais pas seulement. Vincent Labrune se retrouve aussi en première ligne, maître des décisions et des orientations globales de l'OM. Il a décrété la mobilisation générale derrière le secteur sportif ce lundi lors d'un séminaire des cadres du club. Mais ce sont bien les joueurs qui détiennent la clé du redressement. Pourtant, bon nombre d'entre eux n'évoluent pas à leur meilleur niveau. Et quand la moitié de l'équipe doute... Diarra dans l'œil du cyclone En tête de liste des flops de l'été : celui qui aurait dû se poser comme l'un des leaders de cette équipe, Alou Diarra. Le milieu international était attendu à Marseille depuis plus d'un an puisque Deschamps en avait fait sa priorité lors de l'été 2010. Mais depuis le mois d'août 2011 et son arrivée, l'ancien Bordelais multiplie les prestations en demi-teinte, dans la même veine que sa dernière saison à Bordeaux. «Je pense qu'on me juge uniquement sur le classement de l'OM», a-t-il regretté. On est quand même en droit d'attendre plus au niveau de son rayonnement que ce qu'il a montré jusque-là. Mais sa discrétion n'est pas seule en cause. Azpilicueta, morel, traoré et surtout fanni ne présentent pas de garanties Le niveau des latéraux interpelle aussi. On peut comprendre les sautes de forme d'Azpilicueta, qui revient après plus de plus de huit mois d'inactivité. Mais les lacunes de Morel, qui a eu du mal à se situer à ce poste, ont également sauté aux yeux. Il semble plus performant comme milieu gauche mais son attelage dans le couloir avec Traoré (lui aussi de retour après une grave blessure) manque pour l'instant de fiabilité. Que dire enfin de Rod Fanni ? C'est le type même du joueur en proie au doute. Auteur d'une moitié de saison convaincante l'année dernière, il a été déstabilisé par sa sortie prématurée après le match contre Sochaux. Replacé depuis en défense centrale par les circonstances, il multiplie les erreurs surprenantes à son niveau. André Ayew, enfin, a un peu de mal à entrer dans sa saison. Où placer ensuite Mandanda et Lucho ? Ils ne sont plus décisifs sans qu'on sache si c'est une question d'équilibre, avec des changements incessants autour d'eux, ou s'il s'agit de performances individuelles pures...
