Le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-Moon a appelé hier dans un message diffusé à l'occasion de la Journée mondiale de l'alimentation, qui sera célébrée aujourd'hui à Rome, les dirigeants du monde à investir dans l'énergie et les ressources nécessaires, pour lutter contre la faim. Le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-Moon a appelé hier dans un message diffusé à l'occasion de la Journée mondiale de l'alimentation, qui sera célébrée aujourd'hui à Rome, les dirigeants du monde à investir dans l'énergie et les ressources nécessaires, pour lutter contre la faim. «J'engage instamment les dirigeants du monde, des pays riches comme des pays pauvres, à investir l'énergie et les ressources nécessaires pour gagner la bataille contre la faim, un fléau intolérable alors que l'humanité produit plus de vivres qu'il n'en faut pour nourrir le monde entier», a expliqué le secrétaire général de l'Onu. Pour Ban Ki-moon, la lutte contre la faim est un des éléments essentiels des efforts que nous déployons en vue de réaliser les Objectifs du millénaire pour le développement. Il a rappelé que les hommes produisent sur la planète «plus de vivres qu'il n'en faut pour nourrir tout le monde, et pourtant aujourd'hui près d'un milliard d'êtres humains souffrent de la faim, comme dans la Corne de l'Afrique qui n'est qu'une fraction de la menace qui pèse inutilement sur le monde». Dans cette région, plus de 13 millions de personnes sont touchées par l'une des pires sécheresses que la région ait connue au cours des 60 dernières années. Des solutions durables s'imposent, portant sur tout l'éventail de la sécurité alimentaire, s'agissant d'initiatives visant à améliorer la capacité d'adaptation des petits exploitants agricoles à la mise en place de programmes de filet de sécurité qui protègent les personnes les plus vulnérables, a-t-il insisté. Le principal axe de la Journée mondiale de l'alimentation cette année porte sur la volatilité des prix, notamment pour les plus démunis du monde, dont bon nombre consacrent 80% de leurs revenus à l'alimentation, et cette volatilité peut avoir des effets dévastateurs. En 2007-2008, l'inflation des prix des produits alimentaires a poussé plus de 80 millions de personnes dans une situation de famine. Conséquence de la récente flambée des prix des produits alimentaires, quelque 70 millions d'autres se retrouvent dans une pauvreté extrême. En octobre 2011, la population mondiale atteindra les 7 milliards de personnes et le monde a les connaissances et les ressources nécessaires pour mettre un terme à la faim, il est indispensable de faire en sorte que les plus démunis soient protégés des effets de la flambée des prix, a ajouté M. Ban. «J'engage instamment les dirigeants du monde, des pays riches comme des pays pauvres, à investir l'énergie et les ressources nécessaires pour gagner la bataille contre la faim, un fléau intolérable alors que l'humanité produit plus de vivres qu'il n'en faut pour nourrir le monde entier», a expliqué le secrétaire général de l'Onu. Pour Ban Ki-moon, la lutte contre la faim est un des éléments essentiels des efforts que nous déployons en vue de réaliser les Objectifs du millénaire pour le développement. Il a rappelé que les hommes produisent sur la planète «plus de vivres qu'il n'en faut pour nourrir tout le monde, et pourtant aujourd'hui près d'un milliard d'êtres humains souffrent de la faim, comme dans la Corne de l'Afrique qui n'est qu'une fraction de la menace qui pèse inutilement sur le monde». Dans cette région, plus de 13 millions de personnes sont touchées par l'une des pires sécheresses que la région ait connue au cours des 60 dernières années. Des solutions durables s'imposent, portant sur tout l'éventail de la sécurité alimentaire, s'agissant d'initiatives visant à améliorer la capacité d'adaptation des petits exploitants agricoles à la mise en place de programmes de filet de sécurité qui protègent les personnes les plus vulnérables, a-t-il insisté. Le principal axe de la Journée mondiale de l'alimentation cette année porte sur la volatilité des prix, notamment pour les plus démunis du monde, dont bon nombre consacrent 80% de leurs revenus à l'alimentation, et cette volatilité peut avoir des effets dévastateurs. En 2007-2008, l'inflation des prix des produits alimentaires a poussé plus de 80 millions de personnes dans une situation de famine. Conséquence de la récente flambée des prix des produits alimentaires, quelque 70 millions d'autres se retrouvent dans une pauvreté extrême. En octobre 2011, la population mondiale atteindra les 7 milliards de personnes et le monde a les connaissances et les ressources nécessaires pour mettre un terme à la faim, il est indispensable de faire en sorte que les plus démunis soient protégés des effets de la flambée des prix, a ajouté M. Ban.