Il étaient plusieurs milliers de souscripteurs d'AADL 2001 à avoir manifesté, jeudi dernier, leur ras-le-bol en observant un énième sit-in devant le siège de la Direction générale de ladite Agence, à Saïd Hamdine, à Alger. Il faut dire que ce rassemblement était imposant, face un cordon sécuritaire des forces de l'ordre. Après plusieurs «rounds», une délégation de l'association El Amel s'est entretenue avec le DG de l'AADL. A l'issue de cette rencontre, ont-ils annoncé, plusieurs dossiers ont été acceptés. Pour ce qui des modalités de distribution de logements, en l'occurrence ceux de Rouiba et Réghaïa, il a été proposé de classer les dossiers selon l'ordre chronologique, puis selon la situation familiale des souscripteurs. Une autre rencontre se tiendra probablement le 20 du mois prochain afin de s'imprégner de l'état d'avancement des travaux. C'est dire que c'est l'histoire de la bouteille à moitié pleine mais… à demi vide. Il étaient plusieurs milliers de souscripteurs d'AADL 2001 à avoir manifesté, jeudi dernier, leur ras-le-bol en observant un énième sit-in devant le siège de la Direction générale de ladite Agence, à Saïd Hamdine, à Alger. Il faut dire que ce rassemblement était imposant, face un cordon sécuritaire des forces de l'ordre. Après plusieurs «rounds», une délégation de l'association El Amel s'est entretenue avec le DG de l'AADL. A l'issue de cette rencontre, ont-ils annoncé, plusieurs dossiers ont été acceptés. Pour ce qui des modalités de distribution de logements, en l'occurrence ceux de Rouiba et Réghaïa, il a été proposé de classer les dossiers selon l'ordre chronologique, puis selon la situation familiale des souscripteurs. Une autre rencontre se tiendra probablement le 20 du mois prochain afin de s'imprégner de l'état d'avancement des travaux. C'est dire que c'est l'histoire de la bouteille à moitié pleine mais… à demi vide.