Le patron de l`entreprise FADERCO spécialisée dans la fabrication de produits d`hygiène corporelle féminine infantile et tous les produits de dérivés coton et couches bébé, nous explique les ambitions et les perspectives de développement de cette entreprise créée en 1986, mais qui réalise des performances à la mesure de ses convoitises et ses aspirations. Il s`git, selon Amor Habes de se rapprocher davantage de leurs clients et consommateurs en leur offrant des produits de qualité et répondant aux normes universelles. Il parle de l`acquisition des équipements modernes et du savoir – faire et de la technologie nécessaire, ainsi que des investissements consentis pour améliorer le process de production Midi Libre : A l'occasion de la célébration du 25e anniversaire d'existence de FADERCO sur le marché, comment voyez vous les enjeux et la conquête de nouvelles parts de marché ? Amor Habes : Les enjeux que nous nous sommes racés sont aujourd'hui très importants et intéressants. Il s'agit d'un défi pour la société et son staff. Ce ne sont pas des enjeux que j'ai fixés moi-même, j'ai avec moi tout l'appui de mon staff et de mes collaborateurs. Il s'agit d'enjeux importants. Pourquoi ? Car le marché algérien n'est plus ce qu'il était il y a dix ans. Le consommateur a aussi atteint un degré de maturité très important. Les enjeux sont très importants par rapport à la taille de notre marché et par rapport à la nature de nos produits que nous proposons à nos consommateurs. Les enjeux sont en outre taille par rapport à la taille des investissements consentis. Nous considérons que le marché algérien est si important que les investissements sont matérialisés, en cours, à travers notamment la réalisation du complexe de Sétif. Ce futur complexe qui sera réceptionné à la fin de l'année de 2012, permettra d'augmenter sensiblement nos capacités de production actuelle et surtout de lancer de nouveaux produits que nous allons développer. Lesquels ? Il s s`agit de produits sur continence adulte. C'est un produit qui reste très sensible en Algérie auquel nous avons voulu contribuer par l'installation à Sétif, d'une ligne tout automatisée de change complet pour adultes. C'est une ligne qui sera installée au cours du premier semestre 2012. La principale mission à travers cet investissement de 20 millions d'euros dont 10 millions seront consacrés à l'acquisition des équipements est de répondre à la demande croissante de ce type de produits dans notre marché ; et bien entendu à termes de capacités installées, de regarder certains marchés d'exportation pour les produits d'incontinence. Un sujet qui n'est plus aujourd'hui aussi tabou que cela en Algérie. C'est un produit très fortement demandé et les études l'ont démontré. Et d'où la spécialisation de notre société et notre contribution à travers ces projets. Il y a aussi un autre projet portant sur le lancement de la société sur un nouveau segment de produits de papiers et d'essuyage. Les études que nous avons menées ces dernières années ont démontré qu'il s'agit d'un marché encore très jeune et qui recèle beaucoup de perspectives de croissance. Nous estimons à 10 % de croissance par an dans ce segment. L'Algérie consomme environ 25 mille tonnes de papier d'essuyage par an. Quand on sait que l'Algérie n'arrive à produire que 15 mille tonnes par an, Notre société voudrait également contribuer et marquer sa présence sur ce nouveau segment de papiers qui rentrent dans la gamme de l'offre et de la cible que nous avons tracée, élaborée et distribuée pour toute la famille. Voulez vous expliquer ce que vous dites par « on n'achète pas les machines, mais le savoir faire » ? Il est que depuis 25 ans, on est arrivé à tisser des relations très privilégiées avec les principaux fournisseurs d'équipements qui interviennent dans le domaine de l'hygiène. Nous avons sélectionné les prix comme partenaires les meilleurs. Le meilleur aujourd'hui ne vous vend pas des équipements mais un savoir faire. Il faut savoir que nous dans un domaine très technique, qui va du process d'assemblage jusqu'au process de conditionnement. Aujourd'hui les négociations avec nos fournisseurs d'équipements ne consistent pas à acquérir des lignes de production ou des process mais il s'agit surtout de faire des partenariats gagnant-gagnant et de plus livrer des projets clés en mains. Nous établissons des cahiers de charges et nous mettons en place toutes restrictions sur nos produits ; et c'est au partenaire sur un projet en général s'étale sur 24 mois , intervient d'abord par la formation avant la livraison des équipements. C'est une formation acquise chez le fabricant partenaire. Plus un accompagnement qui se fait durant les 24 mois qui suivent l'installation et la mise en route de nos lignes de productions. Au bout des 24 mois, l'expérience a montré qu'effectivement l'outil de production tourne avec un personnel à 100 % algérien et d'expertise algérienne. Qu'en est-il des efforts consentis par l'entreprise en termes de formation ? L'élément humain est au cœur de notre stratégie. Nous ne retrouvons aussi dans notre politique. Nous nous sommes donné comme objectif de tourner la société avec une main d'œuvre algérienne à 100 %. Donc la formation est très importante pour nous. La part de la formation représente environ 30 % du chiffre d'affaires qui sont directement liés à la formation des personnels. La formation ne concerne pas uniquement la partie de l'outil industriel ; mais toutes les strates de la société. Cela va du management, de la parie commerciale et marketing jusqu'à la parie industrielle et technique. Aujourd'hui nous sommes fiers de dire que la société fonctionne quotidiennement. Avec 600 d'emplois à 100 % algérien, nous avons réalisé un défi depuis plus de 5 ans. Le patron de l`entreprise FADERCO spécialisée dans la fabrication de produits d`hygiène corporelle féminine infantile et tous les produits de dérivés coton et couches bébé, nous explique les ambitions et les perspectives de développement de cette entreprise créée en 1986, mais qui réalise des performances à la mesure de ses convoitises et ses aspirations. Il s`git, selon Amor Habes de se rapprocher davantage de leurs clients et consommateurs en leur offrant des produits de qualité et répondant aux normes universelles. Il parle de l`acquisition des équipements modernes et du savoir – faire et de la technologie nécessaire, ainsi que des investissements consentis pour améliorer le process de production Midi Libre : A l'occasion de la célébration du 25e anniversaire d'existence de FADERCO sur le marché, comment voyez vous les enjeux et la conquête de nouvelles parts de marché ? Amor Habes : Les enjeux que nous nous sommes racés sont aujourd'hui très importants et intéressants. Il s'agit d'un défi pour la société et son staff. Ce ne sont pas des enjeux que j'ai fixés moi-même, j'ai avec moi tout l'appui de mon staff et de mes collaborateurs. Il s'agit d'enjeux importants. Pourquoi ? Car le marché algérien n'est plus ce qu'il était il y a dix ans. Le consommateur a aussi atteint un degré de maturité très important. Les enjeux sont très importants par rapport à la taille de notre marché et par rapport à la nature de nos produits que nous proposons à nos consommateurs. Les enjeux sont en outre taille par rapport à la taille des investissements consentis. Nous considérons que le marché algérien est si important que les investissements sont matérialisés, en cours, à travers notamment la réalisation du complexe de Sétif. Ce futur complexe qui sera réceptionné à la fin de l'année de 2012, permettra d'augmenter sensiblement nos capacités de production actuelle et surtout de lancer de nouveaux produits que nous allons développer. Lesquels ? Il s s`agit de produits sur continence adulte. C'est un produit qui reste très sensible en Algérie auquel nous avons voulu contribuer par l'installation à Sétif, d'une ligne tout automatisée de change complet pour adultes. C'est une ligne qui sera installée au cours du premier semestre 2012. La principale mission à travers cet investissement de 20 millions d'euros dont 10 millions seront consacrés à l'acquisition des équipements est de répondre à la demande croissante de ce type de produits dans notre marché ; et bien entendu à termes de capacités installées, de regarder certains marchés d'exportation pour les produits d'incontinence. Un sujet qui n'est plus aujourd'hui aussi tabou que cela en Algérie. C'est un produit très fortement demandé et les études l'ont démontré. Et d'où la spécialisation de notre société et notre contribution à travers ces projets. Il y a aussi un autre projet portant sur le lancement de la société sur un nouveau segment de produits de papiers et d'essuyage. Les études que nous avons menées ces dernières années ont démontré qu'il s'agit d'un marché encore très jeune et qui recèle beaucoup de perspectives de croissance. Nous estimons à 10 % de croissance par an dans ce segment. L'Algérie consomme environ 25 mille tonnes de papier d'essuyage par an. Quand on sait que l'Algérie n'arrive à produire que 15 mille tonnes par an, Notre société voudrait également contribuer et marquer sa présence sur ce nouveau segment de papiers qui rentrent dans la gamme de l'offre et de la cible que nous avons tracée, élaborée et distribuée pour toute la famille. Voulez vous expliquer ce que vous dites par « on n'achète pas les machines, mais le savoir faire » ? Il est que depuis 25 ans, on est arrivé à tisser des relations très privilégiées avec les principaux fournisseurs d'équipements qui interviennent dans le domaine de l'hygiène. Nous avons sélectionné les prix comme partenaires les meilleurs. Le meilleur aujourd'hui ne vous vend pas des équipements mais un savoir faire. Il faut savoir que nous dans un domaine très technique, qui va du process d'assemblage jusqu'au process de conditionnement. Aujourd'hui les négociations avec nos fournisseurs d'équipements ne consistent pas à acquérir des lignes de production ou des process mais il s'agit surtout de faire des partenariats gagnant-gagnant et de plus livrer des projets clés en mains. Nous établissons des cahiers de charges et nous mettons en place toutes restrictions sur nos produits ; et c'est au partenaire sur un projet en général s'étale sur 24 mois , intervient d'abord par la formation avant la livraison des équipements. C'est une formation acquise chez le fabricant partenaire. Plus un accompagnement qui se fait durant les 24 mois qui suivent l'installation et la mise en route de nos lignes de productions. Au bout des 24 mois, l'expérience a montré qu'effectivement l'outil de production tourne avec un personnel à 100 % algérien et d'expertise algérienne. Qu'en est-il des efforts consentis par l'entreprise en termes de formation ? L'élément humain est au cœur de notre stratégie. Nous ne retrouvons aussi dans notre politique. Nous nous sommes donné comme objectif de tourner la société avec une main d'œuvre algérienne à 100 %. Donc la formation est très importante pour nous. La part de la formation représente environ 30 % du chiffre d'affaires qui sont directement liés à la formation des personnels. La formation ne concerne pas uniquement la partie de l'outil industriel ; mais toutes les strates de la société. Cela va du management, de la parie commerciale et marketing jusqu'à la parie industrielle et technique. Aujourd'hui nous sommes fiers de dire que la société fonctionne quotidiennement. Avec 600 d'emplois à 100 % algérien, nous avons réalisé un défi depuis plus de 5 ans.