L'évolution des activités du commerce extérieur en Algérie doit nécessairement s'accompagner de la certification et du perfectionnement des exportateurs, voire de l'amélioration constante de leur formation. Le Programme de renforcement des capacités commerciales des Pays Arabes EnACT a organisé, récemment, au siège de l'agence de promotion du commerce extérieur (Algex), en présence du ministre de commerce, Mustapha Benbada,une cérémonie de remise de certificats des conseillers export qui ont été formés en matière de management et consulting à l'export. Le programme EnACT a rajouté une nouvelle composante de ces conseillers export après une importante promotion formée dans le cadre du Programme de renforcement des capacités exportatrices des PME algériennes Optimexport. Les deux formations issues des deux différents programmes sont des formations complémentaires et indispensables pour faire ressortir un nouveau corps professionnel des conseillers export qui contribuera efficacement au développement du potentiel des exportations algériennes hors hydrocarbures, par la mise à disposition d'une expertise en matière de conseil export, et ce au profit des primo exportateurs ou exportateurs confirmés, mais encore souvent confrontés à des difficultés ponctuelles. Dans une approche de transfert du savoir faire, treize participants retenus ont suivi la formation des formateurs en business management système afin de la mettre à la disposition des entreprises.. En effet, l'objectif visé est , selon les organisateurs, l'impact durable en matière d'utilité et d'utilisation de cette formation au profit des PMEs algériennes, notamment celles qui envisagent l'exportation. Il y a lieu de souligner que le facteur de formation et de professionnalisme en management est un manque dont souffrent les exportateurs algériens qui ne maîtrisent, selon de nombreux experts, les techniques d'exportations et surtout la connaissance des rouages et des mécanismes de pénétration des marchés extérieurs. Etre exportateur et être producteur, il s'agit, selon les mêmes experts, de deux métiers différents et d'où leur séparation dans des pays à fort potentiel d'exportations. Une telle formation est donc plus que nécessaire pour booster le niveau des exportations algériennes hors hydrocarbures qui n'arrivent pas à atteindre la moitié du niveau financier fixé par le gouvernement, soit un milliard sur les deux milliards de dollars. Il faut dire que les exportations non pétrolières de l'Algérie sont composées de près de 80 % de produits bruts et de demi-produits, notamment le phosphate et les produits dérivés du pétrole, alors que les produits agricoles et agroalimentaires ont une part minime. Bien qu'ils soient exonérés du paiement de tout impôt, notamment la TVA, sur le chiffre d'affaires réalisé à l'exportation, dans le cadre du dispositif d'appui aux exportateurs hors hydrocarbures, les exportateurs sont de moins en moins nombreux. Leur nombre ne dépassait pas les 350 opérateurs l'année dernière contre 450 exportateurs en 2008, selon des données de l'Agence de promotion du commerce extérieur (Algex). Les exportations hors hydrocarbures représentent 98 % du total des exportations, mais cela est perçue comme étant préjudiciable pour l'économie nationale, car le pays est monoexportateur de pétrole et de gaz, alors que l'industrie et, surtout l'agriculture, doivent joeur pleinement leur rôle pour diversifier les exportations et assurer la sécurité alimentaire du pays. L'évolution des activités du commerce extérieur en Algérie doit nécessairement s'accompagner de la certification et du perfectionnement des exportateurs, voire de l'amélioration constante de leur formation. Le Programme de renforcement des capacités commerciales des Pays Arabes EnACT a organisé, récemment, au siège de l'agence de promotion du commerce extérieur (Algex), en présence du ministre de commerce, Mustapha Benbada,une cérémonie de remise de certificats des conseillers export qui ont été formés en matière de management et consulting à l'export. Le programme EnACT a rajouté une nouvelle composante de ces conseillers export après une importante promotion formée dans le cadre du Programme de renforcement des capacités exportatrices des PME algériennes Optimexport. Les deux formations issues des deux différents programmes sont des formations complémentaires et indispensables pour faire ressortir un nouveau corps professionnel des conseillers export qui contribuera efficacement au développement du potentiel des exportations algériennes hors hydrocarbures, par la mise à disposition d'une expertise en matière de conseil export, et ce au profit des primo exportateurs ou exportateurs confirmés, mais encore souvent confrontés à des difficultés ponctuelles. Dans une approche de transfert du savoir faire, treize participants retenus ont suivi la formation des formateurs en business management système afin de la mettre à la disposition des entreprises.. En effet, l'objectif visé est , selon les organisateurs, l'impact durable en matière d'utilité et d'utilisation de cette formation au profit des PMEs algériennes, notamment celles qui envisagent l'exportation. Il y a lieu de souligner que le facteur de formation et de professionnalisme en management est un manque dont souffrent les exportateurs algériens qui ne maîtrisent, selon de nombreux experts, les techniques d'exportations et surtout la connaissance des rouages et des mécanismes de pénétration des marchés extérieurs. Etre exportateur et être producteur, il s'agit, selon les mêmes experts, de deux métiers différents et d'où leur séparation dans des pays à fort potentiel d'exportations. Une telle formation est donc plus que nécessaire pour booster le niveau des exportations algériennes hors hydrocarbures qui n'arrivent pas à atteindre la moitié du niveau financier fixé par le gouvernement, soit un milliard sur les deux milliards de dollars. Il faut dire que les exportations non pétrolières de l'Algérie sont composées de près de 80 % de produits bruts et de demi-produits, notamment le phosphate et les produits dérivés du pétrole, alors que les produits agricoles et agroalimentaires ont une part minime. Bien qu'ils soient exonérés du paiement de tout impôt, notamment la TVA, sur le chiffre d'affaires réalisé à l'exportation, dans le cadre du dispositif d'appui aux exportateurs hors hydrocarbures, les exportateurs sont de moins en moins nombreux. Leur nombre ne dépassait pas les 350 opérateurs l'année dernière contre 450 exportateurs en 2008, selon des données de l'Agence de promotion du commerce extérieur (Algex). Les exportations hors hydrocarbures représentent 98 % du total des exportations, mais cela est perçue comme étant préjudiciable pour l'économie nationale, car le pays est monoexportateur de pétrole et de gaz, alors que l'industrie et, surtout l'agriculture, doivent joeur pleinement leur rôle pour diversifier les exportations et assurer la sécurité alimentaire du pays.