Le ministère de l'Education nationale va introduire l'utilisation des technologies de l'information et de la communication dans le processus de l'apprentissage dès les premières années du cursus primaire. Il sera, également, généralisé à l'ensemble des cursus scolaires. Dans ce sens, une convention-cadre de cinq années, renouvelable, a été signée, hier à Alger, entre les ministères de l'Education nationale et de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication. Les deux ministères ont convenu de mettre en place un partenariat actif, s'étalant sur les cinq prochaines années, pour développer l'usage des TIC dans les établissements de l'éducation nationale. Ce partenariat se concrétisera à travers quatre axes, à savoir, la dotation de chaque enseignant et de chaque élève d'un ordinateur qu'il pourra utiliser à l'école et à domicile, la connexion à l'Internet haut débit de tous les établissements scolaires, la formation aux TIC de l'ensemble des enseignants et le développement de contenus numériques et leur diffusion à travers une plate-forme e-learning. Dans cet objectif, une commission mixte sera chargée de proposer des mécanismes de financement d'un certain nombre d'opérations et de déterminer les outils de l'évaluation durant l'ensemble du processus. Ce nouveau chantier lancé dans le secteur de l'éducation nationale intervient dans le cadre de la généralisation de l'usage des TIC en vue de l'édification d'une société de l'information et d'une économie numérique, a-t-on précisé. Ainsi, a-t-on expliqué, ce sont pas moins de 5 millions de familles qui auront la possibilité d'accéder aux technologies de l'information et de la communication avec l'introduction de l'usage des TIC dans l'éducation, l'enseignement et la formation. Il s'agit, par l'intermédiaire ce processus, de «mettre en œuvre une démarche qui vise : d'abord, l'enseignement des TIC qui sera introduit obligatoirement dans les programmes scolaires, ensuite l'utilisation des outils TIC dans l'enseignement», a-t-on indiqué. En matière de développement de contenus numériques, il est envisagé, prévoit-on, d'avoir recours aux contenus disponibles sur le marché mondial. En clair, le département de Benbouzid, peut-on juger par le contenu de la convention-cadre signée avec le MPTIC, s'apprête à «utiliser, autant que possible, les contenus disponibles sur le marché mondial, après les avoir adaptés et validés. Par la suite, il faudra développer des contenus conformes aux programmes nationaux». Toujours dans le cadre de cette convention, il est précisé que «l'ensemble du corps enseignant ainsi que les ressources humaines formées dans les Ecoles nationales supérieures devront être encouragés à contribuer au développement de contenus pédagogiques et de solutions destinées à l'éducation numérique». Aujourd'hui, le pays, a-t-on soutenu, compte plus de dix millions d'élèves, étudiants et stagiaires inscrits dans les établissements publics d'enseignement et de formation. Ceci représente près de 30% de la population totale (35,7 millions d'habitants au 1er janvier 2010 selon les publications de l'ONS). Les effectifs des enseignants et formateurs, quant à eux, s'élèvent à près de 500.000. Le ministère de l'Education nationale va introduire l'utilisation des technologies de l'information et de la communication dans le processus de l'apprentissage dès les premières années du cursus primaire. Il sera, également, généralisé à l'ensemble des cursus scolaires. Dans ce sens, une convention-cadre de cinq années, renouvelable, a été signée, hier à Alger, entre les ministères de l'Education nationale et de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication. Les deux ministères ont convenu de mettre en place un partenariat actif, s'étalant sur les cinq prochaines années, pour développer l'usage des TIC dans les établissements de l'éducation nationale. Ce partenariat se concrétisera à travers quatre axes, à savoir, la dotation de chaque enseignant et de chaque élève d'un ordinateur qu'il pourra utiliser à l'école et à domicile, la connexion à l'Internet haut débit de tous les établissements scolaires, la formation aux TIC de l'ensemble des enseignants et le développement de contenus numériques et leur diffusion à travers une plate-forme e-learning. Dans cet objectif, une commission mixte sera chargée de proposer des mécanismes de financement d'un certain nombre d'opérations et de déterminer les outils de l'évaluation durant l'ensemble du processus. Ce nouveau chantier lancé dans le secteur de l'éducation nationale intervient dans le cadre de la généralisation de l'usage des TIC en vue de l'édification d'une société de l'information et d'une économie numérique, a-t-on précisé. Ainsi, a-t-on expliqué, ce sont pas moins de 5 millions de familles qui auront la possibilité d'accéder aux technologies de l'information et de la communication avec l'introduction de l'usage des TIC dans l'éducation, l'enseignement et la formation. Il s'agit, par l'intermédiaire ce processus, de «mettre en œuvre une démarche qui vise : d'abord, l'enseignement des TIC qui sera introduit obligatoirement dans les programmes scolaires, ensuite l'utilisation des outils TIC dans l'enseignement», a-t-on indiqué. En matière de développement de contenus numériques, il est envisagé, prévoit-on, d'avoir recours aux contenus disponibles sur le marché mondial. En clair, le département de Benbouzid, peut-on juger par le contenu de la convention-cadre signée avec le MPTIC, s'apprête à «utiliser, autant que possible, les contenus disponibles sur le marché mondial, après les avoir adaptés et validés. Par la suite, il faudra développer des contenus conformes aux programmes nationaux». Toujours dans le cadre de cette convention, il est précisé que «l'ensemble du corps enseignant ainsi que les ressources humaines formées dans les Ecoles nationales supérieures devront être encouragés à contribuer au développement de contenus pédagogiques et de solutions destinées à l'éducation numérique». Aujourd'hui, le pays, a-t-on soutenu, compte plus de dix millions d'élèves, étudiants et stagiaires inscrits dans les établissements publics d'enseignement et de formation. Ceci représente près de 30% de la population totale (35,7 millions d'habitants au 1er janvier 2010 selon les publications de l'ONS). Les effectifs des enseignants et formateurs, quant à eux, s'élèvent à près de 500.000.