Selon les estimations de la Direction des services agricoles (DSA), la présente production oléicole prévisionnelle dans la wilaya de Tizi-Ouzou ne dépasse guère les 200.000 quintaux, soit moins du quart de la production réalisée l'année dernière et qui avait atteint 821.760 quintaux. Selon les estimations de la Direction des services agricoles (DSA), la présente production oléicole prévisionnelle dans la wilaya de Tizi-Ouzou ne dépasse guère les 200.000 quintaux, soit moins du quart de la production réalisée l'année dernière et qui avait atteint 821.760 quintaux. Cette baisse "drastique" de la production oléicole est encore mieux mise en évidence par la comparaison des états de rendement, au vu des prévisions de la DSA qui tablent sur l'obtention, cette année, d'une moyenne de sept quintaux d'olives à l'hectare contre 29 quintaux engrangés à l'hectare durant la campagne précédente. Selon les statistiques du Service de l'organisation de la production et de l'appui technique (SOPAT), une jauge d'huile de pas moins de 14.400.000 litres avait été obtenue la saison oléicole écoulée, alors que le volume prévu pour cette année n'est que de 3.600.000 litres. La chute des fleurs causée par les pluies de mai et juin, le gaulage des olives (mode de cueillette à l'aide d'une longue perche) destructeur des pousses appelées à fructifier l'année d'après, le cycle physiologique de l'arbre alternant la production du bois et celle des boutons floraux, le manque d'entretien de vergers oléicoles, concernant, notamment, les opérations de fertilisation, de taille et de labours, sont autant de facteurs mis en avant par le chargé de la production végétale au niveau de la DSA pour expliquer le recul de la production oléicole, souligne l'APS. Afin d'optimaliser le taux d'extraction d'huile, il est recommandé aux oléiculteurs de "procéder à la récolte dès que la couleur de l'olive tourne au violet, période de véraison intervenant à la mi- novembre", selon ce responsable qui a estimé qu'"il n'y a rien de plus faux que de croire qu'on obtient plus d'huile en retardant la cueillette jusqu'à la pleine maturation de l'olive, c'est-à-dire quand celle-ci prend la couleur noire." Afin d'obtenir une huile de qualité par l'amélioration des conditions de collecte des olives, la même source a requis, entre autres, la nécessité de doter les huileries de caissons en plastique qu'ils mettront à la disposition de leurs clients (oléiculteurs), pour les besoins de conditionnement et de transport des récoltes. Cette tâche est effectuée actuellement dans des sacs de jute, un procédé qui favorise la fermentation des fruits et provoque l'acidité de l'huile. Pour les besoins de transformation des récoltes oléicoles, la wilaya de Tizi-Ouzou, dont les vergers s'étalent sur plus de 33.000 ha, dispose, selon l'APS, d'un parc de 464 huileries, dont 91 de type moderne, acquises avec une subvention étatique de 4 millions de dinars par le biais du Fonds national du développement de l'investissement agricole (FNDIA). Cette baisse "drastique" de la production oléicole est encore mieux mise en évidence par la comparaison des états de rendement, au vu des prévisions de la DSA qui tablent sur l'obtention, cette année, d'une moyenne de sept quintaux d'olives à l'hectare contre 29 quintaux engrangés à l'hectare durant la campagne précédente. Selon les statistiques du Service de l'organisation de la production et de l'appui technique (SOPAT), une jauge d'huile de pas moins de 14.400.000 litres avait été obtenue la saison oléicole écoulée, alors que le volume prévu pour cette année n'est que de 3.600.000 litres. La chute des fleurs causée par les pluies de mai et juin, le gaulage des olives (mode de cueillette à l'aide d'une longue perche) destructeur des pousses appelées à fructifier l'année d'après, le cycle physiologique de l'arbre alternant la production du bois et celle des boutons floraux, le manque d'entretien de vergers oléicoles, concernant, notamment, les opérations de fertilisation, de taille et de labours, sont autant de facteurs mis en avant par le chargé de la production végétale au niveau de la DSA pour expliquer le recul de la production oléicole, souligne l'APS. Afin d'optimaliser le taux d'extraction d'huile, il est recommandé aux oléiculteurs de "procéder à la récolte dès que la couleur de l'olive tourne au violet, période de véraison intervenant à la mi- novembre", selon ce responsable qui a estimé qu'"il n'y a rien de plus faux que de croire qu'on obtient plus d'huile en retardant la cueillette jusqu'à la pleine maturation de l'olive, c'est-à-dire quand celle-ci prend la couleur noire." Afin d'obtenir une huile de qualité par l'amélioration des conditions de collecte des olives, la même source a requis, entre autres, la nécessité de doter les huileries de caissons en plastique qu'ils mettront à la disposition de leurs clients (oléiculteurs), pour les besoins de conditionnement et de transport des récoltes. Cette tâche est effectuée actuellement dans des sacs de jute, un procédé qui favorise la fermentation des fruits et provoque l'acidité de l'huile. Pour les besoins de transformation des récoltes oléicoles, la wilaya de Tizi-Ouzou, dont les vergers s'étalent sur plus de 33.000 ha, dispose, selon l'APS, d'un parc de 464 huileries, dont 91 de type moderne, acquises avec une subvention étatique de 4 millions de dinars par le biais du Fonds national du développement de l'investissement agricole (FNDIA).