Le mouvement pacifiste et anti-capitaliste, Occupy Wall Street, ne semble pas perdre son souffle. Des centaines des manifestants sont sortis, l'après-midi du jeudi, à New York, afin de célébrer leur deux mois d'existence. Plusieurs altercations, parfois violentes, ont conduit à la blessure de sept policiers suivies par l'arrestation d'une soixantaine de personnes, a déclaré Ray Kelly, le patron de la police newyorkaise. Dans la soirée du même jour, plus de 30.000 personnes selon les organisateurs, ont envahi le square Foley, à New York, dans le sud de Manhattan, avant de marcher sur la piste cyclable du pont de Brooklyn, sans perturber la circulation des voitures. Cette forte mobilisation d'étudiants, de syndicalistes et d'indignés, était la réplique aux déclarations du maire de la ville de New York, Michael Bloomberg, qui avait déclaré, dans l'après-midi, qu'il y avait eu "peu de perturbations", et estimé les manifestants à moins d'un millier. "La vraie histoire pour les journaux de demain, c'est qu'il n'y avait pas tant de gens que ça", avait-il ironisé. La manifestation s'est terminée avec un bilan de plus de 250 arrestations. De New York, où a germé le mouvement des indignés, avec une dizaine de personnes, s'inspirant de la révolution tunisienne. Les protestations se sont étendues un peu partout aux Etats-Unis puis au monde. De los Angeles, où la police a même arrêté une octogénaire à la retraite, à toutes les grandes villes américaine, Chicago, Washington, Seattle et Dallas. Les porte-paroles de ce mouvement sans leader, revendiquent plus d'égalité sociale et un plus équitable partage des richesses. Ils disent que personne ne peut les arrêter, en scandant leur fameux slogan : "Ce que nous avons tous en commun, c'est que nous sommes les 99 % qui ne tolèrent plus l'avidité et la corruption des 1 % restant". Le mouvement pacifiste et anti-capitaliste, Occupy Wall Street, ne semble pas perdre son souffle. Des centaines des manifestants sont sortis, l'après-midi du jeudi, à New York, afin de célébrer leur deux mois d'existence. Plusieurs altercations, parfois violentes, ont conduit à la blessure de sept policiers suivies par l'arrestation d'une soixantaine de personnes, a déclaré Ray Kelly, le patron de la police newyorkaise. Dans la soirée du même jour, plus de 30.000 personnes selon les organisateurs, ont envahi le square Foley, à New York, dans le sud de Manhattan, avant de marcher sur la piste cyclable du pont de Brooklyn, sans perturber la circulation des voitures. Cette forte mobilisation d'étudiants, de syndicalistes et d'indignés, était la réplique aux déclarations du maire de la ville de New York, Michael Bloomberg, qui avait déclaré, dans l'après-midi, qu'il y avait eu "peu de perturbations", et estimé les manifestants à moins d'un millier. "La vraie histoire pour les journaux de demain, c'est qu'il n'y avait pas tant de gens que ça", avait-il ironisé. La manifestation s'est terminée avec un bilan de plus de 250 arrestations. De New York, où a germé le mouvement des indignés, avec une dizaine de personnes, s'inspirant de la révolution tunisienne. Les protestations se sont étendues un peu partout aux Etats-Unis puis au monde. De los Angeles, où la police a même arrêté une octogénaire à la retraite, à toutes les grandes villes américaine, Chicago, Washington, Seattle et Dallas. Les porte-paroles de ce mouvement sans leader, revendiquent plus d'égalité sociale et un plus équitable partage des richesses. Ils disent que personne ne peut les arrêter, en scandant leur fameux slogan : "Ce que nous avons tous en commun, c'est que nous sommes les 99 % qui ne tolèrent plus l'avidité et la corruption des 1 % restant".