Le Niger semble adhérer pleinement à la démarche algérienne de renforcer les mécanismes de lutte contre le terrorisme dans la sous-région du Sahel. La visite du chef de la diplomatie de ce pays en Algérie a permis de réitérer son engagement à souscrire aux efforts consentis pour le renforcement de la coopération sécuritaire entre les pays du "champ", dont l'Algérie est un acteur principal. Les pays du champ (Algérie, Niger, Mali, Mauritanie) ont réussi à créer les facteurs institutionnels pour faire face aux problèmes de sécurité dans la région du Sahel, a indiqué le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et des Nigériens à l'étranger, Mohamed Bazoum, plaidant pour que ces outils soient opérationnels, lors de sa visite à Alger. "Nous avons, me semble-t-il, jusqu'ici, créé les facteurs institutionnels indispensables à la mise en oeuvre d'une démarche commune pour faire face aux problèmes de sécurité. Il nous reste, et c'est important, à faire en sorte que notre état-major militaire commun soit opérationnel", a-t-il déclaré, en marge des travaux de la 10e session de la Commission mixte algéro-nigérienne de coopération. "Il faut faire en sorte que ces institutions que nous avons créées et qui ont vocation à faire face à l'insécurité soient effectivement fonctionnelles", a-t-il ajouté, considérant que cette question doit être perçue en tant qu'"un défi" par les pays du champ. Bazoum a indiqué qu'il mettra à profit sa rencontre avec le ministre délégué aux Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, et les responsables algériens qu'il rencontrera à l'occasion de sa visite à Alger, pour "échanger" les points de vue, pour faire avancer les questions liées à la lutte sur le plan opérationnel contre l'insécurité dans la région. Il a également souligné, dans ce cadre, l'opportunité qu'offre la prochaine rencontre des ministres des Affaires étrangères des pays du champ élargie au Nigeria, le Tchad et le Burkina Faso, prévue pour les 2 et 3 décembre prochain, pour identifier les voies et moyens à même de rendre ces institutions communes opérationnelles pour faire face à l'insécurité. Pour Bazoum, "les facteurs de sécurité conditionnent la mise en oeuvre conséquente des engagements pris" dans le cadre des réunions bilatérales. "Quels que soient notre bonne volonté et les efforts dont nous pouvons faire preuve, si nous sommes dans un contexte d'insécurité, tout peut être perturbé et notre volonté sera confrontée à cet obstacle (l'insécurité) qui sera insurmontable", a-t-il conclu. Le Niger semble adhérer pleinement à la démarche algérienne de renforcer les mécanismes de lutte contre le terrorisme dans la sous-région du Sahel. La visite du chef de la diplomatie de ce pays en Algérie a permis de réitérer son engagement à souscrire aux efforts consentis pour le renforcement de la coopération sécuritaire entre les pays du "champ", dont l'Algérie est un acteur principal. Les pays du champ (Algérie, Niger, Mali, Mauritanie) ont réussi à créer les facteurs institutionnels pour faire face aux problèmes de sécurité dans la région du Sahel, a indiqué le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et des Nigériens à l'étranger, Mohamed Bazoum, plaidant pour que ces outils soient opérationnels, lors de sa visite à Alger. "Nous avons, me semble-t-il, jusqu'ici, créé les facteurs institutionnels indispensables à la mise en oeuvre d'une démarche commune pour faire face aux problèmes de sécurité. Il nous reste, et c'est important, à faire en sorte que notre état-major militaire commun soit opérationnel", a-t-il déclaré, en marge des travaux de la 10e session de la Commission mixte algéro-nigérienne de coopération. "Il faut faire en sorte que ces institutions que nous avons créées et qui ont vocation à faire face à l'insécurité soient effectivement fonctionnelles", a-t-il ajouté, considérant que cette question doit être perçue en tant qu'"un défi" par les pays du champ. Bazoum a indiqué qu'il mettra à profit sa rencontre avec le ministre délégué aux Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, et les responsables algériens qu'il rencontrera à l'occasion de sa visite à Alger, pour "échanger" les points de vue, pour faire avancer les questions liées à la lutte sur le plan opérationnel contre l'insécurité dans la région. Il a également souligné, dans ce cadre, l'opportunité qu'offre la prochaine rencontre des ministres des Affaires étrangères des pays du champ élargie au Nigeria, le Tchad et le Burkina Faso, prévue pour les 2 et 3 décembre prochain, pour identifier les voies et moyens à même de rendre ces institutions communes opérationnelles pour faire face à l'insécurité. Pour Bazoum, "les facteurs de sécurité conditionnent la mise en oeuvre conséquente des engagements pris" dans le cadre des réunions bilatérales. "Quels que soient notre bonne volonté et les efforts dont nous pouvons faire preuve, si nous sommes dans un contexte d'insécurité, tout peut être perturbé et notre volonté sera confrontée à cet obstacle (l'insécurité) qui sera insurmontable", a-t-il conclu.