Le tribunal criminel près la cour d'Alger a reporté, hier, au 2 janvier prochain l'affaire des 12 terroristes présumés accusés d'appartenance à un "groupe terroriste international", impliqué dans l'enlèvement de touristes étrangers dans le Sahara algérien et les pays du Sahel. Ce groupe terroriste présumé est aussi accusé d'être un "réseau de soutien et d'appui aux groupes terroristes activant dans les déserts d'Algérie, du Mali et du Niger, spécialisés dans le rapt de touristes étrangers". Le juge Benkharchi Omar, président du tribunal criminel, a décidé de ce renvoi en raison de l'absence d'El Hiza Abderrahmane, l'un des "principaux" accusés dans cette affaire, selon le collectif de la défense. Selon l'arrêt de renvoi, le groupe terroriste international était dirigé par le dénommé Abou Zeid et activait dans le Sahara algérien et les pays du Sahel avec pour objectif le rapt de touristes étrangers. Le dénommé Abou Zeid a adopté, selon la même source, "une nouvelle stratégie consistant à recruter des personnes spécialisées dans le trafic de drogue, de carburant et d'armes dans le Sahara". Outre la mobilisation de nouveaux éléments pour renforcer le groupe du Sahara, les mis en cause fournissaient aux terroristes des denrées alimentaires, de l'essence et du mazout, et activaient dans le trafic de drogue pour pouvoir financer l'achat d'armes. Ils ont également posé un faux barrage dans le Sud pour voler des voitures de type 4x4 aux citoyens en vue de les utiliser dans leurs déplacements et pour les attentats, dont l'attaque armée ayant visé des éléments de la gendarmerie à El Goléa en 2006. Le tribunal criminel près la cour d'Alger a reporté, hier, au 2 janvier prochain l'affaire des 12 terroristes présumés accusés d'appartenance à un "groupe terroriste international", impliqué dans l'enlèvement de touristes étrangers dans le Sahara algérien et les pays du Sahel. Ce groupe terroriste présumé est aussi accusé d'être un "réseau de soutien et d'appui aux groupes terroristes activant dans les déserts d'Algérie, du Mali et du Niger, spécialisés dans le rapt de touristes étrangers". Le juge Benkharchi Omar, président du tribunal criminel, a décidé de ce renvoi en raison de l'absence d'El Hiza Abderrahmane, l'un des "principaux" accusés dans cette affaire, selon le collectif de la défense. Selon l'arrêt de renvoi, le groupe terroriste international était dirigé par le dénommé Abou Zeid et activait dans le Sahara algérien et les pays du Sahel avec pour objectif le rapt de touristes étrangers. Le dénommé Abou Zeid a adopté, selon la même source, "une nouvelle stratégie consistant à recruter des personnes spécialisées dans le trafic de drogue, de carburant et d'armes dans le Sahara". Outre la mobilisation de nouveaux éléments pour renforcer le groupe du Sahara, les mis en cause fournissaient aux terroristes des denrées alimentaires, de l'essence et du mazout, et activaient dans le trafic de drogue pour pouvoir financer l'achat d'armes. Ils ont également posé un faux barrage dans le Sud pour voler des voitures de type 4x4 aux citoyens en vue de les utiliser dans leurs déplacements et pour les attentats, dont l'attaque armée ayant visé des éléments de la gendarmerie à El Goléa en 2006.