Les travaux du 20e Congrès mondial du pétrole qui se tiennent, pour la première fois, au Moyen-Orient, ont débuté lundi à Doha au Qatar pour se clôturer le 8 décembre prochain. L'Algérie, qui prend part à ce congrès, est représentée par son ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi. Cette nouvelle édition du Congrès mondial du pétrole est placée sous le thème des solutions énergétiques pour tous : « Promotion de la coopération, de l'innovation et de l'investissement ». Le ministre, qui est à la tête d'une importante délégation, animera demain la session ministérielle consacrée à l'Algérie, en présentant une communication sur les potentialités du secteur de l'énergie et des mines et les opportunités de coopération et de partenariat, selon un communiqué du ministère. Des rencontres avec les ministres des pays participant au Congrès ainsi qu'avec les dirigeants de compagnies pétrolières et gazières sont également prévues dans l'agenda de M. Yousfi, a-t-on fait savoir. La présentation de l'Algérie , prévue à cet effet, va comprendre plusieurs aspects liés à l'industrie pétrolière, aux progrès technologiques dans les activités en amont et en aval, ainsi qu'au rôle du gaz naturel, du renouvelable et des énergies alternatives, selon la délégation algérienne présente à cette rencontre. Lors de cette session, a-t-on annoncé, Sonatrach tiendra deux présentations portant sur la politique énergétique nationale et la stratégie de développement du groupe à moyen terme. A l'ouverture des travaux, hier, l'émir du Qatar, Cheikh Hamad Ben Khalifa Al Thani, a estimé que les inquiétudes sur la sécurité de l'offre pétrolière mondiale, accentuées ces derniers mois par les événements survenus dans le Monde arabe, vont se dissiper. Selon lui « Ces derniers événements ont probablement créé une certaine inquiétude sur la sécurité de l'offre et la croissance de l'économie mondiale mais nous estimons que l'approvisionnement en énergie va dépasser les crises d'instabilité dans cette région ». L'édition de Doha, a-t-on indiqué, a enregistré un record en termes de délégués participants. Ainsi, environ 5.000 délégués de plusieurs pays ont été annoncés à ce forum de discussions sur le pétrole, qui rappelons-le, a été créé en 1933. Le forum débattra aussi des solutions en mesure d'assurer une offre énergétique mondiale suffisante à moyen et à long termes et un accès équitable à l'énergie. Pour atteindre ces objectifs, les producteurs, les consommateurs et les gouvernements doivent coopérer pour développer les techniques d'extraction du gaz et des huiles schisteux (New Oil) mais dans le respect de l'environnement, a expliqué Randy Gossen, président sortant du Congrès mondial du pétrole. La présence d'une vingtaine de ministres de l'Energie, des pays grands producteurs et consommateurs de pétrole, a été annoncée. Les participants animeront, quatre jours durant, plusieurs sessions ministérielles sur des thèmes de l'actualité pétrolière. Les travaux du 20e Congrès mondial du pétrole qui se tiennent, pour la première fois, au Moyen-Orient, ont débuté lundi à Doha au Qatar pour se clôturer le 8 décembre prochain. L'Algérie, qui prend part à ce congrès, est représentée par son ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi. Cette nouvelle édition du Congrès mondial du pétrole est placée sous le thème des solutions énergétiques pour tous : « Promotion de la coopération, de l'innovation et de l'investissement ». Le ministre, qui est à la tête d'une importante délégation, animera demain la session ministérielle consacrée à l'Algérie, en présentant une communication sur les potentialités du secteur de l'énergie et des mines et les opportunités de coopération et de partenariat, selon un communiqué du ministère. Des rencontres avec les ministres des pays participant au Congrès ainsi qu'avec les dirigeants de compagnies pétrolières et gazières sont également prévues dans l'agenda de M. Yousfi, a-t-on fait savoir. La présentation de l'Algérie , prévue à cet effet, va comprendre plusieurs aspects liés à l'industrie pétrolière, aux progrès technologiques dans les activités en amont et en aval, ainsi qu'au rôle du gaz naturel, du renouvelable et des énergies alternatives, selon la délégation algérienne présente à cette rencontre. Lors de cette session, a-t-on annoncé, Sonatrach tiendra deux présentations portant sur la politique énergétique nationale et la stratégie de développement du groupe à moyen terme. A l'ouverture des travaux, hier, l'émir du Qatar, Cheikh Hamad Ben Khalifa Al Thani, a estimé que les inquiétudes sur la sécurité de l'offre pétrolière mondiale, accentuées ces derniers mois par les événements survenus dans le Monde arabe, vont se dissiper. Selon lui « Ces derniers événements ont probablement créé une certaine inquiétude sur la sécurité de l'offre et la croissance de l'économie mondiale mais nous estimons que l'approvisionnement en énergie va dépasser les crises d'instabilité dans cette région ». L'édition de Doha, a-t-on indiqué, a enregistré un record en termes de délégués participants. Ainsi, environ 5.000 délégués de plusieurs pays ont été annoncés à ce forum de discussions sur le pétrole, qui rappelons-le, a été créé en 1933. Le forum débattra aussi des solutions en mesure d'assurer une offre énergétique mondiale suffisante à moyen et à long termes et un accès équitable à l'énergie. Pour atteindre ces objectifs, les producteurs, les consommateurs et les gouvernements doivent coopérer pour développer les techniques d'extraction du gaz et des huiles schisteux (New Oil) mais dans le respect de l'environnement, a expliqué Randy Gossen, président sortant du Congrès mondial du pétrole. La présence d'une vingtaine de ministres de l'Energie, des pays grands producteurs et consommateurs de pétrole, a été annoncée. Les participants animeront, quatre jours durant, plusieurs sessions ministérielles sur des thèmes de l'actualité pétrolière.