La ministre Nigériane du pétrole, Dieziani Allison-Maduek a indiqué mardi à Doha que son pays faisait de son mieux pour faire aboutir le projet du gazoduc trans-saharian gas pipeline (TSGP), reliant le Nigéria à l'Europe via l'Algérie. « Nous faisons de notre mieux pour faire avancer le projet », a déclaré à l'APS la ministre nigériane en marge de sa visite à l'exposition du 20e Congrès mondial du pétrole. « Le projet progresse du mieux qu'il peut au regard du contexte et des préoccupations qui occupe le gaz actuellement », a-elle ajouté, en indiquant que le TSGP « figure au centre des intérêts du Nigeria ». « Nous ne pouvons le mettre en œuvre qu'en fonction des paramètres qui sont en notre possession, comme les paramètres financiers et autres », s'est contentée de dire Mme Allison-Maduek L'accord gouvernemental conclu en 2009 entre l'Algérie, le Niger et le Nigeria sur le TSGP n'a pas réussi à mettre sur les rails ce méga-projet qui devrait acheminer de 20 à 30 milliards de m3 de gaz vers l'Europe. La ratification de l'accord par le Nigeria traîne encore, alors que l'Algérie et le Niger, d'où transite aussi le TSGP, l'ont déjà fait, a fait remarquer mardi une source algérienne à Doha. Selon certaines sources, la compagnie pétrolière nigériane, chargée du projet, rencontre des contraintes financières pour mettre en œuvre le gazoduc. La ministre Nigériane du pétrole, Dieziani Allison-Maduek a indiqué mardi à Doha que son pays faisait de son mieux pour faire aboutir le projet du gazoduc trans-saharian gas pipeline (TSGP), reliant le Nigéria à l'Europe via l'Algérie. « Nous faisons de notre mieux pour faire avancer le projet », a déclaré à l'APS la ministre nigériane en marge de sa visite à l'exposition du 20e Congrès mondial du pétrole. « Le projet progresse du mieux qu'il peut au regard du contexte et des préoccupations qui occupe le gaz actuellement », a-elle ajouté, en indiquant que le TSGP « figure au centre des intérêts du Nigeria ». « Nous ne pouvons le mettre en œuvre qu'en fonction des paramètres qui sont en notre possession, comme les paramètres financiers et autres », s'est contentée de dire Mme Allison-Maduek L'accord gouvernemental conclu en 2009 entre l'Algérie, le Niger et le Nigeria sur le TSGP n'a pas réussi à mettre sur les rails ce méga-projet qui devrait acheminer de 20 à 30 milliards de m3 de gaz vers l'Europe. La ratification de l'accord par le Nigeria traîne encore, alors que l'Algérie et le Niger, d'où transite aussi le TSGP, l'ont déjà fait, a fait remarquer mardi une source algérienne à Doha. Selon certaines sources, la compagnie pétrolière nigériane, chargée du projet, rencontre des contraintes financières pour mettre en œuvre le gazoduc.