Le déficit en infrastructures de recherche constitue le principal handicap de la recherche scientifique en Algérie, a indiqué, hier, Hafidh Aourag, directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Dans ce cadre, M. Aourag, a annoncé, à l'ouverture des travaux de la seconde session du Comité sectoriel permanent qui s'est tenu à l'unité de développement des équipements solaires (Udes) de Bou Ismaïl (Tipasa), la construction prochaine de 1.000 laboratoires de recherche afin de rendre "performante" la recherche scientifique en Algérie qui, jusque-là, "a squatté les infrastructures des universités qui ne répondent ni aux normes ni aux cahiers des charges", a-t-il précisé. Ce déficit, considéré comme le problème numéro 1 auquel est confrontée la recherche scientifique, "sera pris en charge dans le cadre de la nouvelle loi d'orientation de la recherche scientifique en cours de préparation et qui fera l'objet d'une discussion pendant les deux journées des travaux de cette deuxième session du Comité Sectoriel Permanent, installé au début de l'année 2011", a ajouté M. Aourag. Cette seconde session du CSP a débuté par la discussion sur l'élaboration de la nouvelle loi d'orientation scientifique et la mise en place de groupes de travail thématiques qui aborderont les problèmes de la recherche scientifique en Algérie qui occupe quelque 1500 chercheurs et 20.000 enseignants chercheurs. Ces deux jours de travaux (12 et 13 décembre) seront également mis à pour faire une évaluation des projets PNR (Plans nationaux de recherche), mettre en place une cellule de recherche pour la finalisation de l'évaluation des 320 nouvelles propositions de création d'entités de recherche et examiner les modalités d'évaluation des bilans triennaux (2009-2010-2011) des 400 laboratoires de recherche. Il s'agit aussi de faire le bilan des audits des 63 laboratoires et d'étude des propositions de budgets triennaux pour les années 2012, 2013 et 2014. Après avoir abordé l'évaluation des PNR, les 60 membres du Comité Sectoriel Permanent ont mis en place des ateliers qui vont plancher sur la place du cahier du PNR comme instrument de traçabilité ainsi que sur le bilan de l'effort de recherche et la répartition des tâches pour la finalisation des propositions. La création des laboratoires en sciences sociales et en sciences humaines, ainsi que le lancement d'une réflexion sur la nouvelle loi de recherche en préparation sont les autres points qui seront approfondis dans les ateliers de travail. La seconde et dernière journée de cette session du CSP sera consacrée à la présentation des travaux des ateliers qui seront clôturés par un débat général. Le déficit en infrastructures de recherche constitue le principal handicap de la recherche scientifique en Algérie, a indiqué, hier, Hafidh Aourag, directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Dans ce cadre, M. Aourag, a annoncé, à l'ouverture des travaux de la seconde session du Comité sectoriel permanent qui s'est tenu à l'unité de développement des équipements solaires (Udes) de Bou Ismaïl (Tipasa), la construction prochaine de 1.000 laboratoires de recherche afin de rendre "performante" la recherche scientifique en Algérie qui, jusque-là, "a squatté les infrastructures des universités qui ne répondent ni aux normes ni aux cahiers des charges", a-t-il précisé. Ce déficit, considéré comme le problème numéro 1 auquel est confrontée la recherche scientifique, "sera pris en charge dans le cadre de la nouvelle loi d'orientation de la recherche scientifique en cours de préparation et qui fera l'objet d'une discussion pendant les deux journées des travaux de cette deuxième session du Comité Sectoriel Permanent, installé au début de l'année 2011", a ajouté M. Aourag. Cette seconde session du CSP a débuté par la discussion sur l'élaboration de la nouvelle loi d'orientation scientifique et la mise en place de groupes de travail thématiques qui aborderont les problèmes de la recherche scientifique en Algérie qui occupe quelque 1500 chercheurs et 20.000 enseignants chercheurs. Ces deux jours de travaux (12 et 13 décembre) seront également mis à pour faire une évaluation des projets PNR (Plans nationaux de recherche), mettre en place une cellule de recherche pour la finalisation de l'évaluation des 320 nouvelles propositions de création d'entités de recherche et examiner les modalités d'évaluation des bilans triennaux (2009-2010-2011) des 400 laboratoires de recherche. Il s'agit aussi de faire le bilan des audits des 63 laboratoires et d'étude des propositions de budgets triennaux pour les années 2012, 2013 et 2014. Après avoir abordé l'évaluation des PNR, les 60 membres du Comité Sectoriel Permanent ont mis en place des ateliers qui vont plancher sur la place du cahier du PNR comme instrument de traçabilité ainsi que sur le bilan de l'effort de recherche et la répartition des tâches pour la finalisation des propositions. La création des laboratoires en sciences sociales et en sciences humaines, ainsi que le lancement d'une réflexion sur la nouvelle loi de recherche en préparation sont les autres points qui seront approfondis dans les ateliers de travail. La seconde et dernière journée de cette session du CSP sera consacrée à la présentation des travaux des ateliers qui seront clôturés par un débat général.