Trois ans de prison avec sursis est la peine prononcée par le tribunal criminel près la cour de Boumerdès à l'encontre d'un repenti pour les chefs d'accusations d'adhésion à groupe terroriste et homicide volontaire avec préméditation. Le tribunal a également acquitté son frère poursuivi pour adhésion à un groupe terroriste armé et fabrication d'armes de guerre sans autorisation. La genèse de l'affaire remonte au mois de mars 2007, lorsque les services de sécurité avaient arrêté le deuxième accusé suite aux informations faisant état de la collaboration de l'accusé avec les groupes armés activant dans la région de Sahel Boubrak. L'accusé avait avoué que son frère était derrière l'assassinat d'un policier en 2007, dans la localité de Benchoud, notamment en communiquant des informations aux terroristes sur les déplacements de la victime. Le repenti a avoué qu'il s'est rendu aux services de sécurité après avoir passé sept mois dans les maquis de Sidi Ali Bounab. Il a nié son implication dans l'assassinat de policier précité et le fait que les terroriste lui auraient offert une arme de type Semenov. Il a nié d'avoir participé dans des opérations terroristes. Le même tribunal a condamné, mercredi dernier, le terroriste S. A., à une peine de trois ans de prison ferme assorti d'une amende de 100.000 DA pour les chefs d'inculpations de soutien aux groupes terroristes armés de l'ex-GSPC. Il approvisionnait les groupes terroristes de la sériate de Cap Djenet. Le procureur de la République avait requis une peine de 15 ans de prison. La même instance judiciaire a acquitté deux autres inculpés pour le chef d'accusation d'adhésion à un groupe terroriste armé. L'affaire remonte au mois de mai dernier, lorsque des terroristes ont volé une voiture et ont été arrêtés par la Gendarmerie nationale au niveau d'un point de contrôle à Cap Djenet. Au cours de son interrogatoire, B. N. a reconnu qu'il était en collaboration avec les terroristes de la sériate de cap Djenet et avait été chargé de ramener un véhicule. Il a reconnu également qu'il est impliqué dans un réseau de soutien aux groupes terroristes écumant la région, mais en précisant qu'il n'a pas accepté de rejoindre les maquis. Il avoué avoir contacté les deux autres accusés pour leur proposer de collaborer avec les groupes terroristes, mais, ajoute-il, les accusés ont refusé sa proposition. Le même tribunal a reporté, par ailleurs, le procès de neuf autres terroristes en fuite. Trois ans de prison avec sursis est la peine prononcée par le tribunal criminel près la cour de Boumerdès à l'encontre d'un repenti pour les chefs d'accusations d'adhésion à groupe terroriste et homicide volontaire avec préméditation. Le tribunal a également acquitté son frère poursuivi pour adhésion à un groupe terroriste armé et fabrication d'armes de guerre sans autorisation. La genèse de l'affaire remonte au mois de mars 2007, lorsque les services de sécurité avaient arrêté le deuxième accusé suite aux informations faisant état de la collaboration de l'accusé avec les groupes armés activant dans la région de Sahel Boubrak. L'accusé avait avoué que son frère était derrière l'assassinat d'un policier en 2007, dans la localité de Benchoud, notamment en communiquant des informations aux terroristes sur les déplacements de la victime. Le repenti a avoué qu'il s'est rendu aux services de sécurité après avoir passé sept mois dans les maquis de Sidi Ali Bounab. Il a nié son implication dans l'assassinat de policier précité et le fait que les terroriste lui auraient offert une arme de type Semenov. Il a nié d'avoir participé dans des opérations terroristes. Le même tribunal a condamné, mercredi dernier, le terroriste S. A., à une peine de trois ans de prison ferme assorti d'une amende de 100.000 DA pour les chefs d'inculpations de soutien aux groupes terroristes armés de l'ex-GSPC. Il approvisionnait les groupes terroristes de la sériate de Cap Djenet. Le procureur de la République avait requis une peine de 15 ans de prison. La même instance judiciaire a acquitté deux autres inculpés pour le chef d'accusation d'adhésion à un groupe terroriste armé. L'affaire remonte au mois de mai dernier, lorsque des terroristes ont volé une voiture et ont été arrêtés par la Gendarmerie nationale au niveau d'un point de contrôle à Cap Djenet. Au cours de son interrogatoire, B. N. a reconnu qu'il était en collaboration avec les terroristes de la sériate de cap Djenet et avait été chargé de ramener un véhicule. Il a reconnu également qu'il est impliqué dans un réseau de soutien aux groupes terroristes écumant la région, mais en précisant qu'il n'a pas accepté de rejoindre les maquis. Il avoué avoir contacté les deux autres accusés pour leur proposer de collaborer avec les groupes terroristes, mais, ajoute-il, les accusés ont refusé sa proposition. Le même tribunal a reporté, par ailleurs, le procès de neuf autres terroristes en fuite.