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Le CNT demande à tous ses membres de ne pas participer
Libye : futur gouvernement
Publié dans Le Midi Libre le 28 - 12 - 2011

Le Conseil national de transition libyen (CNT) a demandé à tous ses membres de signer une décision leur interdisant de participer au Congrès national et au futur gouvernement élu, a indiqué un membre de la Commission juridique du Conseil qui dirige les affaires du pays.
"Cette décision a été prise lors d'une réunion du CNT tenue lundi à Benghazi" dans l'est du pays, a affirmé lundi Mustapha Landi, membre de la commission juridique du CNT.
Il a estimé qu'"il est du droit de tous les Libyens de connaître les noms et l'histoire des responsables du Conseil transitoire ainsi que la façon
de gérer cette institution qui est la haute autorité exécutive en Libye".
"Ceux qui ne répondent pas à ces demandes dans un délai précis seront écartés du CNT", qui dirige les affaires du pays après la chute du régime de Maâmmar El-Gueddafi, arrêté puis tué le 20 octobre à Syrte, a ajouté M. Landi.
"Toute personne qui donne de faux CV risquera d'être poursuivie en justice", a-t-il poursuivi.
Le CNT est vivement critiqué ces dernières semaines par les manifestants révolutionnaires pour le manque de transparence dans la gestion des affaires du pays. En réponse à ces préoccupations, le président du CNT, Mustapha Abdeldjalil, avait assuré le 21 du mois en cours que les ex-rebelles ayant participé au soulèvement contre l'ex-régime seront représentés au Conseil. "Nous choisirons sept, huit ou neuf (personnes) pour qu'elles deviennent membres du Conseil national", avait-il affirmé.
Lundi, ces ex-rebelles ont réclamé une représentation de 40% au CNT, a indiqué Fredj El-Soueïhli, un commandant de Misrata, grande ville à l'est de la capitale Tripoli.
APS
Instabilité en Guinée-Bissau
L'état-major de l'armée attaqué
Le siège de l'état-major des forces armées bissau-guinéennes a été attaqué lundi 26 décembre à Bissau par un groupe de soldats, tandis que des militaires mécontents se sont déployés dans les rues de la capitale, selon des militaires et des témoins. Aucune source n'était en mesure d'indiquer si ces événements, qui se sont produits en l'absence du chef de l'Etat du pays en séjour médical en France et ont amené le Premier ministre à se réfugier brièvement dans une ambassade, ont fait des blessés ou des morts, rapporte Reuters.
La Guinée-Bissau connaît une instabilité chronique depuis son indépendance, en 1974, et est régulièrement frappée par des coups d'Etat et des violences où l'armée joue un rôle prépondérant. On ignore cependant si les troubles de lundi vont au-delà d'une poussée de fièvre. Le Premier ministre, Carlos Gomes Junior, s'est temporairement réfugié à l'ambassade d'Angola, après que des militaires se sont rendus à son domicile, situé en face de la représentation diplomatique, selon deux de ses proches et une source diplomatique non angolaise. Il a regagné son domicile en milieu de journée.
R.I
Le Conseil national de transition libyen (CNT) a demandé à tous ses membres de signer une décision leur interdisant de participer au Congrès national et au futur gouvernement élu, a indiqué un membre de la Commission juridique du Conseil qui dirige les affaires du pays.
"Cette décision a été prise lors d'une réunion du CNT tenue lundi à Benghazi" dans l'est du pays, a affirmé lundi Mustapha Landi, membre de la commission juridique du CNT.
Il a estimé qu'"il est du droit de tous les Libyens de connaître les noms et l'histoire des responsables du Conseil transitoire ainsi que la façon
de gérer cette institution qui est la haute autorité exécutive en Libye".
"Ceux qui ne répondent pas à ces demandes dans un délai précis seront écartés du CNT", qui dirige les affaires du pays après la chute du régime de Maâmmar El-Gueddafi, arrêté puis tué le 20 octobre à Syrte, a ajouté M. Landi.
"Toute personne qui donne de faux CV risquera d'être poursuivie en justice", a-t-il poursuivi.
Le CNT est vivement critiqué ces dernières semaines par les manifestants révolutionnaires pour le manque de transparence dans la gestion des affaires du pays. En réponse à ces préoccupations, le président du CNT, Mustapha Abdeldjalil, avait assuré le 21 du mois en cours que les ex-rebelles ayant participé au soulèvement contre l'ex-régime seront représentés au Conseil. "Nous choisirons sept, huit ou neuf (personnes) pour qu'elles deviennent membres du Conseil national", avait-il affirmé.
Lundi, ces ex-rebelles ont réclamé une représentation de 40% au CNT, a indiqué Fredj El-Soueïhli, un commandant de Misrata, grande ville à l'est de la capitale Tripoli.
APS
Instabilité en Guinée-Bissau
L'état-major de l'armée attaqué
Le siège de l'état-major des forces armées bissau-guinéennes a été attaqué lundi 26 décembre à Bissau par un groupe de soldats, tandis que des militaires mécontents se sont déployés dans les rues de la capitale, selon des militaires et des témoins. Aucune source n'était en mesure d'indiquer si ces événements, qui se sont produits en l'absence du chef de l'Etat du pays en séjour médical en France et ont amené le Premier ministre à se réfugier brièvement dans une ambassade, ont fait des blessés ou des morts, rapporte Reuters.
La Guinée-Bissau connaît une instabilité chronique depuis son indépendance, en 1974, et est régulièrement frappée par des coups d'Etat et des violences où l'armée joue un rôle prépondérant. On ignore cependant si les troubles de lundi vont au-delà d'une poussée de fièvre. Le Premier ministre, Carlos Gomes Junior, s'est temporairement réfugié à l'ambassade d'Angola, après que des militaires se sont rendus à son domicile, situé en face de la représentation diplomatique, selon deux de ses proches et une source diplomatique non angolaise. Il a regagné son domicile en milieu de journée.
R.I


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