Le Parlement arabe a appelé dimanche au retrait immédiat des observateurs arabes déployés en Syrie, en raison de la poursuite des violences dans ce pays et le non-respect du protocole arabe exigeant la protection des citoyens syriens. "Les actes de violences se poursuivent en Syrie, faisant plusieurs morts et blessés parmi le peuple syrien qui réclame la liberté et le respect des droits de l'Homme et ce, en présence des observateurs de la Ligue arabe", a déclaré à la presse le président du Parlement arabe, Ali Al-Deqbasi. M. Al-Deqbasi a appelé le secrétaire général de la Ligue arabe Nabil Al-Arabi à convoquer une réunion des chefs de diplomatie arabes pour adopter une résolution sur le retrait immédiat de la mission d'observation. Les observateurs arabes avaient commencé à arriver en Syrie le 22 décembre dernier dans le cadre du plan de sortie de crise proposé par l'organisation panarabe. Vendredi, ils ont rencontré des résidents de deux banlieues de Damas, tandis que d'autres observateurs ont visité d'autres endroits à travers la Syrie. Le plan de sortie de crise de la Ligue arabe prévoit l'arrêt des violences, la libération des détenus, le retrait de l'armée des villes et la libre circulation dans le pays pour les observateurs arabes et la presse. Alors que les observateurs poursuivent leur mission dans le pays, les violences n'ont toujours pas cessé. Samedi, trois personnes ont été tuées par des tirs des forces de sécurité à Homs et Idleb, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). Selon une estimation de l'Onu, plus de 5.000 personnes ont été tuées dans les violences depuis la mi-mars et plus de 14.000 autres arrêtées. Damas qui attribue ces violences à des "gangs armés qui cherchent à déstabiliser le pays", a affirmé que plus de 2.000 membres des forces de sécurité et de l'armée ont été tués par "des groupes terroristes armés" depuis le début de la contestation. Le Parlement arabe a appelé dimanche au retrait immédiat des observateurs arabes déployés en Syrie, en raison de la poursuite des violences dans ce pays et le non-respect du protocole arabe exigeant la protection des citoyens syriens. "Les actes de violences se poursuivent en Syrie, faisant plusieurs morts et blessés parmi le peuple syrien qui réclame la liberté et le respect des droits de l'Homme et ce, en présence des observateurs de la Ligue arabe", a déclaré à la presse le président du Parlement arabe, Ali Al-Deqbasi. M. Al-Deqbasi a appelé le secrétaire général de la Ligue arabe Nabil Al-Arabi à convoquer une réunion des chefs de diplomatie arabes pour adopter une résolution sur le retrait immédiat de la mission d'observation. Les observateurs arabes avaient commencé à arriver en Syrie le 22 décembre dernier dans le cadre du plan de sortie de crise proposé par l'organisation panarabe. Vendredi, ils ont rencontré des résidents de deux banlieues de Damas, tandis que d'autres observateurs ont visité d'autres endroits à travers la Syrie. Le plan de sortie de crise de la Ligue arabe prévoit l'arrêt des violences, la libération des détenus, le retrait de l'armée des villes et la libre circulation dans le pays pour les observateurs arabes et la presse. Alors que les observateurs poursuivent leur mission dans le pays, les violences n'ont toujours pas cessé. Samedi, trois personnes ont été tuées par des tirs des forces de sécurité à Homs et Idleb, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). Selon une estimation de l'Onu, plus de 5.000 personnes ont été tuées dans les violences depuis la mi-mars et plus de 14.000 autres arrêtées. Damas qui attribue ces violences à des "gangs armés qui cherchent à déstabiliser le pays", a affirmé que plus de 2.000 membres des forces de sécurité et de l'armée ont été tués par "des groupes terroristes armés" depuis le début de la contestation.