Les prix du poulet, qui ont sensiblement augmenté ces derniers jours, frôlant les 450 DA/kg, vont se stabiliser dès le début février alors que les prix des viandes rouges resteraient élevés jusqu'au printemps, a indiqué jeudi à Alger le président du directoire de la SGP Proda, Kamel Chadi. "Nous avons un indice très important concernant les viandes rouges : il y a une forte demande sur le poussin et en principe, les prix (du poulet) seront fixés dès le début février", a prédit M. Chadi sur les ondes de la Radio nationale. Quant aux prix des viandes rouges, ils devraient "se stabiliser après l'hiver", selon M. Chadi qui a évoqué une baisse des ventes des moutons suite à une forte activité d'abattage enregistrée en novembre dernier à l'occasion de l'Aid El Adha et du Hadj. Quelque 4,5 millions d'opérations d'abattage, soit 20% du cheptel national, ont été enregistrées à l'occasion de l'Aid El Adha et du Hadj 2011, ce qui a réduit, relève M.Chadi, le cycle biologique des élevages. "Les éleveurs continuent de faire de l'engraissement de leurs élevages et d'exercer donc des rétentions sur les ventes. Ils attendent le printemps, lorsque les carcasses des moutons seront beaucoup plus consistantes, pour commencer à vendre", a-t-il expliqué. Les prix du poulet, qui ont sensiblement augmenté ces derniers jours, frôlant les 450 DA/kg, vont se stabiliser dès le début février alors que les prix des viandes rouges resteraient élevés jusqu'au printemps, a indiqué jeudi à Alger le président du directoire de la SGP Proda, Kamel Chadi. "Nous avons un indice très important concernant les viandes rouges : il y a une forte demande sur le poussin et en principe, les prix (du poulet) seront fixés dès le début février", a prédit M. Chadi sur les ondes de la Radio nationale. Quant aux prix des viandes rouges, ils devraient "se stabiliser après l'hiver", selon M. Chadi qui a évoqué une baisse des ventes des moutons suite à une forte activité d'abattage enregistrée en novembre dernier à l'occasion de l'Aid El Adha et du Hadj. Quelque 4,5 millions d'opérations d'abattage, soit 20% du cheptel national, ont été enregistrées à l'occasion de l'Aid El Adha et du Hadj 2011, ce qui a réduit, relève M.Chadi, le cycle biologique des élevages. "Les éleveurs continuent de faire de l'engraissement de leurs élevages et d'exercer donc des rétentions sur les ventes. Ils attendent le printemps, lorsque les carcasses des moutons seront beaucoup plus consistantes, pour commencer à vendre", a-t-il expliqué.