Organisées par l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel sous le patronage du ministère de la Culture, les journées du film jordanien vise à faire découvrir au public algérien le film jordanien qui a connu une évolution renforcée par la création de Royal film commission en 2003. Organisées par l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel sous le patronage du ministère de la Culture, les journées du film jordanien vise à faire découvrir au public algérien le film jordanien qui a connu une évolution renforcée par la création de Royal film commission en 2003. Cette initiative fait suite aux journées du cinéma algérien organisées l'été dernier à Amman et marquées par la projection des films L'envers du miroir de Nadia Cherabi, Mascarade de Lyes Salem et Hors la loi de Rachid Bouchareb Les journées du film jordanien ont ainsi débuté, indique l'APS, jeudi soir à la Cinémathèque d'Alger, par la projection du film Villes transit du réalisateur Mohammed Al Hushki. Dans son film, Mohammed Al Hushki, qui a remporté plusieurs prix, dont celui du meilleur critique lors du dernier Festival de Dubaï, relate l'histoire de Leïla Kamel Abdelhamid qui est rentrée à Amman pour retrouver ses proches après avoir quitté son mari avec qui elle a vécu quatorze années aux Etats-Unis d'Amérique. En plus du choc subi après son divorce, Leïla découvre que tout a changé dans sa ville où elle se sent totalement étrangère en s'aperevant surtout que les habitudes des habitants ont complèrement changé. Le réalisateur décrit, dans son film, la souffrance de Leïla qui tente de reconstruire sa vie dans cette ville où elle se sent perdue. Etant incapable de s'intégrer dans cette localité qu'elle ne reconnait plus à ses yeux, Leïla est encouragée et soutenue par son père. Cette première œuvre du réalisateur Al Hushki qui n'a pas nécessité un grand budget, car s'inscrivant dans le cadre des projet du Royal film commission, a été bien accueillies par les critiques. Les principaux rôles de ce film, projeté lors de plusieurs festivals arabes, ont été interprétés par Mohamed Kabani, Chafika Tal et Ali Maher. La soirée d'ouverture a également été marquée par la projection du court métrage Bahia et Mahmoud du réalisateur Zayd Hamdane. "En dépit de la jeune expérience du 7e art en Jordanie, il existe une grande volonté de le développer", a indiqué, dans ce sens, Nada Doumani représentante de Royal Film commission. Elle a ajouté que l'objectif de sa visite en Algérie était de faire connaître le cinéma jordanien et de trouver de nouvelles perspectives de coopération en matière de production, notant qu'il existe une volonté d'entrer en contact avec les cinéastes algériens, d'autant que l'Algérie a réussi à s'imposer dans ce domaine. Mme Doumani a, d'autre part, mis en exergue les opportunités de coopération offertes en matière de formation, citant les ateliers jordaniens "Raoui" pour la réalisation, le montage et l'écriture de scénarios auxquels prennent part des cinéastes algériens. Dans le cadre du programme de coopération euroméditerranéen, elle a rappelé un atelier tenu actuellement avec la participation du réalisateur Yanis Koussim et d'un producteur algérien. Le programme des journées du cinéma jordanien à Alger qui s'étaleront jusqu'au 14 janvier prévoit la projection de deux autres longs métrages : Captain Abou Rea" et Kaab Aali de Fadl Haddad, outre deux courts métrages, intitulés Mawt Moulakem de Naji Abou Nouar et Chraksa de Mahiedine Kandour. Cette initiative fait suite aux journées du cinéma algérien organisées l'été dernier à Amman et marquées par la projection des films L'envers du miroir de Nadia Cherabi, Mascarade de Lyes Salem et Hors la loi de Rachid Bouchareb Les journées du film jordanien ont ainsi débuté, indique l'APS, jeudi soir à la Cinémathèque d'Alger, par la projection du film Villes transit du réalisateur Mohammed Al Hushki. Dans son film, Mohammed Al Hushki, qui a remporté plusieurs prix, dont celui du meilleur critique lors du dernier Festival de Dubaï, relate l'histoire de Leïla Kamel Abdelhamid qui est rentrée à Amman pour retrouver ses proches après avoir quitté son mari avec qui elle a vécu quatorze années aux Etats-Unis d'Amérique. En plus du choc subi après son divorce, Leïla découvre que tout a changé dans sa ville où elle se sent totalement étrangère en s'aperevant surtout que les habitudes des habitants ont complèrement changé. Le réalisateur décrit, dans son film, la souffrance de Leïla qui tente de reconstruire sa vie dans cette ville où elle se sent perdue. Etant incapable de s'intégrer dans cette localité qu'elle ne reconnait plus à ses yeux, Leïla est encouragée et soutenue par son père. Cette première œuvre du réalisateur Al Hushki qui n'a pas nécessité un grand budget, car s'inscrivant dans le cadre des projet du Royal film commission, a été bien accueillies par les critiques. Les principaux rôles de ce film, projeté lors de plusieurs festivals arabes, ont été interprétés par Mohamed Kabani, Chafika Tal et Ali Maher. La soirée d'ouverture a également été marquée par la projection du court métrage Bahia et Mahmoud du réalisateur Zayd Hamdane. "En dépit de la jeune expérience du 7e art en Jordanie, il existe une grande volonté de le développer", a indiqué, dans ce sens, Nada Doumani représentante de Royal Film commission. Elle a ajouté que l'objectif de sa visite en Algérie était de faire connaître le cinéma jordanien et de trouver de nouvelles perspectives de coopération en matière de production, notant qu'il existe une volonté d'entrer en contact avec les cinéastes algériens, d'autant que l'Algérie a réussi à s'imposer dans ce domaine. Mme Doumani a, d'autre part, mis en exergue les opportunités de coopération offertes en matière de formation, citant les ateliers jordaniens "Raoui" pour la réalisation, le montage et l'écriture de scénarios auxquels prennent part des cinéastes algériens. Dans le cadre du programme de coopération euroméditerranéen, elle a rappelé un atelier tenu actuellement avec la participation du réalisateur Yanis Koussim et d'un producteur algérien. Le programme des journées du cinéma jordanien à Alger qui s'étaleront jusqu'au 14 janvier prévoit la projection de deux autres longs métrages : Captain Abou Rea" et Kaab Aali de Fadl Haddad, outre deux courts métrages, intitulés Mawt Moulakem de Naji Abou Nouar et Chraksa de Mahiedine Kandour.