Les importations de blé de l'Algérie ont connu une forte hausse de 125,5% à 2,82 milliards de dollars en 2011 contre 1,25 milliard de dollars en 2010. Les quantités de blé (tendre et dur) importées par l'Algérie ont atteint 7,40 millions de tonnes durant 2011, contre 5,23 millions de tonnes à la même période en 2010, soit une augmentation de 41,5%, selon les chiffres du Centre national de l'informatique et des statistiques (Cnis) des Douanes. Les importations de blé tendre, qui représentent une part importante des importations algériennes, sont passées à 1,96 milliard de dollars pour une quantité de 5,55 millions de tonnes durant en 2011contre 913,25 millions de dollars pour 3,986 millions de tonnes, en hausse de plus de 115% en terme de valeur. Pour le blé dur, l'Algérie a importé durant l'année écoulée pour 858,669 millions de dollars (1,85 million de tonnes) contre 338,628 millions de dollars, soit 1,246 million de tonnes en 2010. Les principaux pays fournisseurs de l'Algérie en blé durant les dix premiers mois de 2011 sont pratiquement les mêmes que ceux des années précédentes. Il s'agit essentiellement de la France, le Canada, l'Allemagne et les Etats Unis d'Amérique, l'Espagne et le Mexique. Le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaissa avait imputé cette hausse des importations à l'augmentation des prix à l'échelle internationale et au souci des pouvoirs publics de garantir la disponibilité de ces produits au niveau national. Le ministre avait précisé, en novembre dernier, que le gouvernement avait décidé, en 2011, d'élever à 30% le taux de disponibilité du blé et de l'orge sur le marché local. Bien que les importations aient augmenté cette année, elles n'ont tout de même pas atteint le montant de 2008, estimé à 3,4 milliards de dollars, et ce, grâce à une amélioration progressive de la production nationale et une meilleure régulation du marché, avait relevé M. Benaïssa. La production nationale de céréales a atteint 42 millions de quintaux en 2011, contre 45,6 millions en 2010 et un pic de 61,2 millions en 2009. Les importations de blé de l'Algérie ont connu une forte hausse de 125,5% à 2,82 milliards de dollars en 2011 contre 1,25 milliard de dollars en 2010. Les quantités de blé (tendre et dur) importées par l'Algérie ont atteint 7,40 millions de tonnes durant 2011, contre 5,23 millions de tonnes à la même période en 2010, soit une augmentation de 41,5%, selon les chiffres du Centre national de l'informatique et des statistiques (Cnis) des Douanes. Les importations de blé tendre, qui représentent une part importante des importations algériennes, sont passées à 1,96 milliard de dollars pour une quantité de 5,55 millions de tonnes durant en 2011contre 913,25 millions de dollars pour 3,986 millions de tonnes, en hausse de plus de 115% en terme de valeur. Pour le blé dur, l'Algérie a importé durant l'année écoulée pour 858,669 millions de dollars (1,85 million de tonnes) contre 338,628 millions de dollars, soit 1,246 million de tonnes en 2010. Les principaux pays fournisseurs de l'Algérie en blé durant les dix premiers mois de 2011 sont pratiquement les mêmes que ceux des années précédentes. Il s'agit essentiellement de la France, le Canada, l'Allemagne et les Etats Unis d'Amérique, l'Espagne et le Mexique. Le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaissa avait imputé cette hausse des importations à l'augmentation des prix à l'échelle internationale et au souci des pouvoirs publics de garantir la disponibilité de ces produits au niveau national. Le ministre avait précisé, en novembre dernier, que le gouvernement avait décidé, en 2011, d'élever à 30% le taux de disponibilité du blé et de l'orge sur le marché local. Bien que les importations aient augmenté cette année, elles n'ont tout de même pas atteint le montant de 2008, estimé à 3,4 milliards de dollars, et ce, grâce à une amélioration progressive de la production nationale et une meilleure régulation du marché, avait relevé M. Benaïssa. La production nationale de céréales a atteint 42 millions de quintaux en 2011, contre 45,6 millions en 2010 et un pic de 61,2 millions en 2009.