Si pour certains il fait beau, c'est incontestablement le prélude de la sécheresse pour d'autres, à en croire les spécialistes. Et pour cause, depuis la fin de l'été, l'absence de précipitations est constatée en Algérie. Les agents de l'Office national de météorologie ont en effet enregistré des précipitations largement inférieures à la moyenne. Les relevés de l'ONM indiquent qu'aucune région n'est épargnée par ce déficit de pluie «flagrant». Il faut dire que l'absence de pluie commence à faire planer des menaces sur les rendements agricoles du pays, d'autant que notre agriculture est totalement dépendante du climat. Même si l'Algérie a déjà vécu des situations plus graves, il n'en demeure pas moins que cela demeure inquiétant, notamment pour les agriculteurs qui voient l'hiver passer sans la moindre goutte de pluie, à l'exception de quelques pluies. Dans la région la plus peuplée du pays, Alger, où vivent près de 5 millions d'habitants, il faut remonter jusqu'au début des années 80 pour trouver une saison aussi sèche. Les mosquées ont effectué la prière d'Istisquaa (rogation pour la pluie) déjà fin 2011. Le ministre des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal, se veut toutefois rassurant, affirmant que le taux de remplissage des barrages en exploitation est «très bon», sachant que la saison des pluies - février et mars - n'est pas encore arrivée. Il convient de noter dans ce contexte que le taux a atteint 64,58% en décembre dernier. La réserve nationale en eau est passée à 3,7 milliards de mètres cubes. Notons en outre que les projets en cours et ceux programmés permettront de porter la réserve nationale à 7 milliards de m3, à la fin de l'actuel quinquennat. Selon le ministre, les 13 barrages de la région Ouest du pays ont atteint un taux de remplissage global de 55%, alors que les 17 barrages de la région du Cheliff ont atteint un niveau de 47%. La région Centre, avec ses 13 barrages, a enregistré un taux de remplissage de 61%. Les 23 barrages de l'Est du pays, eux, ont atteint un niveau global de remplissage de 81,04%. Il faut dire que la situation n'est peut-être pas critique mais est loin d'être normale pour la saison. Si pour certains il fait beau, c'est incontestablement le prélude de la sécheresse pour d'autres, à en croire les spécialistes. Et pour cause, depuis la fin de l'été, l'absence de précipitations est constatée en Algérie. Les agents de l'Office national de météorologie ont en effet enregistré des précipitations largement inférieures à la moyenne. Les relevés de l'ONM indiquent qu'aucune région n'est épargnée par ce déficit de pluie «flagrant». Il faut dire que l'absence de pluie commence à faire planer des menaces sur les rendements agricoles du pays, d'autant que notre agriculture est totalement dépendante du climat. Même si l'Algérie a déjà vécu des situations plus graves, il n'en demeure pas moins que cela demeure inquiétant, notamment pour les agriculteurs qui voient l'hiver passer sans la moindre goutte de pluie, à l'exception de quelques pluies. Dans la région la plus peuplée du pays, Alger, où vivent près de 5 millions d'habitants, il faut remonter jusqu'au début des années 80 pour trouver une saison aussi sèche. Les mosquées ont effectué la prière d'Istisquaa (rogation pour la pluie) déjà fin 2011. Le ministre des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal, se veut toutefois rassurant, affirmant que le taux de remplissage des barrages en exploitation est «très bon», sachant que la saison des pluies - février et mars - n'est pas encore arrivée. Il convient de noter dans ce contexte que le taux a atteint 64,58% en décembre dernier. La réserve nationale en eau est passée à 3,7 milliards de mètres cubes. Notons en outre que les projets en cours et ceux programmés permettront de porter la réserve nationale à 7 milliards de m3, à la fin de l'actuel quinquennat. Selon le ministre, les 13 barrages de la région Ouest du pays ont atteint un taux de remplissage global de 55%, alors que les 17 barrages de la région du Cheliff ont atteint un niveau de 47%. La région Centre, avec ses 13 barrages, a enregistré un taux de remplissage de 61%. Les 23 barrages de l'Est du pays, eux, ont atteint un niveau global de remplissage de 81,04%. Il faut dire que la situation n'est peut-être pas critique mais est loin d'être normale pour la saison.