Dans un entretien fleuve accordé à El Pais, Anne Sinclair parle de son passé heureux et malheureux et de sa renaissance en tant que journaliste. «Je veux être journaliste depuis que j'ai dix ans» : un métier comme une passion. Anne Sinclair semble avoir retrouvé le feu sacré en devenant chef éditoriale du HuffPost. Au journal El Pais, auquel elle a accepté de répondre pour promouvoir son livre sur son grand-père, Anne Sinclair s'est également laissée aller à des confidences plus personnelles. Sur son nouveau travail bien sûr, mais de façon plus étonnante sur son mari et sur l'affaire du Sofitel... Celle qui se dit «aussi féministe que ceux qui se déclarent l'être» a choisi de quitter la profession pour suivre son mari, mais elle l'aurait également fait si elle avait été «sa sœur». De ses années en première ligne chez TF1, Anne Sinclair garde de bons souvenirs mais se dit soulagée d'avoir «quitté le spectacle à temps, avant que l'on me mette dehors». La journaliste qui a toujours fait ce qu'elle voulait, mais avec respect, reste choqué par le traitement de l'affaire qui a coûté sa place de patron du FMI à son époux. Anne Sinclair parle, en effet, de la violence «d'être espionné, scruté et harcelé». Enfin, s'il y a bien une conséquence plus ou moins heureuse aux affaires DSK, selon Anne Sinclair, c'est qu'elles ont écarté Dominique Strauss-Kahn de la scène politique : «Je n'ai jamais vraiment souhaité que mon mari soit candidat à l'élection présidentielle, mais s'il s'était décidé, je l'aurais accompagné et j'étais prête à l'aider.» Dans un entretien fleuve accordé à El Pais, Anne Sinclair parle de son passé heureux et malheureux et de sa renaissance en tant que journaliste. «Je veux être journaliste depuis que j'ai dix ans» : un métier comme une passion. Anne Sinclair semble avoir retrouvé le feu sacré en devenant chef éditoriale du HuffPost. Au journal El Pais, auquel elle a accepté de répondre pour promouvoir son livre sur son grand-père, Anne Sinclair s'est également laissée aller à des confidences plus personnelles. Sur son nouveau travail bien sûr, mais de façon plus étonnante sur son mari et sur l'affaire du Sofitel... Celle qui se dit «aussi féministe que ceux qui se déclarent l'être» a choisi de quitter la profession pour suivre son mari, mais elle l'aurait également fait si elle avait été «sa sœur». De ses années en première ligne chez TF1, Anne Sinclair garde de bons souvenirs mais se dit soulagée d'avoir «quitté le spectacle à temps, avant que l'on me mette dehors». La journaliste qui a toujours fait ce qu'elle voulait, mais avec respect, reste choqué par le traitement de l'affaire qui a coûté sa place de patron du FMI à son époux. Anne Sinclair parle, en effet, de la violence «d'être espionné, scruté et harcelé». Enfin, s'il y a bien une conséquence plus ou moins heureuse aux affaires DSK, selon Anne Sinclair, c'est qu'elles ont écarté Dominique Strauss-Kahn de la scène politique : «Je n'ai jamais vraiment souhaité que mon mari soit candidat à l'élection présidentielle, mais s'il s'était décidé, je l'aurais accompagné et j'étais prête à l'aider.»