L'ancien chef d'état-major de l'armée nationale, le général Mohamed Lamari, est décédé lundi à l'âge de 73 ans à l'hôpital Mohamed-Ziouchi de Tolga, dans la wilaya de Biskra. Selon des sources médicales, le général à la retraite, ancien chef d'état-major de l'armée nationale, Mohamed Lamari, serait décédé suite à un arrêt cardiaque. Lamari avait été évacué en urgence dans cet hôpital depuis son domicile situé à Bordj Ben Azzouz (40 km au sud-ouest de la wilaya de Biskra), suite à une premier infarctus. Mais l'équipe médicale n'a pas été en mesure de le sauver du second infarctus. Le défunt est né le 7 juin 1939 à Alger, dans une famille originaire de Bordj Ben Azzouz, Biskra. Déserteur de l'armée française en 1961, Mohamed Lamari a rejoint l'Armée de libération nationale (ALN) en 1961. Il avait été formé dans la cavalerie à l'Ecole de guerre de Saumur, dans l'ouest de la France. Il suit plus tard une formation d'artilleur à l'Académie militaire de Frounze (ex-URSS), puis d'officier d'état-major à l'Ecole de guerre de Paris. Après avoir commandé l'état-major de région (1970-1976), il travailla dans le bureau des opérations de l'état-major jusqu'en 1988. Il rejoint par la suite le commandement de la 5e Région militaire jusqu'en 1989. Il sera nommé commandant des forces terrestres. Il a été chargé en 1992, par le président Mohamed Boudiaf, de la création d'une force antiterroriste de 15 000 hommes. En juillet 1993, il est nommé chef d'état-major de l'Armée nationale populaire. En 2004, il présente sa démission et part à la retraite. Et de fait, se retire de la vie publique. Il sera inhumé à Alger selon son désir. L'ancien chef d'état-major de l'armée nationale, le général Mohamed Lamari, est décédé lundi à l'âge de 73 ans à l'hôpital Mohamed-Ziouchi de Tolga, dans la wilaya de Biskra. Selon des sources médicales, le général à la retraite, ancien chef d'état-major de l'armée nationale, Mohamed Lamari, serait décédé suite à un arrêt cardiaque. Lamari avait été évacué en urgence dans cet hôpital depuis son domicile situé à Bordj Ben Azzouz (40 km au sud-ouest de la wilaya de Biskra), suite à une premier infarctus. Mais l'équipe médicale n'a pas été en mesure de le sauver du second infarctus. Le défunt est né le 7 juin 1939 à Alger, dans une famille originaire de Bordj Ben Azzouz, Biskra. Déserteur de l'armée française en 1961, Mohamed Lamari a rejoint l'Armée de libération nationale (ALN) en 1961. Il avait été formé dans la cavalerie à l'Ecole de guerre de Saumur, dans l'ouest de la France. Il suit plus tard une formation d'artilleur à l'Académie militaire de Frounze (ex-URSS), puis d'officier d'état-major à l'Ecole de guerre de Paris. Après avoir commandé l'état-major de région (1970-1976), il travailla dans le bureau des opérations de l'état-major jusqu'en 1988. Il rejoint par la suite le commandement de la 5e Région militaire jusqu'en 1989. Il sera nommé commandant des forces terrestres. Il a été chargé en 1992, par le président Mohamed Boudiaf, de la création d'une force antiterroriste de 15 000 hommes. En juillet 1993, il est nommé chef d'état-major de l'Armée nationale populaire. En 2004, il présente sa démission et part à la retraite. Et de fait, se retire de la vie publique. Il sera inhumé à Alger selon son désir.